Après 35 années de dur labeur, Ben Hatley découvre enfin les joies de la retraite. Grasses matinées, siestes et parties de golf sont au programme... À moins qu'Olivia, son épouse, ne décide qu'il est temps de faire le grand ménage du garage ou que sa fille Linda ne lui demande de garder Nicolas, son petit-fils. Ce volume, regroupe tous les strips de la première année de la série.
Les plus belles années reprend le contenu des albums Ben (1998) et Ben – Encore! (2000) ainsi qu'une soixantaine de strips restés inédits en album.
Ben est une bande dessinée quotidienne créée en 1996 par Daniel Shelton et publiée partout au Canada, à quelques endroits aux États-Unis et tout dernièrement aux Philippines.
Un regard moderne sur une famille dont les protagonistes sont Ben et Olivia, retraités, nouveaux grands-parents et dont les aventures s'enchaînent les unes aux autres.
Le repos du guerrier regroupe l'intégrale des bandes de la quatrième année de la série à succès Ben.
Cette fois, Ben doit apprendre à composer avec l'arrivée d'un nouveau membre dans la famille. Un petit-fils, c'est bien... deux, c'est épuisant ! Et ce ne sont pas les heureux parents qui vont le contredire. Linda voit la visite de sa belle-mère s'éterniser, tandis que Nathan est débordé par son travail de graphiste à la pige.
Pour couronner le tout, Linda soupçonne Nathan d'infidélité. A-t-il une aventure avec une de ses amies ? Heureusement, Olivia veille au grain et Ben mène l'enquête !
La série Ben s’en vient à La Pastèque!
Initialement publié aux Éditions 400 coups, Ben se retrouvera désormais au catalogue de notre maison d’édition. Nous procéderons au cours des années qui viennent à l’édition définitive, sous forme d’intégrale, de cette charmante série.
Dès avril prochain, nous publierons le volume 5 qui comportera le tome 9 et 10. Nous attendrons que les droits des 8 premiers tomes soient libres pour entreprendre la réimpression des quatre premiers volumes.
Créé en 1996, Ben a gagné le cœur de milliers de lecteurs partout dans le monde. Bien que le personnage principal soit un retraité, Daniel Shelton préfère ne pas se limiter aux stéréotypes pour personnes âgées. L’auteur touche à la vie quotidienne avec affection et délicatesse.
La série Ben est prépubliée tous les jours dans les journaux suivants:
Elle est aussi dans le magazine Le Bel Âge tous les mois.
(Editions La Pastèque)
Un ardent militant gauchiste élève seul Alberte, sa jeune adolescente. À son grand désespoir, celle-ci est un chef-d'oeuvre de superficialité, absorbée par le culte de la consommation et du monde télévisuel. Pour remédier à la situation, le père impose à sa fille le port permanent de la burqa. Il croit court-circuiter ainsi les mécanismes despotiques que provoque le culte des apparences.
Mal lui en prend, puisque divers plateaux de télé s'emparent de l'affaire...
Amy Tinsdale et Jordan Levine sont les personnages d’une série de strips publiés par Mark Beyer dans le magazine alternatif New York Press, entre 1988 et 1996. Cette anthologie de 292 strips permet d’appréhender l’incroyable inventivité graphique déployée par Mark Beyer dans cette série, qui représente véritablement le coeur de son oeuvre.
Amy et Jordan forment un couple névrotique et pathogène, qui évolue dans un univers urbain cauchemardesque, aux prises avec une absurdité quotidienne qui bascule souvent vers le fantastique et le monstrueux. Ils vivotent dans un appartement minable, dépriment, se querellent, mais semblent condamnés à rester ensemble, unis par une pulsion qui les dépasse.
Traduction : Madeleine Nasalik
« Mark Beyer est le plus sophistiqué des primitifs – ou peut-être le plus primitif des sophistiqués ? – jamais révélés par l’art du Comic Strip. Il dessine comme il peut, et c’est admirable – comme il peut, et bien que souvent imité, comme lui seul le peut. Doué d’un incroyable sens graphique, il insuffle la vie à ses deux poupées de chiffons – pour mieux la leur arracher, dans un sempiternel jeu de massacre. Là où, dans la presse, les personnages de bande dessinée demeurent éternellement vivants et immuables, Amy et Jordan n’en finissent pas de mourir encore et toujours…
Et quand ces créatures ne sont pas en train d’agoniser, elles sont en proie à la plus hilarante et radicale des dépressions. L’artiste sait que l’humour s’enracine dans la douleur, Mark Beyer réussit à sublimer la sienne, transfigurant sa propre souffrance en intense plaisir pour le lecteur. »
Art Spiegelman
Encore inconnu en France, Henry Mayo Bateman est extrêmement célèbre et populaire en Angleterre pour sa fameuse série L’Homme qui... (« L’homme qui souffla sur une vitrine du British Museum », « L’homme qui ne jouait qu’une note », « L’homme qui monopolisait la cheminée », « L’homme qui remplit son stylo à l’encrier de l’hôtel », etc.).
