Alors que les ABC Warriors parcourent la planète Mars pour recruter leur dernier compagnon, ils se remémorent leurs batailles menées pendant la guerre Volgan, un conflit crapuleux pour le contrôle du pétrole sur la Terre. Hammerstein, Mongroï et Joe Pineapples racontent leurs propres expériences et leur lutte contre le sanguinaire Ikon. Ils se rendent coompte que toutes leurs histoires ont un point commun.... Qui était ce mystérieux Zippo et quel était le programme Phoenix?
L’épopée des ABC Warriors continue ! Le compte à rebours avant l’exécution de Zippo a commencé ! Seuls les ABC Warriors peuvent empêcher les impitoyables G-Men de procéder à la fonte de leur camarade. Et comme si la situation n’était pas assez compliquée, les ABC Warriors sont trahis par l’un des leurs qui sert la cause destructrice de Volkhan. Une mystérieuse figure de la résistance connue sous le nom de « Urban Fox » entre dans la course et leur vient en aide. Mais qui est-il ? Que veut-il ?
Par Pat Mills, célèbre créateur du magazine 2000 AD, sur fond d’époustouflantes illustrations numériques de Clint Langley (Slaine).
Au XVème siècle, en France, la chasse aux sorcières bat son plein. L’une d’elles, Lara, alors âgée de seize ans, en subit la cruauté : elle est conduite sur le bûcher après avoir été torturée. Avant de mourir, elle implore sa déesse et jette un sort à ses tortionnaires. Un jour, elle reviendra pour les tuer !
La malédiction va se réaliser, car Sha, déesse ancienne, a traversé les âges pour venir venger Lara et les tuer. Sha n’est peut-être là que pour réveiller à temps la sorcière qui sommeille en elle...
Rien ni personne n'arrêtera la vengeance de la déesse Sha.
En France, au XVe siècle, la chasse aux sorcières bat son plein.
Lara, une jeune fille de 16 ans, est accusée de sorcellerie. Elle est conduite sur le bûcher après avoir été torturée. Voyant en elle un démon, ses tortionnaires font preuve d’une cruauté sans borne.
Avant de mourir, elle implore la Déesse-Mère, divinité de la Nature de lui venir en
aide. La déesse lui assure alors que toutes ses souffrances ne seront pas effacées par le temps et que les crimes dont elle est victime ne resteront pas impunis.
Plusieurs siècles plus tard, la déesse Sha traverse les âges pour permettre à Lara de se venger et tuer les descendants de ses tortionnaires.
En France, au XVe siècle, la chasse aux sorcières bat son plein. Lara, une jeune fille de 16 ans, est accusée de sorcellerie. Elle est conduite sur le bûcher après avoir été torturée. Voyant en elle un démon, ses tortionnaires font preuve d’une cruauté sans borne.
Avant de mourir, elle implore la Déesse-Mère, divinité de la Nature de lui venir en aide. La déesse lui assure alors que toutes ses souffrances ne seront pas effacées par le temps et que les crimes dont elle est victime ne resteront pas impunis.
Plusieurs siècles plus tard, la déesse Sha traverse les âges pour permettre à Lara de se venger et tuer les descendants de ses tortionnaires.
« La mort n’est qu’une longue fête ! »
L’affrontement contre les lémures s’est soldé par une victoire totale et radicale. Lors des combats, Requiem a retrouvé Rebecca, à présent prisonnière des geôles vampires. Les derniers vestiges de son humanité lui commandent de la libérer. Pendant ce temps, Dracula savoure sa victoire en s’apprêtant à torturer en beauté ses derniers adversaires au cours d’un bal masqué. Mais il ne sait pas que, dans son dos, un coup d’état mené par ses principaux lieutenants se prépare...
Avec Requiem, récit épique et gothique scénarisé par Pat Mills, Olivier Ledroit avait fait découvrir le versant sombre de son talent. Plébiscitée par les amateurs de dark fantasy, cette série culte reparait aujourd’hui chez Glénat dans une toute nouvelle édition dont chaque volume paraitra tous les 2 mois et sera enrichi d’un cahier de 8 pages.
