Le 18 décembre 2013, le quotidien officiel cubain "Granma" annonce l'autorisation de l’importation de véhicules à Cuba, après 50 ans d’interdiction et d’embargo : l’un des signes d’une lente ouverture du régime communiste. Par hasard, c’est le jour que choisit Lapin pour le lancement de son livre “Oldies But Goldies”, une compilation d’illustrations de voitures d’un autre âge, glanées au fil de ses voyages.
Il n’en faut pas plus à Lapin pour décider de se rendre à Cuba, afin d’expérimenter cette machine à voyager dans le temps où circulent les vieilles américaines trafiquées au milieu de vestiges d’architecture coloniale et art déco.
Lapin croque durant 3 semaines les visages, les rues et le quotidien de La Havane et de Trinidad, et nous raconte les rencontres qu’il a faites là-bas, cet ailleurs en autarcie, dont le principal charme réside dans l’esprit de dérision et le fatalisme des Cubains, modelés ou écœurés par 56 ans de Révolution castriste. Et presque autant d’embargo américain…
Une galerie de portraits colorés et encore hors du temps.
Par temps de guerre, le bonheur n’a pas toujours le visage que l’on croit.
1919.
Voilà quelques temps que Félix est rentré au pays et qu’il a retrouvé femme et enfant. Alors qu’il tente de rattraper le temps perdu et de reconstruire son identité, emportée par un obus avec une partie de son visage, la tension monte dans le village.
L’étrange affaire du tueur de bêtes prend de l’ampleur, et le commissaire en charge de l’affaire fait une surprenante découverte sur Félix...
A. Dan et Galandon clôturent l’enquête, toujours en explorant, avec pudeur, la thématique du retour à la vie civile après le traumatisme de la Grande Guerre.
Fruit de plusieurs séjours – mais plus spécifiquement de celui de février 2012 – en terre israélo-palestinienne, cet ouvrage donne la parole à des «Palestiniens du quotidien » sur leur vision du devenir de leur région.
Privilégiant le témoignage individuel – plutôt que la fresque historique ou les prises de position officielles – ce carnet de route espère proposer des éléments de réflexion complémentaires sur l’organisation politique qui pourrait prendre place sur cette terre (en particulier suite à la demande de reconnaissance d’un Etat palestinien à l’ONU en 2011, et aux controverses qu’elle a suscitées).
Un Etat ? Deux états ? Qu’est-ce qui est souhaitable ? Envisageable ? Crédible ?
Pour mettre en perspective cette question, les auteurs ont également donné la parole à trois spécialistes du conflit, Michel Warschawski, Frank Barat et Dominique Vidal.
Avec ses somptueux dessins, ce carnet de route présente la Terre Sainte sous un aspect bien plus politique et journalistique que touristique…
Prix spécial du jury, Prix Michelin à Clermont Ferrand
Au 1er étage de L'Immeuble d'en face réside une mère célibataire et enceinte. Au second, un couple entre deux âges. Et au troisième un couple de jeunes amoureux, Claire et Louis. Un immeuble comme tant d'autres avec ses croisements dans l'escalier, sa solidarité et ses petites histoires, amoureuses ou douloureuses.
Des tranches de vie pleines de justesse et de fraîcheur.
Un malicieux "manga à la française", préfacé par Frédéric Boilet qui devrait séduire les amateurs aussi bien de shojo que de romans graphiques !
« Je suis né quelques jours après la fin de la révolution, le 29 janvier. Fidel Castro et les barbudos venaient de renverser le dictateur Batista… »
Alejandro González Raga est un Cubain comme les autres, un enfant de la révolution. Il étudiera même dans des écoles militaires et sera donc abreuvé à satiété de propagande castriste.
Mais le jeune homme aime le rock and roll et, sans doute plus que d’autres, souffre des conditions de vie imposées sur la grande île : surveillance permanente, liberté de mouvement entravée et contrôlée.
Il se met donc à écrire des articles et à militer dans des partis politiques demandant le rétablissement de la démocratie.
