Après le massacre des Apaches de l'épisode précédent, l'affrontement entre le Bouncer et la mystérieuse "Veuve Noire" semble inévitable. Instigatrice de la tuerie, cette manipulatrice convoite insatiablement les terres de la région autant qu'elle dévore ses amants.
Le Bouncer n'hésitera pas longtemps à s'engager dans la lutte, surtout quand l'institutrice de Barrow City lui vendra ses charmes pour mettre un terme aux agissements de sa soeur malfaisante...
Impliqué en raison de sa complaisance envers les Apaches que certains tentent d'exterminer, le Bouncer sauve une jeune squaw. Il subit également les tentatives de séduction de l'institutrice, tandis que se prépare son affrontement avec un personnage redoutable, la "Veuve noire". Cette dernière est déterminée à s'approprier la principale richesse de la région : une rivière souterraine. Massacres et bandits pittoresques sont au rendez-vous d'un western où les auteurs dépeignent la face obscure des appétits humains.
François Boucq y atteint de nouveaux sommets dans son dessin et sa mise en scène.
Avec cet album, Boucq et Jodorowsky inaugurent une nouvelle aventure du héros manchot prévue en deux albums.
Couleurs : Sébastien Gérard et François Boucq
Le tome 5 démarre sur les chapeaux de roue avec un massacre perpétré par trois frères mexicains qui sont des as du coutelas - tandis que la femme bourreau bien mystérieuse derrière son chapeau et son cigare emmènera Bouncer dans de lointains paysages peu recommandables...
Drames familiaux qui font penser à la tragédie grecque, combats homériques et spectaculaires qui font penser au film d'action de Hong-Konk et splendeur graphique d'une puissance et d'un expressionnisme rarement atteints dans une bande dessinée : les références de nos auteurs sont donc très actuelles et produisent un western comme on n'en avait pas encore vu...
Couleurs : Sébastien Gérard & François Boucq
Présente-t-on encore le Bouncer, le héros manchot imaginé par le duo Boucq et Jodorowsky ? L'idée de la saga du Bouncer est née au début du millénaire de leur envie conjointe de revisiter le genre du western. Rescapé d'une terrible histoire familiale qui l'a laissé manchot et l'âme meurtrie, le Bouncer ("videur" en anglais) n'hésite pas à tuer pour survivre et défendre ce qu'il croit juste. Cette intégrale réunit les trois cycles parus à ce jour
Présente-t-on encore le Bouncer, le héros manchot imaginé par le duo Boucq et Jodorowsky ? L’idée de la saga du Bouncer est née au début du nouveau millénaire, de leur envie conjointe de revisiter le genre du western.
Rescapé d’une histoire familiale tragique, qui l’a laissé manchot et l’âme meurtrie, le Bouncer (« videur » en anglais) n’hésite pas à tuer pour survivre et défendre ce qu’il croit juste.
L'enfer est pour les héros !
S’il veut faire juger Pretty John pour ses crimes, le Bouncer va d’abord devoir s’évader du pénitencier de Deep-End dans lequel il se retrouve pris au piège.
Située au beau milieu d’un désert brûlant infesté de crotales et autres joyeusetés, cette prison est un trou à rats de la pire espèce régie par ses propres règles. Une véritable cour des miracles qui rassemble la plus belle bande de salopards de tout l’Ouest. Et c’est le diable en personne qui règne ici en maître !
Pas facile de sortir de ce guêpier, surtout quand on a une horde sauvage à ses trousses…
Fin du diptyque sanglant et grandiose initié par le tome 8 dans lequel le héros culte de Jodorowsky et Boucq a fort à faire s’il veut faire triompher la justice.
Non, Bouncer, cette fois-ci, on ne donne pas cher de ta peau
Son corps est mutilé, mais ce n’est rien par rapport à son âme…
Le Bouncer est le propriétaire de l’Infierno, l’un des saloons de Barrio City. Encore une de ces arides villes du Far West où l’étranger de passage trouvera plus facilement du whisky frelaté que de l'eau, et aura plus de chances de rencontrer la Mort que de tomber sur un filon d’or.
