L'histoire d'Henriette, une adolescente grassouillette, très complexée et très rêveuse.
Pour échapper à sa dure condition de pauvre petite fille myope, elle confie à son journal sa version, corrigée, de la réalité.
Henriette est publiée par le mensuel 'Je Bouquine'
Henriette est une petite fille de 13 ans parfaitement ordinaire, avec des parents, des amies, et même un chien. Elle n'est pas un canon de beauté, ne s'intéresse ni au dernier magazine people, ni à la couleur préférée de Tom Bouse. Elle aime lire, se confier à son journal intime, écouter Jacques Brel et écrire des aventures dont l'héroïne serait une Henriette adulte, fine et charismatique.
Pour l'instant un peu ronde, petite, avec des lunettes et des vêtements ringards, elle doit supporter le regard des autres, de son père pas très finaud, de sa mère femme au foyer et de ses copines aussi branchées qu'hystériques. Quand elle n'en peut plus d'endurer la stupidité générale de son entourage, elle se réfugie dans son monde intérieur, où elle imagine des vengeances hilarantes aux mille petites humiliations du quotidien.
Mais heureusement, grâce à certaines amitiés indispensables, les victoires existent aussi dans la vraie vie…
Par le duo Dupuy et Berbérian, ayant reçu le grand prix d'Angoulême en 2008.
Henriette est petite, rondouillarde et myope : pas toujours facile à vivre quand on est une adolescente ! Surtout quand on est flanqué de parents un peu idiots et de copines complètement fashion victim.
Alors Henriette se confie à son journal intime auquel elle raconte, avec humour et parfois un brin de cruauté les péripéties du quotidien.
Par le duo Dupuy et Berbérian, ayant reçu le grand prix d'Angoulême en 2008.
L'intégrale de la série, en édition limitée et à prix réduit, à l'occasion des 40 ans des Humanoïdes Associés.
Entre les galères des copains qui débarquent sans crier gare pour s'installer sur le canapé, les crises existentielles des couples face à l'arrivée de leur premier enfant, les fiancées avides d'engagement et le caractère lunatique de sa concierge, Monsieur Jean essaie tant bien que mal de préserver son quant à soi.
Parisien, écrivain et trentenaire, il est le héros de ces chroniques pleines d'humour sur la vie d'un citadin bien de son temps.
A l'occasion de la réédition de La Théorie des gens seuls, livre hors série mettant en scène Monsieur Jean, le personnage phare de Dupuy & Berberian, les Humanoïdes Associés ont réédité les intégrales petit format Monsieur Jean, publiées en 2007 et qui avaient été presque instantanément épuisées. Une fabrication qualitative, avec jaquette et pelliculage mat, proche de celle des intégrales sorties en 2007.
Couleurs : Claude Legris
Le personnage phare de Dupuy et Berberian est de retour !
Dans cette réédition de La théorie des gens seuls en bichromie, vous redécouvrirez les coulisses de la vie de Monsieur Jean et replongerez dans un univers plein de finesse et d’humour.
Appel à tous les curieux et autres indiscrets: Dupuy et Berberian explorent les jardins secrets de l'emblématique Monsieur Jean : Que fût l'adolescence de Jean, Clément et Félix ? Sont-ils restés fidèles à leurs promesses d'antan ? Quels sont les cauchemars de Monsieur Jean ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles répondent les auteurs, élaborant même au besoin des théories que vous trouverez dans cet album.
Dans ce Monsieur Jean hors-série, Dupuy et Berberian se penchent sur les à-côtés des aventures de l'attachant personnage, sur des anecdotes non développées au cours de la série. Ils explorent avec délices le petit monde de Monsieur Jean, empruntent les chemins de traverses et tissent ainsi des liens entre tous les épisodes.
La série phare de Dupuy et Berbérian, ayant reçu le grand prix d'Angoulême en 2008.
Entre les galères des copains qui débarquent sans crier gare pour s'installer sur le canapé, les crises existentielles des couples face à l'arrivée de leur premier enfant, les fiancées avides d'engagement et le caractère lunatique de sa concierge, Monsieur Jean essaie tant bien que mal de préserver son quant à soi.
Parisien, écrivain et trentenaire, il est le héros de ces chroniques pleines d'humour sur la vie d'un citadin bien de son temps.
La série phare de Dupuy et Berbérian, ayant reçu le grand prix d'Angoulême en 2008.