C’en est trop pour le régime qui déclenche en mars 2003 l’opération Printemps Noir et arrête ses opposants les plus gênants.
Alejandro ne sortira de prison qu’en 2008, suite aux tractations de l’Union Européenne et de l’église cubaine et grâce au soutien d’organisations telles que Reporters sans frontières et Amnesty International.
A travers l’itinéraire d’un homme, la description des errements d’une révolution pourtant initialement légitime...
En co-édition avec Amnesty International
1957, Cuba aux temps de la dictature de Batista. Benigno, jeune paysan cubain amoureux et bientôt père voit sa vie s’effondrer quand sa femme tombe sous les balles des soldats.
Aveuglé par son désir de vengeance, il rejoint les guérilleros qui campent près de chez lui et s’engage aux côtés de Fidel Castro, Camillo Cienfuegos et du Che. Il les suivra jusqu’à la prise de La Havane. Fidèle à ses compagnons et à l’idéal révolutionnaire, il continuera le combat dans d’autres pays, notamment en Bolivie où il sera du dernier combat de Che Guevara.
Parmi les seuls survivants de cette révolution manquée, il a rejoint Cuba avant de partir, des années plus tard, en exil en France. C’est là qu’il a confié à Christophe Réveille ses souvenirs de lutte. Celui-ci en a d’abord fait un livre (Benigno, dernier compagnon du Che) puis le scénario d’une bande dessinée historique captivante, mise en images par le jeune et talentueux Simon Géliot.
Tout à la fois l’itinéraire d’un homme sans éducation que la révolution façonne, un témoignage historique et un thriller…
Luca, 12 ans, n'a aucune envie de passer l'été dans le coin perdu où habite son grand père. Pourtant ses parents, sous prétexte de rupture, l’abandonnent là.
Déterminé à se montrer taciturne et à rester dans son coin, l’adolescent va, involontairement, faire de multiples rencontres et découvertes, parfois à la lisière de l'onirisme : une jeune fille à la joie de vivre communicative, une bande de copains rigolards et de mystérieuses méduses lumineuses dans les étangs alentours...
L’été de Luca ne sera pas celui du passage à l’âge adulte mais celui de la sortie de l’enfance, finalement sans heurts…
1940, les Allemands envahissent une Belgique neutre, sans véritable défense. Durant l’Occupation, comme de nombreux autres jeunes de Chimay, Yvon veut échapper aux camps de travail : il décide de se cacher dans la forêt. Hélas, les occupants ne quittent pas les lieux. Les semaines passent, puis les mois et les années… Au total, ce sont quatre interminables années qu’il va passer dans les bois à lutter contre la peur, la faim et la folie…
Lorsqu’il peut enfin sortir de son refuge, Yvon éprouve un besoin vital de changer d’air pour effacer ses cauchemars et se donner l’occasion de démarrer de plain pied sa vie d’adulte. Il prend donc le premier bateau en partance pour le Congo, la colonie belge si pleine de promesses.
Avec sa nature envoûtante et ses innombrables défis à relever, le Congo lui redonne peu à peu de l’assurance et lui permet de rattraper les années perdues. Mais dans une Afrique qui aspire irrémédiablement à son indépendance, Yvon parviendra-t-il à préserver cet équilibre de vie qu’il a trouvé à l’autre bout du monde ?
Un nouveau récit passionnant qui mêle souvenirs familiaux et grande Histoire.
Lorsque Camille rentre de ses vacances au Canada, tout se précipite : son amoureux québécois (resté sur place) exerce sur elle une sorte de chantage affectif et l’arrivée des examens n’est pas de nature à la rassurer… S’ensuit une montée de stress qui va bouleverser à jamais sa vie !
Epuisée, constamment au bord des larmes, Camille découvre le quotidien d’une bipolarité (maniaco-dépression) qui lui donne plusieurs fois envie d’en finir. Elle enchaîne les séjours en centres psychiatriques, au grand désespoir d’un entourage qui a parfois du mal à la comprendre...
