Nicolas Otéro, Roger Martin Amerikkka, T6 : Atlanta, cité impériale
- Nicolas Otéro
- Roger Martin
- Emmanuel Proust
- 48 pages
- Prix papier : 13,50€
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Amerikkka, T6 : Atlanta, cité impériale
Ce sixième épisode, très riche en suspense, nous plonge dans le passé : celui de Michael Alister, personnage rencontré dans Les Bayous de la haine (tome 2) et assassiné par le Klan.
Nos deux agents très spéciaux, Steve et Angéla, ont pour mission de retrouver les meurtriers et d’expliquer ce meurtre. Pour cela, il leur faut se plonger dans les années 1950-1960 – époque où le Klan était au summum de sa puissance à Atlanta. Deux enquêtes à suivre en parallèle : celle d’aujourd’hui et celle d’hier sous forme de flash-backs. Au bout, la vérité sera violente et nos héros n’en sortiront pas indemnes.
Remarquable épisode, qui marque un tournant pour cette série qui se complexifie, alors que scénario et graphisme sont au diapason pour un suspense inégalé.
Le mot de l'éditeur
- Dessinateur :
- Nicolas Otéro
- Scénario :
- Roger Martin
- Coloriste :
- Nicolas Otéro
- Éditeur :
- Emmanuel Proust
- Collection :
- Amerikkka
- Date de parution :
- 28 sept. 2014
- ISBN-13 :
- 978-2889320059
- Illustration :
- Couleurs
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Roger Martin, est LE spécialiste français du Klan. Cité à comparaître comme spécialiste de l’ultra-droite lors de trois procès importants à Metz (jugement de cinq skinheads néo-nazis), à Marseille (il démêle l’écheveau des ramifications de divers groupes néo-nazis ; et celui de deux militants antifascistes accusés d’avoir plastiqué à Vitrolles, la salle des concerts Rock Against Communism).
Dernièrement, il a écrit un pamphlet sur les USA: L’Empire du Mal (Le Cherche-Midi) et un polar : Jusqu’à ce que mort s’ensuive (Prix Sang d’encre ; Prix Jonquet ; Prix des Ancres Noires).
Nicolas OTÉRO, la fulgurance du trait semi-réaliste de ce dessinateur lyonnais convient parfaitement à l’univers violent de la série auquel il apporte humour et distanciation.
Dans ce huitième épisode le dessinateur montre toute l’étendue de son talent : un dessin dynamique et des cadrages très réussies. On appelle ça la maturité graphique.