Entre les galères des copains qui débarquent sans crier gare pour s'installer sur le canapé, les crises existentielles des couples face à l'arrivée de leur premier enfant, les fiancées avides d'engagement et le caractère lunatique de sa concierge, Monsieur Jean essaie tant bien que mal de préserver son quant à soi.
Parisien, écrivain et trentenaire, il est le héros de ces chroniques pleines d'humour sur la vie d'un citadin bien de son temps.
La série phare de Dupuy et Berbérian, ayant reçu le grand prix d'Angoulême en 2008.
Entre les galères des copains qui débarquent sans crier gare pour s'installer sur le canapé, les crises existentielles des couples face à l'arrivée de leur premier enfant, les fiancées avides d'engagement et le caractère lunatique de sa concierge, Monsieur Jean essaie tant bien que mal de préserver son quant à soi.
Parisien, écrivain et trentenaire, il est le héros de ces chroniques pleines d'humour sur la vie d'un citadin bien de son temps.
La série phare de Dupuy et Berbérian, ayant reçu le grand prix d'Angoulême en 2008.
Entre les galères des copains qui débarquent sans crier gare pour s'installer sur le canapé, les crises existentielles des couples face à l'arrivée de leur premier enfant, les fiancées avides d'engagement et le caractère lunatique de sa concierge, Monsieur Jean essaie tant bien que mal de préserver son quant à soi.
Parisien, écrivain et trentenaire, il est le héros de ces chroniques pleines d'humour sur la vie d'un citadin bien de son temps.
La série phare de Dupuy et Berbérian, ayant reçu le grand prix d'Angoulême en 2008.
Entre les galères des copains qui débarquent sans crier gare pour s'installer sur le canapé, les crises existentielles des couples face à l'arrivée de leur premier enfant, les fiancées avides d'engagement et le caractère lunatique de sa concierge, Monsieur Jean essaie tant bien que mal de préserver son quant à soi.
Parisien, écrivain et trentenaire, il est le héros de ces chroniques pleines d'humour sur la vie d'un citadin bien de son temps.
Coloriste : Claude Legris
La vie de d’Émile a basculé le jour de la 1ère fête de la musique en 1982. Ce jour-là, alors que son groupe allait être repéré par des rocks critiques parisiens, assurant ainsi leur probable gloire, Emile a été incapable de plaquer un accord sur sa guitare. Il n’a jamais compris pourquoi.
28 ans plus tard, Emile est plutôt la star de la loose. Il a un fils de cinq ans avec qui il vit chez ses ex-beaux parents, qui le considèrent comme un garçon immature, et il est harcelé par son exfemme. Il travaille pour un agent ommobilier antipathique, drague des filles bien plus jeunes que lui en les emmenant dans des villas à vendre.
Mais la banalité de sa vie disparaît avec l’arrivée de Boris, un extraterrestre tentaculaire. Boris est venu reprendre une petite boîte oubliée en Bretagne le 21 juin 1982. Témoin de la scène, le patron d’Emile se fait retourner la tête par Boris.
Et ce qui n’aurait dû être qu’une virée discrète sur terre se transforme en une course-poursuite à travers le temps, dans un petit rayon de 10 kilomètres en Bretagne.
Du fond de la fosse 9, Orfeo, un jeune « meneux d’quéviaux », s’apprête à faire sortir par le monte-charge, Pigeon, un vieux cheval qui travaille au fond de la mine depuis plus d'une décennie. Mais au lieu d’arriver sur le carreau du puits, ils se retrouvent devant une structure de verre : le musée du Louvre à Lens, vide de tout visiteur. Par quel mystère ont-ils traversé le temps? Peu importe...
Orfeo est frappé par la beauté de ce lieu inconnu et étrange pour lui. Parcourant les galeries, il décrit ce qu’il voit à Pigeon, dont il a bandé les yeux pour les protéger de la lumière.
Dans une atmosphère irréelle, leur chemin croise des œuvres d’époques très lointaines et très différentes, qui s’animent sur leur passage. Il y a l’Idole aux Yeux qui parle, vole, explique, raconte ; le cul d’Hermaphrodite qui lui rappelle tant Yvette, la Muse des mineurs ; les Ouchebtis, en grand nombre, à la recherche de la sépulture de leur maître ; la déesse Bastet sous l’apparence d’un chat... Un dialogue débute entre Orfeo et les œuvres d'art.