Entre euphories passagères, expérimentations diverses et rechutes brutales, Camille tente de retrouver une vie de jeune femme « normale »…
Le journal d’une bipolaire est le récit autobiographique bouleversant d’une jeune femme en proie à une fluctuation anormale des troubles de l’humeur. Si le trouble bipolaire est une pathologie psychiatrique bien connue, rares sont les témoignages qui la présentent simplement, dans son apparition et ses conséquences sur le quotidien.
Un témoignage authentique, qui n’est pas sans rappeler Dans la secte, un livre déjà scénarisé par Patrice Guillon, alias Pierre Henri, qui met ici en forme le récit de sa propre fille.
Un récit porté par les dessins vifs et expressifs de Sébastien Samson, un débutant au dessin déjà mature…
Postface : Christian Gay
Ce « livre-carnet » raconte le voyage que les auteurs (un écrivain, un dessinateur et un photographe) ont entrepris en octobre 2009, dans le cadre d'un échange artistique franco-palestinien entre les Centres Culturels Français sur place et le Rendez-Vous du Carnet de Voyage de Clermont-Ferrand.
Ils sont partis dans l'idée de faire le portrait d'une Palestine méconnue, vécue et racontée par les Palestiniens eux-mêmes. Pour cela, ils ont apporté avec eux une exposition de leurs travaux qui voyageait de CCF en CCF, depuis Hébron jusqu'à Naplouse en passant par Ramallah. Les vernissages furent l'occasion de premières rencontres et ensuite, les choses se sont vite enchaînées :
« Les Palestiniens se sentent si peu reconnus, ont tant besoin d'être écoutés, qu'il nous fut très facile de les aborder. Entretiens, portraits sur le vif, reportages photographiques... Nous n'avons pas chômé ! ».
Un carnet de route à trois voix qui fait la part belle à l’humain (découvrez la bande-annonce en cliquant ici).
A.D. retrace l’itinéraire de sept personnes ayant survécu à Katrina, le terrible ouragan qui a frappé la ville de La Nouvelle Orléans le 28 août 2005 et a laissé dans le sillage de ses vagues de 11m, de ses vents de 280km/h, pas moins de 1836 morts ainsi que des dizaines de milliers de sans abris.
Si Denise, Léo, Michelle, Abbas, Darnell, Kwane et le Docteur ont donc survécu au drame, ils ont connu des fortunes diverses, sur place ou à l’extérieur… Mais aucun d’eux n’est sorti indemne de la catastrophe.
Venu sur place en tant que volontaire de la Croix Rouge, le dessinateur Josh Neufeld a pris le soin de les écouter, a recueilli leur témoignage et en a tiré un roman graphique d’abord diffusé sur internet avant d’être publié en livre.
Il offre sur cet événement marquant un point de vue sans parti pris mais multiple et saisissant. Une lecture dont on ne sort pas indemne, nous non plus.
Beth est à l'âge des découvertes.
En vacances en camping avec ses parents, l'adolescente est fascinée par une fille à peine plus âgée qu'elle mais bien plus libre. A son contact, Beth évolue, sent poindre des désirs de rébellion et une vague de frustration.
Le titre joliment ambigu Fille perdue désigne ainsi autant Beth que cette enfant disparue aux environs de la plage dont parlent les journaux.
Un dessin dépouillé et élégant, une narration ample, des regards qui en disent davantage que les mots.
Une des premières œuvres parues à La Boîte à Bulles, par un auteur anglais injustement méconnu mais dont les ouvrages ont marqué leurs lecteurs (Fille perdue, Birthday Riots et Les Noyés). Fille perdue est un récit de l'adolescence hypnotique et troublant, une œuvre fine et envoûtante...
Un livre sur une mère est en général tendre, doux. Celui de Raphaël Terrier ne peut l’être :
“J’avais besoin d’exprimer les ravages que peut produire l’alcool dans un foyer. Et la complexité des sentiments que peut éprouver un enfant dans de telles circonstances. ”
Un sujet qui s’imposait à lui :
“Je tenais à ce que ma première BD traite de ce sujet, de cette histoire de famille compliquée.”