Avec ses colts, un couteau ou avec ses poings, le Bouncer se défend pas mal pour un manchot. C’est pas qu’il soit violent, mais disons qu’il n’hésite pas à tuer pour défendre ce qui lui paraît juste et beau.
Et cette fois encore, pour venger ceux qu’il aime, injustement victimes de la fureur des temps mythiques de la conquête de l’Ouest, c’est en Enfer que le Bouncer va devoir faire un aller-retour…
Les éditions Glénat sont heureuses d’accueillir en leur sein la suite des aventures du Bouncer, créé par deux auteurs au moins aussi cultes que leur personnage...
Une nouvelle aventure sanglante et grandiose, qui verra sa fin dans un deuxième album à paraître en 2013.
Au lendemain de la guerre de sécession, un groupe de soldats confédérés sème la terreur. Ces loyaux serviteurs d'un Sud sécessionniste et raciste s'en vont de meurtres en pillages. Leurs refus de déposer les armes et d'accepter la défaite, ils le hurlent en faisant couler le sang de ceux qui croisent leur route.
Le capitaine Ralton Van Dorman est à la tête de cette horde de militaires-pillards. Afin de lever sa propre armée et de venger l'honneur perdu de la Confédération, il décide de s'emparer d'un légendaire diamant, "L'oeil de Caïn". Volé par sa propre mère 17 ans auparavant, le joyau n'a jamais été retrouvé. Persuadé que l'un de ses frère sait où est caché le diamant, Ralton se sépare d'une partie de ses hommes et part à sa recherche.
Ralton et ses hommes continuent de dévaster la région. Après avoir incendié la banque de Barro City, ils attaquent une diligence en route pour la ville. Les conducteurs et les passagers sont méthodiquement massacrés. Mais lorsque les hommes de Ralton veulent tuer la plus jeune des passagères, une certaine Déborah, Ralton s'y oppose farouchement. Il tue même l'un de ses hommes pour la protéger. Elle est sanglée sur un cheval en direction de Barro City, à demi consciente.
Lorsqu'elle arrive en ville, le shérif la conduit vers l'école municipale. Déborah s'est portée candidate pour remplacer la précédente institutrice, assassinée par ses propres élèves. La jeune femme découvre que les enfants sont séparés par un grillage suivant leurs origines sociales. Elle décide d'abolir ce type de ségrégation, malgrés l'opposition du maire et du shérif. Cette décision a pour conséquence immédiate de braquer les notables contre la nouvelle arrivante, qui se retrouve isolée dans ses nouvelles fonctions...
Bouncer et Seth sont bien loin du tumulte de Barro City. Le manchot a emmené son neveu dans un endroit retiré, une vallée où lui-même a été initié au maniement des armes et au contrôle de soi. Seth entame une longue initiation, où souffrance et privation seront son quotidien. Sera t-il prêt à temps pour venger la mort de ses parents ?
Le bourreau de Barro-City n'est plus, mortellement empoisonné par la morsure d'un serpent venimeux. Meurtre ou accident, personne ne le sait et peu importe. Une pendaison devait avoir lieu le lendemain de sa disparition et plus personne n'est là pour tendre la corde. Le Shérif et le Maire doivent donc tirer au sort le nouveau bourreau, métier marqué par l'infamie dans l' Ouest Américain.
C'est le Bouncer qui est désigné par la malchance. Et c'est sous les sifflets de la population qu'il conduit Ogre Jim à l'échafaud. Le colosse arriéré a sur la conscience les meurtres de huit enfants qu'il a tout bonnement dévoré et pas une once de remords en lui. Le nouveau bourreau est d'ailleurs obligé de l'assommer quand à quelques mètres de la potence, le monstre tente une dernière fois d'agresser une mère de famille et son enfant !