Celles-ci lui expliquent leurs fonctions, tandis que le jeune homme leur déroule l'histoire de la fosse 9. Ouvertes en 1889, les galeries de la fosse 9 sont inondées, chevaux compris, les machines démontées par les Allemands, afin de détruire l’industrie du charbon, pendant la Grande Guerre. Elle reprend du service en 1924 seulement, le temps de tout remettre en marche, pour devenir après la Seconde Guerre, un camps pour les prisonniers allemands, puis le lieu des garnisons britanniques.
C’est alors qu’Orféo et son meilleur ami le Grand Dédé — celui qui ressemble tant à la statue du Kouros de Paros, exposée dans la Galerie du Temps —, descendent à leur tour comme les pères et grands-pères dans la mine. Pigeon y est alors depuis déjà 10 ans.
Entre le monde de la mine et les œuvres d'art, des correspondances sémantiques se créent, un lien intime se tisse entre les générations. C’est un dialogue à travers le temps, qui raconte l'histoire des hommes, de leur vie de labeur, de leurs souffrances, et l’histoire de l’art. Une réflexion fine, légère, intelligente sur le rôle de l’art, qui prend tout son sens, en ce musée construit en plein cœur du bassin minier du Nord Pas-de-Calais, région tant de fois meurtrie par les guerres et l’exploitation intensive du charbon.
Coédition Futuropolis / Musée du Louvre Éditions / Musée du Louvre-Lens
Au lendemain de la guerre 14-18, un ancien soldat allemand, Werner, erre quelque part en Indochine. De la guerre il garde une blessure à l’endroit du coeur. Un ami, Georg, l’a sauvé d’un tir ennemi mourant à sa place. Werner se sent coupable de cet épisode. Georg avait femme et enfants. Werner pense qu’il ne pourra racheter ce sacrifice que s’il parvient à trouver l’amour et fonder une famille à son tour.
Dans l’Indochine française, il est surtout un paria rejeté des colons. Il vit de menus travaux, et échoue dans une petite ville du Laos, Savannakhet. Il trouve refuge dans une énorme manufacture pareille à une forteresse de style chinois.
Son activité est obscure : des matériaux entrent dans l’enceinte, une armée d’employés s’active. Ils sont étranges, vieux, gris, mutiques, éteints.
Dans la ville, tout le monde craint la famille chinoise qui possède la manufacture. Des histoires courent à son propos. On dit qu’elle est maudite, prisonnière d’un mal tout-puissant. Les maîtres auraient une fille unique, atteinte d’une maladie rare qui lui interdit de s’exposer à la lumière du jour. La jeune fille ne sortirait de sa chambre qu’à la nuit tombée pour se promener au bord de l’étang, dans la cour intérieure.
Pour vérifier ces rumeurs, Werner se cache dans le jardin et attend la nuit…
Après L’Art du chevalement, Loo Hui Phang et Philippe Dupuy reviennent ensemble avec un conte fantastique et sensuel, une histoire de vampire chinois, dans l’Indochine des années 20…
Un récit hypnotique écrit par l’auteur de L’Odeur des garçons affamés (avec Frederik Peeters au dessin, publié aux Éditions Casterman) sublimé par le dessin tout en poésie de Philippe Dupuy, Grand prix d’Angoulême 2008.
"Une sélection des meilleurs plus mauvais films du monde" est le sous-titre de cet album qui se gausse des plus grands nanars du cinéma mondial.
Des parodies turques de Star Wars aux sensations du petit Berberian à la vue de la pulpeuse Edwige Fenech à l’origine du goût de l’artiste pour le cinéma, c’est un parcours initiatique entre le bon et le mauvais goût en art qui nous est dispensé ici.
Actuabd du 17 mars 2012
Après cinq numéros consacrés à Hedi Slimane, The Doors, Sofia Coppola, JR et Stanley Kubrick, le mensuel culturel Trois Couleurs réalise son sixième hors-série en collaboration avec les dessinateurs Dupuy & Berberian, rédacteurs en chef invités.