L’occasion de (re)découvrir une œuvre majeure et l’époustouflant graphisme en couleur directe de l’un des meilleurs artistes de sa génération.
« Je ne suis pas celui que je croyais être. »
Après un voyage dans ses souvenirs, Requiem se rend compte qu’il est peut-être la réincarnation d’un vampire légendaire, un traître nommé Thurim.
Mais le passé attendra. Pour l’heure, toutes les armées vampires sont mobilisées sur le vaisseau amiral de Dracula. Suite à la destruction de sa récolte d’opium noir, le Comte a décidé de contre-attaquer. Une immense bataille se prépare en Lémurie.
Et dans le camp adverse, Requiem risque de faire une rencontre inattendue...
Plus on est sous contrôle, plus ce qu’on dissimule est inavouable.
Au St Mary’s Hospital, Alice tente de percer le secret de son directeur, le docteur Skinner. Que cache cet homme maniaque, autoritaire et froid qui voue sa vie à son travail ?
Le jour où elle apprend que Skinner a fait admettre en néonatalogie un nourrisson abandonné à la naissance, et qu’il s’intéresse tout particulièrement à sa santé, elle est loin d’imaginer qu’elle a mis les pieds en terrain miné…
Skinner n’accepte pas qu’on fouille dans sa vie privée, et il ne laissera personne contrecarrer ses plans, il a trop à y perdre.
Que s’est-il passé durant ces trente années pour qu’un vent déserté par la vie emporte l’espoir et les rêves d’autrefois ?
Trente ans sont passés depuis l’apparition du virus. Dévastés, vides et silencieux, les États-Unis sont devenus le domaine d’une poignée de nomades immunisés contre la mort elle-même.
Bien que les zombies aient quasiment disparu, les pèlerins de ce nouveau monde ne rebâtissent rien, ils attendent seulement la fin. L’humanité tenait pourtant une chance de s’en sortir grâce aux milliers de survivants réfugiés à Boston et en Islande…
Coloriste : Jean Bastide
Une tueuse en série sous pression ! L’étau se resserre autour d’Alice, la brillante infirmière psychopathe plongée au coeur d’une épidémie zombie…
Entre le Docteur Barry qui se montre de plus en plus entreprenant, l’infirmière Alexandra Paynes qui l’a surprise en train de tuer une patiente et ce type étrange dénommé Harold Butler qui dit l’avoir connue autrefois, Alice traverse une mauvaise passe qui lui en ferait presque oublier les zombies.
Reste que la cause de l’épidémie viendrait de l’hôpital lui-même…
Coloriste : Jean Bastide
Tuer n'est pas jouer.
Stockholm, quelques mois après l’apparition du virus.
L’hiver et les zombies ont transformé la ville en un désert glacé. Seule une poignée de survivants a trouvé refuge dans un bunker et résiste à la mort. Avant de se couper du monde, tous travaillaient sur un jeu vidéo de zombies et pensent pouvoir tenir bon.
Mais confrontés à une réalité plus forte que la fiction, dans la faim, la peur et l’isolement, ils découvrent qui ils sont vraiment et se rendent à l’évidence : trop nombreux, divisés, et prêts à se battre pour une boîte de conserve...
Ils ne verront pas tous la fin de l’hiver.
On dit que l’enfer est sur terre mais pour Alice, c’est une sorte de paradis...
Sexy et brillante infirmière du St Mary Hospital de Londres, Alice Matheson pourrait être chirurgien, elle en a les capacités, les nerfs d’acier, le Q.I, mais ce serait s’exposer inutilement. Car Alice est un ange de la mort, une psychopathe froide et calculatrice qui assassine ses victimes parmi les patients en phase terminale de l’hôpital.
Elle mène une double vie, qui se complique le jour où une de ses victimes se relève malgré la dose mortelle qu’elle vient de lui administrer. Londres vit alors les premières heures d’une épidémie d’un genre nouveau : les morts marchent. Et même pour un serial-killer, tout cela a quelque chose de perturbant.