Autant de saynètes muettes et drôlatiques développées avec un art sans pareil du rythme, de la caractérisation et de la pantomime.
Cette anthologie est la première à rassembler le meilleur de son œuvre de dessinateur de BD muettes.
Bateman bénéficie en avril 2012 d’une rétrospective au Cartoon Museum de Londres.
Introduction par Anthony Anderson
Postface de Thierry Groensteen
Avec ses célèbres «Onésime» (1943-1998) et «Séraphin» (1952-1972), Albert Chartier a passé la majeure partie de sa carrière à aborder des sujets ruraux. Mais le trait sophistiqué, qui rend son dessin reconnaissable au premier coup d'oeil, suggère que l'univers de Chartier ne se limite pas à la campagne. Entre 1962 et 1967, Chartier a proposé, à divers journaux et revues, une série de strips à l'humour burlesque, muets, mettant en vedette un personnage baptisé successivement Suzy, Suzette, Elsinore, Zizi, puis Kiki, jeunes femmes qu'il décrit comme «piquantes», «ingénues», «glamourisées» ou encore «typically French».
Avec ces strips bien urbains, il laisse libre cours à son sens du dessin, de la composition, et nous voyons éclater toute la finesse de son art, ce qui nous pousse à nous demander s'il ne se sentait pas à l'étroit dans ses autres séries.
Evan Evans vit tranquillement dans l'ennui le plus total. Il habite une vieille bicoque à l'écart de la ville, écoute des 78 tours sur son électrophone en lisant de vieux journaux en compagnie de son canari.
Malheureusement, Evan a un ami plutôt envahissant : Ivan, un frimeur égoïste, celui par qui toutes les aventures arrivent...
Hommage au cinéma burlesque de Laurel et Hardy, à l'humour "slapstick" et aux récits où les héros s'en sortent par tous les moyens, Evan Evans est la première bande dessinée en solo de Laurent Kling, qui avait cosigné Les rois du pétrole avec Vincent Bergier en 2009 à La Pastèque.
Cet album sent bon les années 50 !
L'icône mondiale née dans les années 30 est de retour !
Elle a été dans les années 30 la première femme ouvertement sensuelle à franchir les barrières de la pudibonderie ambiante en étant publiée en strips quotidiens dans de grands journaux américains.
Elle a connu une carrière internationale dans le dessin animé. Elle est une icône mondiale, la seule à pouvoir chanter le « Poo-poo-pee-doo» popularisé par Marylin dans « I wanna be loved by you » sans que personne ne songe à le lui reprocher ! Elle se nomme Betty Boop. Et peut-être, à force de la voir déclinée sur de multiples supports, avait-on oublié l'essence-même de son identité : la bande dessinée.
Avec cette intégrale des planches dominicales de Betty Boop, c'est à une redécouverte d'un personnage emblématique du dessin animé, du neuvième art, et de l'Amérique que vous invitent les éditions VENTS D'OUEST.
Au gré d'aventures qui n'ont rien perdu de leur fraicheur, de leur verve, ni de leur beauté graphique.
Traduction : Julien Chèvre
Situé au début des années 1980, dans la banlieue d’Akron, une ville de la Rust Belt frappée par la crise économique, Punk Rock et mobile homes est une comédie déjantée dans le milieu de la musique punk. Le personnage principal, Otto Pizcok, dit « Le Baron », est en terminale et vit dans le parc de mobile-homes appartenant à son grand-oncle. Gros balèze féru du Seigneur des Anneaux à la personnalité un peu borderline, il est à la fois admiré et incompris de ses camarades de classe. Grand fan de musique punk, il fréquente assidûment The Bank, la principale salle de concerts punk d’Akron, alors appelée « The New Liverpool ».