Lauréats du Grand Prix de la ville d’Angoulême en 2008, auteurs acclamés des BD Monsieur Jean, Henriette ou Boboland, Charles Berberian et Philippe Dupuy tiennent depuis juin 2007 une chronique dessinée dans le mensuel Trois Couleurs, intitulée Tout ou rien, où ils présentent, chaque mois, leurs coups de cœur culturels. Ce hors-série compile ces quarante chroniques, et les prolonge à travers des dessins rares et inédits, mais aussi une douzaine d’articles exclusifs, coécrits par la rédaction de Trois Couleurs et par Dupuy & Berberian : portraits (Jijé, Haruki Murakami, Jean-Claude Carrière…), interviews (Moebius, Pierre Etaix, Areski Belkacem, Flóp…) ou reportages (San Francisco), ces textes dressent la carte des goûts et des couleurs du duo, et s’articulent autour de six grandes parties, comme autant d’entrées dans l’univers mine de rien très touche-à-tout de Dupuy & Berberian :
Comptant les participations d’écrivains (Bernard Quiriny, Anna Rozen), de documentaristes (Jean-Yves Guilleux), d’universitaires (Matthieu Remy), de rock-critics (Wilfried Paris) et de critiques de bande dessinée (Joseph Ghosn), le magazine combine textes, dessins et photos pour former un autoportrait en creux de Dupuy & Berberian, et de la revue qui accueille depuis quatre ans leurs coups de crayon pleins d’humour, d’allant et de curiosité.
Grâce à une drôle de petite boîte à voyager dans le temps, Boris et Émile se retrouvent à Trégastel, spectateurs de ce fameux 21 juin 1982.
Ils voient Émile-du-passé, déjà roi de la lose, en panne de mobylette, une demi-heure avant le concert. Heureusement, celui-ci réussit à amadouer le conducteur d’un fourgon blindé accompagné d’un gendarme, qui accepte de le prendre en stop. Le convoi tombe dans un guet apens et se fait braquer par deux motards. La prise d’otage dégénère, des échanges de tirs éclatent. Le conducteur du fourgon est tué et un motard blessé. Le gendarme tente de maîtriser le second motard, mais celui-ci l’abat et pointe son arme sur Émile…
Émile arrive cependant à l’heure au concert. Dans le public, Karine, hurle son prénom. C’est ce moment que choisi Émile-du-présent pour faire un « arrêt sur image » : il comprend que Karine était amoureuse de lui et il l’ignorait ! Une révélation et un moment délicieux, interrompu par l’appel de son ex-femme Mathilde, furieuse d’apprendre qu’il est recherché par les gendarmes !
Émile-du-présent se retrouve en garde à vue, soupçonné de choses très étranges. Heureusement, Boris parvient à l’extirper de cet enfer, et à le ramener dans le passé pour comprendre pourquoi il en est arrivé là. Sauf que… apparemment… Émile est mort lors du braquage du fourgon blindé !
Et voilà Émile-du-présent pris dans un véritable sac de nœuds, dont seul Boris parviendra à l’en extirper…
Charles Berberian s'associe à un nouveau complice, Christophe Gaultier, le temps d'un roman graphique, qui raconte avec jubilation, les tribulations burlesques et cocasses d'Émile, musicien raté, et de son nouvel ami, Boris, l'extraterrestre tombé du ciel ! Où il est question de voyage dans le temps, et de la possibilité d'une seconde chance quand on a tout raté dans la vie.
Celle d'Émile a basculé lors la première fête de la musique, en 1982. Ce 21 juin, alors que son groupe allait être repéré par des critiques de rock venus de Paris, assurant ainsi sa gloire probable, il a été incapable de plaquer un accord sur sa guitare. Il n'a jamais compris pourquoi...
28 ans après, Emile est plutôt la star de la loose. Il a un fils de cinq ans avec qui il vit chez ses ex-beaux parents, qui le considèrent comme un garçon immature, et il est harcelé par son ex-femme. Il travaille pour un agent immobilier antipathique, et drague des filles bien plus jeunes que lui, en les emmenant dans des villas à vendre.
La banalité et la médiocrité de sa vie disparaissent avec l'arrivée de Boris, l'extraterrestre tentaculaire. Boris est venu rechercher une petite boîte qu'il avait oubliée en Bretagne, un certain 21 juin 1982. Mais ce qui n'aurait dû être qu'une discrète virée sur Terre, se transforme rapidement en une course-poursuite à travers la Bretagne et le temps !
Ptiluc, en digne héritier de du "bête et méchant" à la Reiser, revient en plein forme avec ce deuxième volume des vicissitudes des "crapos" et des "glaviots".
Derrière les rires (et ils sont nombreux), Ptiluc laisse entrevoir une vision du monde pas si éloigné de celles de nos journaux télévisés quotidiens.
Déjà trois tomes ques les grenouilles et les rats s'entretuent pour être les premiers dans une course dont tout le monde a oublié l'objet. Le vieux conseiller grenouille vous annoncerait peut-être que le "chemin est plus important que le but", mais l'heure n'est plus à la philosophie, place à l'action !