L’hôpital est sur le pied de guerre et ce n’est pas peu dire, l’armée investit aussi les lieux pour protéger les vivants des morts. L’hôpital s’organise pour traiter les patients et trouver une solution à l’épidémie. Avant le jour Z, Alice était une anomalie, désormais, les autres sont de pire en pire.
Finalement, elle ne s’est jamais sentie aussi vivante qu’au milieu des morts.
Coloriste : Jean Bastide
Les virus ne connaissent pas de frontières, les zombies non plus... Bienvenur en Europe.
Paris. Le virus a transformé la capitale française en bombe à retardement.
Un exode massif jette des milliers de gens sains et de zombies sur les routes. L’horreur embrase l’Europe et aucune nation ne parvient à y faire face.
Charles, garde du corps expérimenté de l’Élysée, doit protéger le chef de l’État coûte que coûte... Mais sa mission a-t-elle encore un sens ?
L’idée même de la République et un président qui ne mérite pas qu’on le sauve valent-ils plus que sa propre vie ?
Charles doit choisir sa bataille.
Les zombies colonisent le monde et rien ne semble pouvoir les arrêter.
À l’ouest des États-Unis, des millions de zombies s’entassent aux abords de l’île colonisée par les survivants de la caravane de bateaux. Ce qui aurait dû être un paradis se transforme en enfer, mais la communauté menée par Serge LaPointe, l’ancien acteur de films d’horreur, n’abandonne pas.
À l’est, un nouveau quotidien sans morts-vivants se dessine. Un petit génie de Boston, Clay Harris, a trouvé le moyen de chasser les zombies et s’il y a du monde à sauver, même à l’autre bout du pays, c’est son affaire !
Entre Kerouac et Oppenheimer, il compte bien remettre le rêve américain sur les rails.
Coloriste : Simon Champelovier
Le face à face morbide entre êtres humains et zombies
Des mois après la contagion, le mot vivre est devenu obsolète, survivre l’a remplacé. L’avenir ne se conjugue qu’entre de nouvelles tragédies. Pourtant, Sam et la caravane de bateaux menée par Lapointe ne perdent pas espoir.
À chaque fois qu’ils tuent un zombie ou qu’ils sauvent une vie, ils entretiennent le rêve d’un monde nouveau...
Mais une rumeur silencieuse, affamée et mortelle vient vers eux, une nation de morts est en marche. Les zombies ne rôdent plus sans but, ils semblent animés d’une volonté unique et avancent tous dans la même direction. Celle des survivants.
97 % MORT - 2 % VIVANT - 1 % NE SE PRONONCE PAS (ENCORE)
Couleurs : Simon Champelovier
Le monde va changer et rien ne sera comme avant
Le nirvana est une drogue qui ne se contente pas d’altérer les fonctions de l’esprit en asservissant le mental du consommateur. Elle disperse aussi les molécules humaines. Les drogués se disloquent puis se reforment. Trip total garanti. C’est la plus dangereuse des drogues et le risque après injection est de ne pas se reconstituer à l’identique.
Hurley Judd est un narco-flic avec « permis de tuer », un flic qui joue en solo et n’a qu’un seul référent. Un gars qui bosse en sous-marin dans le milieu. Sa mission : éradiquer l’archi-dealer du Nirvana.
Il y a quelques années, Mais la femme d’Hurley, accroc à la célèbre drogue, a disparu. Depuis, il la cherche et son mental a changé, il est plus sûr de lui que jamais et si le message qu’il a reçu de sa femme n’est pas un faux, alors cette foutue histoire va le mener directement vers l’inventeur du Nirvana, lui-même.
Couleurs : Vyacheslav Panarin
L’être humain ne règne plus au sommet de la chaîne alimentaire. Les zombies lui ont volé sa place et rien ne semble pouvoir les arrêter. Est-ce la fin de l’humanité ? Pas sûr... pour certains ce n’est qu’un recommencement.
Sam a fui les grandes villes et laissé sa fille derrière lui. Pourtant, maintenant que silence et désolation règnent sur les États-Unis, il la croit toujours en vie... Il doit la retrouver, il ne survivra qu’ainsi.