Comme si son nouveau statut de bourreau ne suffisait pas à pourrir la vie du Bouncer, il doit aussi faire face à Clark Cooper et Mara Mars, sa traînée de compagne. Le richissime couple a racheté tous les saloons de la ville et l'Infernio est le dernier sur la liste. Bouncer et Noémie vont-ils se retrouver sans le sou sur les trottoirs de Barro-City ?
La suite des aventures du justicier manchot dans ce Far West sans foi ni loi mis en scène par Alexandro Jodorowsky et François Boucq !
Couleurs : Nicolas Fructus
Jusqu'ici, le "bouncer", bourreau professionnel manchot subissait l'action au point d'être contraint d'exécuter lui-même la femme qu'il aimait.
Dans ce nouveau tome, il redresse la tête dès les premières planches (un des combats western qui fera date, le héros venant à bout de plus de 17 adversaires...). Le souffle et l'ampleur de la vengeance qu'il va exercer, ainsi que le besoin de camper les grands espaces du far west font que Boucq et Jodorowsky n'ont pu résister, contrairement à la première histoire, au plaisir de boucler ce nouveau cycle en 3 tomes.
Couleurs : Sébastien Gérard & François Boucq
Parce qu’il aime autant jongler avec les images qu’avec les mots, Alexandro Jodorowsky a proposé un jeu à son ami François Boucq. Il écrirait des dizaines de courtes fables, autant d’univers en réduction, porteurs d’humour ou de sagesse, de poésie ou de brutalité, d’ironie ou d’émerveillement.
Dans ce flot continu, Boucq puiserait une quarantaine de textes à illustrer, prolonger, commenter, mettre en scène.
De fil en aiguille, une histoire originale est née de ce jeu entre deux grands auteurs menés par leur inspiration et leur goût de la liberté.
Une perle rare à (re)découvrir au format 30 x 40, dans une édition luxueuse en bichromie.
Le deuxième volume de l’Intégrale de la fameuse série Bouncer.
Présente-t-on encore le Bouncer, le héros manchot imaginé par le duo Boucq et Jodorowsky ? L'idée de la saga du Bouncer est née au début du millénaire de leur envie conjointe de revisiter le genre du western.
Rescapé d'une histoire familiale sordide, qui l’a laissé manchot et l'âme meurtrie, le Bouncer (videur en anglais) n'hésite pas à tuer pour survivre et défendre ce qu'il croit juste.
Ce deuxième volume de l’Intégrale réunit les T3, 4 et 5 de la série.
Un diptyque grandiose du héros culte de Boucq et Jodorowsky
À l'occasion de la sortie de Bouncer T9 paraît un coffret compilant les deux volumes du diptyque To Hell and Back ainsi qu'un ex-libris.
Le deuxième volume des aventures d'Albino, Maître de Jeux idéaliste, en butte au mercantilisme, à la violence et au cynisme de ses enseignants de technopères. Où Albino bluffe tout le monde par ses capacités, à commencer par ses professeurs les plus suprêmes.
En marche vers un monde meilleur ?
Couleurs : Fred Beltran
L'histoire d'Albino, créateur de jeu devenu dieu dans une anticipation régie par la violence, le rêve et le commerce.
La première incursion d'Alexandro Jodorowsky dans le cyber-espace.
Couleurs : Fred Beltran
Voici une quête qui fait penser à celle de Moïse et replacée à l'échelle cosmique. Après la maison des Atrides et la tragédie grecque pour le Méta-Baron, Jodorowsky revient à ses racines bibliques. Mais surtout, les personnages et le thème de la réalité virtuelle ont été taillés sur mesure pour Janjetov qui trouve là chaussure à son pied.