Raphaël a six demi-frères et une demi-sœur. Il adorait sa maman mais n’a pas supporté de la voir se détruire.
Raphaël raconte son parcours, de l’amour le plus pur à la coupure sans retour, depuis dix ans. Sans faux-semblants, sans effets larmoyants, sans apitoiements. Avec une franchise, une force brute – tant dans la narration que dans les dessins – qui frappent et captivent.
Une BD cathartique :
“A force d’enterrer les souvenirs douloureux, je commençais à ne plus me souvenir de mon enfance, à ne plus savoir pourquoi j’avais quitté ma mère et si c’était pour de bonnes raisons. Désormais je me rappelle ; faire cette BD m’a permis de mettre les choses au clair.”
Un coup de cœur et un choc.
Sollicitée par le CIVAM (Centre d'Initiative pour Valoriser l’Agriculture et le Milieu Rural), la bande des Carnettistes Tribulants a sillonné la France à la rencontre de femmes agricultrices (éleveuses, maraîchères, herboristes, viticultrices, oléicultrices, accueillantes sociales....) et qui, toutes, exercent ce métier par choix.
Un voyage au cœur d'un monde rural en mutation où les femmes défendent fièrement cette palette de métiers exigeants – dont le choix tient le plus souvent de la « vocation » – et s’engagent pour relever les défis d'avenir qui leur sont attachés.
19 portraits d’agricultrices par 14 auteurs aux sensibilités graphiques multiples.
Une échappée au cœur de nos campagnes, aux beautés souvent rudes et transcendées par la palette des talents des Carnettistes Tribulants. Un bel ouvrage au diapason de la nouvelle collection [Les Carnets] de La Boîte à Bulles.
Finie l’image des transports en gris, où personne ne se parle ! Le bus, le train, peuvent aussi devenir des lieux de rencontres, voire… de sentiments.
A la demande des Transports Urbains du Blaisois et du Festival BDBoum de Blois, 26 auteurs parmi les plus grands ont laissé libre cours à leur imagination pour donner leur interprétation de ces transports émotifs :
Avec également des illustrations de
Quand le rêve et la fantaisie viennent illuminer le quotidien… Aucune fausse note pour cette symphonie urbaine.
La petite dame qui bavarde avec tout le monde, le bus décoré de la Saint-Bus, les histoires d’amour sur les quais ou les conversations privées qui ne le sont plus, tout peut arriver dans ces transports sentimentaux ! Le quotidien transcendé et enchanté par l’émotion ou l’imaginaire.
Un lycée qui pourrait être celui de Royan va célébrer son centenaire. C’est une occasion pour ses anciens élèves de venir renouer avec leur passé, leurs racines. Parmi eux, trois hommes et trois femmes de quarante ans, ainsi qu’une jeune sexagénaire. Ce retour vers leur jeunesse, ces retrouvailles, plus ou moins inattendues vont être l’occasion, pour eux, de faire le point sur leur existence passée, actuelle et future.
Juliette, la prof de français à la vie si bien rangée descend de Paris avec, Lucas, le bobo dont la vie sentimentale est moins brillante que la carrière….
Brigitte, la mère de ce dernier, serait une retraitée épanouie si elle ne souffrait du silence cruel de sa fille Hélène… A cette fête se rendent également Frank, l’employé de mairie encaisse mal de départ de sa femme et Marianne, une jolie fille promise à un brillant avenir qui a finalement trouvé son équilibre en devenant agricultrice… Ce qui ne manque pas d’intriguer ses ex-soupirants - en particulier Olivier, un docteur revenu s’installer en ville, qui en pince toujours pour elle…
Portée par les dessins délicatement aquarellés de Benjamin Bouchet, une BD chorale où s’entrecroise sept destins croqués avec finesse et justesse par Patrice Guillon qui fait entendre au fil du récit sept voix off, avec chacune sa sensibilité, son langage, son humour. La vie, la vraie, avec ses coups de cœur et ses coups de gueule, ses ruptures, et ses retrouvailles. Prenant et poignant.