Couleurs : Simon Champelovier
La série La Grande Guerre de Charlie (Charley’s War), qui compte huit volumes, a été créée par Pat Mills et Joe Colquhoun et publiée entre 1979 et 1988 dans le magazine hebdomadaire Battle au Royaume-Uni, dont elle fut le plus grand succès.
Elle est considérée à ce jour comme l’une des meilleures bandes dessinées de guerre et relate le quotidien du jeune Charlie Bourne, adolescent de 16 ans qui, entraîné dans l’élan patriotique général, se porte volontaire pour s’engager dans l’armée Britannique pendant la Première Guerre Mondiale.
S’appuyant sur un travail de documentation extrêmement minutieux et servi par l’impressionnante mise en image de Joe Colquhoun, le scénariste Patrick Mills nous propose une expérience inédite dans la bande dessinée de guerre : une immersion continue, sans répit ni temps mort, redonnant à l’horreur et à l’absurdité de la guerre des tranchées toute sa force et son intensité.
Saluée unanimement outre manche et régulièrement rééditée, cette œuvre est pratiquement inconnue du public français, seuls quelques épisodes ayant été publiés en France dans les magazines de petit format Bengali et Pirates, entre 1982 et 1986.
La Grande Guerre de Charlie est coéditée par les éditions çà et là et 360 Media Perspective, sous le label Delirium, à raison de deux volumes par an (parution du volume 2 en avril 2012).
Titre original : Charley’s War
Traduit de l’anglais par Jean-Paul Jennequin, lettrage Sorya Lim
La série La Grande Guerre de Charlie (Charley’s War), qui compte huit volumes, a été créée par Pat Mills et Joe Colquhoun et publiée entre 1979 et 1988 dans le magazine hebdomadaire Battle au Royaume-Uni, dont elle fut le plus grand succès.
Elle est considérée à ce jour comme l’une des meilleures bandes dessinées de guerre et relate le quotidien du jeune Charlie Bourne, adolescent de 16 ans qui, entraîné dans l’élan patriotique général, se porte volontaire pour s’engager dans l’armée Britannique pendant la Première Guerre Mondiale.
S’appuyant sur un travail de documentation extrêmement minutieux et servi par l’impressionnante mise en image de Joe Colquhoun, le scénariste Patrick Mills nous propose une expérience inédite dans la bande dessinée de guerre : une immersion continue, sans répit ni temps mort, redonnant à l’horreur et à l’absurdité de la guerre des tranchées toute sa force et son intensité.
Saluée unanimement outre manche et régulièrement rééditée, cette œuvre est pratiquement inconnue du public français, seuls quelques épisodes ayant été publiés en France dans les magazines de petit format Bengali et Pirates, entre 1982 et 1986.
La Grande Guerre de Charlie est coéditée par les éditions çà et là et 360 Media Perspective, sous le label Delirium, à raison de deux volumes par an (parution du volume 2 en avril 2012).
Titre original : Charley’s War
Traduit de l’anglais par Jean-Paul Jennequin, lettrage Sorya Lim
« L’épée m’a montré la vérité... J’étais un violeur ! Un monstre !... Un vampire ! »
Tandis que les forces vampires ont plongé dans la bataille contre les dieux des Limbes, le raid sur Londres voit l'apparition de nouveaux belligérants : les Goules, avec à leur tête la redoutable Mère Terreur.
Pendant l’affrontement, Requiem voit resurgir les démons de sa vie passée. Sur le front Est, il était un violeur, un monstre. Son funeste destin de vampire, il l’a mérité. Après une lutte acharnée, Requiem rentre finalement à Nécropolis où une cérémonie de la danse macabre est organisée. L'occasion pour lui de rencontrer tout le gratin de la société vampire...
Avec Requiem, récit épique et gothique scénarisé par Pat Mills, Olivier Ledroit avait fait découvrir le versant sombre de son talent. Plébiscitée par les amateurs de dark fantasy, cette série culte reparait aujourd’hui chez Glénat dans une toute nouvelle édition dont chaque volume paraitra tous les 2 mois et sera enrichi d’un cahier de 8 pages.
L’occasion de (re)découvrir une œuvre majeure et l’époustouflant graphisme en couleur directe de l’un des meilleurs artistes de sa génération.