Stéphane Oiry, Appollo Pauline (et les loups-garous)
- Stéphane Oiry
- Appollo
- Futuropolis
- 72 pages
- Prix papier : 15,00€
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Pauline (et les loups-garous)
Sur une autoroute déserte, la nuit, Angus s’endort au volant de sa voiture malgré sa cassette d’AC/DC qui passe en boucle depuis deux heures. Pauline, qui l’accompagne, lui propose de s’arrêter sur une aire d’autoroute. Cela fait des heures qu’ils roulent ainsi, fuyant la police qui doit être à leurs trousses. Leur crime ? On n’en saura pas grand-chose si ce n’est que c’est un fait-divers sanglant.
Le mot de l'éditeur
- Dessinateur :
- Stéphane Oiry
- Scénario :
- Appollo
- Coloriste :
- Stéphane Oiry
- Éditeur :
- Futuropolis
- Collection :
- non renseigné
- Date de parution :
- 19 Juin 2008
- ISBN-13 :
- 978-2754801386
- Illustration :
- Couleurs
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Stéphane Oiry (Les Passes murailles) et Appollo (Ile Bourbon 1730, La grippe coloniale…) signent un récit âpre sur l’adolescence, qui flirte avec le fantastique…
« Pauline (et les loups garous) est née de discussions entre Appollo et moi alors que nous cherchions un terrain de jeu, un terreau commun. » explique Stéphane Oiry. « Il y a eu cette boutade : "faire du Russ Rohmer" ( faire la jonction entre la comédie dramatique intimiste de Rohmer et la folie de Russ Meyer).
Avec de telles intentions, nous allions assurément nous vautrer : potacherie post-ado ou pose érudite mais vaine, bref le truc bien casse-gueule ! Et je découvre avec les premières pages écrites, la voix de Pauline : limpide, simple et directe, c'est frais. Et le rythme, un sens de la durée et des respirations. Je sais alors qu'Appollo a trouvé le ton juste, on ne va pas se planter. »
« Nous voulions une histoire d'aujourd'hui, avec des ados d'aujourd'hui, et que cela se passe très clairement en France. » ajoute Appollo. « Mais en même temps, nous avons puisé tous les deux dans des éléments de notre propre adolescence, et du coup il en ressort quelque chose des années 80 (AC/DC, la voiture, les Hells Angels, des trucs comme ça). Enfin, le traitement graphique de Stéphane, entre, disons, Jijé et Burns, ainsi que le fait qu'on soit dans un genre très marqué qui est le road-movie, peuvent donner ce côté "américain".
Et puis c'est vrai que ce sont souvent les Américains, au cinéma et en bande dessinée (Burns, Clowes, Debbie Dreschler etc) qui ont traité de l'adolescence... »