Grâce à son impressionnant aplomb, Otto parvient a se débarrasser de son image de nerd pour devenir le guide/roadie de sommités du Punk telles que Joe Strummer ou les Ramones. Il devient même chanteur, et parvient à ses fins avec la gent féminine, mais il finit par péter les plombs en plein concert et, comble de l’horreur, se retrouve seul à l’approche du bal de fin d’année.
Avec ses personnages baroques, ses dialogues et situations rocambolesques, Punk Rock et mobile homes est à mourir de rire, tout en étant un véritable documentaire sur la scène punk des années 1980, telle que Backderf l’a lui-même connue dans sa jeunesse.
Titre original : Punk Rock and trailer parks (Etats-Unis)
Traduction de Philippe Touboul, lettrage de Hélène Duhamel
24,99€
TROIS LÉGENDES AU SERVICE D’UN MYTHE !
Parmi les nombreux artistes qui ont illustré le Seigneur de la jungle, Russ Manning est resté le plus mémorable. Parmi ceux qui ont scénarisé les aventures de l’Homme-singe, Gaylord DuBois est celui qui a le plus produit.
Parmi les auteurs d’aventure et de science-fiction, Edgar Rice Burroughs, le créateur de Tarzan, fait partie des plus grands écrivains du XXe siècle.
Enfin, parmi les héros de bande dessinée, Tarzan est celui qui a été le plus représenté…
Que de légendes ont œuvré pour produire ce recueil des sept premières aventures de Tarzan (Tarzan, le seigneur de la jungle • Le retour de Tarzan • Tarzan et ses fauves • Le fils de Tarzan • Tarzan et les joyaux d’Opar • Tarzan, l’indomptable • Tarzan le terrible), fidèles adaptations des romans d’Edgar Rice Burroughs !
Dans une nouvelle traduction respectant le style de l’auteur, restauré dans des couleurs fidèles au monde de Tarzan, et lettré pour retrouver le style d’origine, découvrez ou redécouvrez les pages qui firent le succès de la série.
20,99€
Russ Manning qui s’est illustré en produisant les adaptations en BD des romans d’Edgar Rice Burroughs se voit confier la création des pages de Tarzan qui paraissent chaque jour dans la presse depuis le 7 janvier 1929, avec comme condition que celles-ci soient en harmonie avec la vision du créateur.
Assisté de Bill Stout, Mike Royer et Dave Stevens, qui deviendront des dessinateurs réputés, Manning illustre 9 histoires complètes en noir et blanc et 22 histoires en couleurs.
L’action couvre l’ensemble des mondes créés par Burroughs : Afrique équatoriale et saharienne pleine de mystère, mais aussi les mondes perdus de Pal-ul-don aux animaux préhistoriques, Opar la cité atlante oubliée dirigée par la séduisante reine Lâ, Pellucidar le monde au creux de la Terre, Xuja la cité des fous, des mondes pharaoniques surgit du passé…
Ce volume couvre la période 1967-1969 et représente 7 aventures complètes.
Cette édition souple est proposée à un prix accessible à tous.
20,99€
Russ Manning qui s’est illustré en produisant les adaptations en BD des romans d’Edgar Rice Burroughs se voit confier la création des pages de Tarzan qui paraissent chaque jour dans la presse depuis le 7 janvier 1929, avec comme condition que celles-ci soient en harmonie avec la vision du créateur.
Assisté de Bill Stout, Mike Royer et Dave Stevens, qui deviendront des dessinateurs réputés, Manning illustre 9 histoires complètes en noir et blanc et 22 histoires en couleurs.
L’action couvre l’ensemble des mondes créés par Burroughs : Afrique équatoriale et saharienne pleine de mystère, mais aussi les mondes perdus de Pal-ul-don aux animaux préhistoriques, Opar la cité atlante oubliée dirigée par la séduisante reine Lâ, Pellucidar le monde au creux de la Terre, Xuja la cité des fous, des mondes pharaoniques surgit du passé…
Ce volume couvre la période 1967-1969 et représente 7 aventures complètes.
Cette édition souple est proposée à un prix accessible à tous.
Ce volume rassemble les bandes quotidiennes parues entre 1943 et 1945 de la série culte "Nancy", connue en France autrefois sous le titre "Arthur et Zoé".
Bee vient tout juste de terminer ses études secondaires et a pris un travail dans un labo photo express au sud de Manhattan, où elle a pour habitude de dupliquer pour sa collection personnelle les photos qu’elle trouve intéressantes ou originales.