Un beau matin, Elias se réveille heureux.
Sans raison apparente, l’insouciance prend place dans sa vie et le journaliste semble s’éveiller d’un long songe où le cynisme était de rigueur. Faisait-il un « déni de bonheur » ?
C’est en tout cas ce que lui suggère Sabrina, une sage-femme rencontrée à la terrasse d’un café, qui pense que son métier consiste à accoucher les esprits autant que les corps.
Tous deux se situent à un moment clef de leur vie où s’entremêlent doutes, remises en cause et questionnements existentiels. Sabrina envisage de devenir rabbin tandis qu’Elias souhaite réorienter sa carrière...
Dès lors ils s’engagent ensemble sur un même chemin et décident de voir leurs vies avec un oeil nouveau. Un regard qui sera, peut être, susceptible de leur apporter une paix intérieure...
Une histoire du quotidien pleine de sagesse et d'optimisme sur la notion de bonheur, teintée de philosophie positive et d’humour.
Oscar est un dominateur-né qui aime être entouré de courtisans ou plutôt de souffre-douleur. En compagnie de sa bande de suiveurs, il prépare l’exposition qui fera irrémédiablement exploser son talent.
Oscar est sans pitié. Il a aimé sa voisine, Anna, abusé quelques temps de sa naïveté avant de rompre. Point final de l’histoire, pensait-il. Mais Oscar se trompait, Anna lui réservait quelques surprises.
A l’origine Anna s’appelait Hôtel Particulier.
Le premier tome de ce thriller psychologique était paru aux éditions Soleil en album cartonné. Sans suite.
La Boîte à bulles en propose désormais une version intégrale entièrement revue par les auteurs dans sa collection Contre-jour.
L’occasion de découvrir enfin cet album, le plus intimiste dans l’œuvre de Christophe Bec, entièrement réalisé d’après des images tournées pour l’occasion. Une peinture de mœurs aussi saisissante que cruelle et ironique et une plongée dans le milieu de l’art contemporain caustique à souhait.
Un microcosme que Stéphane Betbeder connaît bien pour l’avoir fréquenté quelques temps.
Deux histoires, deux époques.
Nantes, au XXIe siècle.
À la limite du vagabondage, Lucien débarque en ville, sans argent ni repères. Le hasard lui fait croiser le chemin d’Ernest, un vieil homme paisible.
Ernest... Est-il vraiment ce qu’il paraît être ? Un petit vieillard solitaire, doux et sans histoires ? Petit à petit, son passé remonte à la surface… Un passé étonnant…
Ile de Gorée, au XVIIIe siècle.
Un sorcier vaudou négocie avec un capitaine négrier la libération de son « stock » de marchandises... Un marché au prix inestimable.
Au fil des chapitres, le lien entre ces deux époques se dessine et donne à voir furtivement un pan peu glorieux de l’histoire de Nantes...
Un album sans paroles au graphisme puissant et singulier, doté d'un habile jeu sur les ambiances et les couleurs.
Créé à l’initiative du festival de bande dessinée et de musique « Les Courants » à Amboise et Saint-Ouen-les-Vignes, Au gré des courants rassemble plus d’une centaine de dessins croqués à Amboise et ses environs. Divisé en quatre parties distinctes (Amboise, Le Clos Lucé, Saint-Ouen-les-vignes et l’Île d’Or), ce carnet de pérégrination permet de découvrir - ou redécouvrir - ces lieux, leurs trésors cachés et un peu de ce qui fait leur âme.
Au fusain ou à l’aquarelle, à la craie ou à l’encre de Chine, les dessins de Simon Hureau donnent vie aux bâtiments et aux statues et fourmillent de détails et d’annotations poétiques.
Un bel album généreux qui nous permet d’ouvrir les yeux sur les beautés du patrimoine français.