Albino, héros d'albâtre de cette odyssée de l'espace virtuel, est devenu un maître dans la création des jeux en réalité virtuelle qui dominent la galaxie. Il se souvient de son enfance, de son apprentissage, et des batailles grandes ou petites qu'il a dû mener pour réaliser ses ambitions, dans un univers où les progrès techniques n'ont paradoxalement d'égaux que la cruauté et la barbarie des êtres qui sillonnent les étoiles. Un roman d'éducation version SF, en même temps qu'une fable sur les pouvoirs illimités de l'imagination et du rêve.
Devenu un patriarche, il conduit enfin dans le tome 8 la communauté qu'il a rassemblée autour de lui vers la galaxie promise. Un happy end qui n'est guère dans les habitudes des univers déchirés et gothiques du maître !
Couleurs : Fred Beltran
Paris, sous l'Occupation. La vie y est terne, grise et douloureuse. Toutes ces restrictions, ces exactions, ces injustices... C'est dans un autre monde qu'il faudrait s'échapper pour retrouver le goût de la fantaisie, du rire et oublier quelques instants la sordide réalité quotidienne.
Pietrolino est ce magicien. Accompagné de Simio, son fidèle compagnon de route qui veille sur lui (c'est lui qui nous conte l'histoire), Pietrolino le saltimbanque enchante, le temps d'une parenthèse, les personnes accoudées aux tables des troquets, faisant vivre à l'aide de ses mains et de son corps uniquement des univers sans parole mais tellement expressifs... Ses outils de travail (ses mains et sonvisage) sont les miroirs de son imagination et de son âme.
Seulement l'idéaliste Pietrolino sera trahi par une femme de peu de vertu. Arrêté lors d'un numéro audacieux mimant l'oppression nazie, les SS lui cassent soigneusement les mains (objets du délit) et le déportent dans un camp de travail... Amoureux de la vie, de la fantaisie et des autres, Pietrolino met cependant tout son coeur pour égayer ce temps et garder espoir... Mais la trahison fait mal, plus mal encore que ses mains brisées et lorsque par hasard Colombella réapparaît au bras d'un officier allemand avec pour mission d'occuper quelques unes de ses heures, Pietrolino se mure dans le silence du désespoir... Il faudra la fin de l'Occupation, l'ingéniosité de Simio, la jeunesse d'Alma la saltimbanque qui admirait tant Pietrolino, pour que celui-ci reprenne goût à la vie... jusqu'à ce que le destin fasse une fois de plus tomber le grand rideau rouge sur ses projets...
Pour les nostalgiques de La Caste des Méta-Barons, voici un volume "one shot" qui marque le retour du guerrier ultime de la galaxie. Une affiche prestigieuse, un casting de rêve. Alexandro Jodorowsky est coutumier du fait, il a déjà associé Beltran et Janjetov sur Les Technopères. Cette fois le fidèle Janjetov, disciple de Moebius qui débuta avec Avant l'Incal, rencontre pour un match amical un extraordinaire virtuose, maître adulé des comics américains, le Canadien Travis Charest. Ce dernier a dessiné l'épisode central de l'album, tandis que Zoran Janjetov a réalisé l'ouverture puis la partie finale. Tout chevalier doit avoir son Excalibur ! C'est là le concept de l'album. Le trio Jodorowsky, Janjetov & Charest raconte comment le Méta-Baron a réuni autour de lui les armes les plus puissantes et les plus destructrices qui ont fait de lui un soldat invincible et invaincu.
Est-ce le prélude à une nouvelle série qui aurait le dernier des Méta-Barons pour héros ? Tout le monde l'espère en secret.
La quête d'Albino pour accéder au rang de Suprême Technopère s'avère de plus en plus difficile. Halkattraz, l'astre artificiel où se tiennent les techno-séminaires des bourreaux, sera en effet sa prochaine destination. La souffrance et la cruauté sont les traitements que les professeurs d'Halkattraz réservent au jeune candidat.
Jodorowsky, Janjetov et Beltran donnent à la science-fiction et aux mondes virtuels de bien douloureux contours.
Couleurs : Fred Beltran