Un jour, des clichés de cadavres passent entre ses mains. Elle commence alors à se poser des questions sur certains de ses clients.
Shutterbug Follies marque la première apparition du personnage de Bee, l’héroïne de l’album Motel Art Improvement Service sorti au mois de juin 2011 et très bien accueilli par la critique et les libraires.
Barnaby est un merveilleux daily strip américain, un classique de l’école du New Yorker, publié de 1942 à 1952. Presque inconnu en France, ce chef-d’œuvre de drôlerie a compté et compte encore de nombreux admirateurs fervents aux États-Unis, parmi lesquels W.C. Fields, Milton Caniff, Charles Schulz, la romancière Dorothy Parker, Art Spiegelman, Chris Ware ou Daniel Clowes.
Barnaby Baxter est un petit garçon de cinq ans qui rêve d’avoir une fée comme marraine. À la place, il lui échoit un « parrain-fée », M. O’Malley, un petit bonhomme rondouillard qui utilise son cigare comme baguette magique. Ses tours ne marchent pas souvent, même quand il prend soin de consulter le Manuel de poche des parrains-fée. La véritable magie de la série réside dans le mélange de satire et de merveilleux qu’elle propose, ainsi que dans la « ligne claire » épurée et élégante de Crockett Johnson.
Dans Barnaby, seuls les enfants voient M. O’Malley et ses amis - parmi eux Gus, le fantôme effrayé par son ombre, Atlas, un « géant mental » qui résout tout à l’aide de sa règle à calcul, et Mr Snoyd, un farfadet -, les adultes (à commencer par les parents du héros) refusent, eux, de croire à leur existence. Découvrez le strip qui a inspiré Bill Watterson pour Calvin et Hobbes !
Ce volume réunit les deux premières années de la série, du 20 avril 1942 au 31 décembre 1943. Barnaby et son parrain-fée sont mêlés aux désordres de la Seconde Guerre mondiale (défense passive). Un autre grand moment est celui qui voit M. O’Malley élu membre du Congrès américain !
Crockett Johnson fait usage de texte typographié dans les bulles, ce qui, selon ses estimations, lui permettait d’y introduire 60 % de mots en plus, et de prêter au vantard M. O’Malley un style délicieusement pompeux. Les qualités littéraires du strip ne le cèdent en rien à son charme graphique. Son apparente simplicité dissimule une vraie sophistication. Barnaby est une œuvre intemporelle, sur laquelle le temps ne semble pas avoir eu de prise.
Bienvenue à Cul-de-sac, petite ville américaine comme il en existe des centaines.
Dans cette ville ordinaire résident Madeline et Peter Otterloop, heureux parents de la petite Alice et de son frère aîné Petey.
Si la candeur et l'insouciance rythme le quotidien tranquille d'Alice, Peter, à l'inverse, est pétri d'angoisses que même les grandes personnes choisissent d'évacuer.
À dix-huit ans, Bee est parvenue à mettre suffisamment d’argent de côté pour se lancer dans une traversée du pays à vélo. Un accident va toutefois l’empêcher d’aller bien loin et elle se retrouve échouée dans un motel.
Ses hormones s’affolent quand elle rencontre un jeune artiste incompris qui s’est donné pour mission d’élever le niveau des « œuvres d’art » que l’on trouve accrochées dans les chambres des hôtels.
Elle prend un emploi de femme de chambre et se met à fouiner dans le linge sale de l’hôtel. Bee se retrouve alors empêtrée dans une inquiétante histoire de drogue...
De 1948 jusqu’à la mi-1973, le Pogo de Walt Kelly était l’un des strips les plus brillants des pages BD des journaux américains avec des personnages haut en couleur (même pour une série en noir et blanc), plein d’humour et d’intelligence. Il s’agissait d’une bande dessinée qui présupposait que ses lecteurs étaient eux aussi drôles et intelligents…
Sinon, on pouvait toujours admirer les jolis dessins. Le style fertile et vivant de Kelly vous attirait dans son marais, et sa délirante galerie de personnages vous poussait à y revenir suivre les aventures de Pogo Possum, mais aussi d’Albert Alligator, Churchy LaFemme, de la charmante Mam’zelle Hepzibah, de Porky Pine et des centaines d’autres habitants mémorables des marais qui ont jailli de l’esprit et du pinceau de Kelly.
L’un des sommets de l’histoire de la bande dessinée.
Avant-propos de Jimmy Breslin.