Chez les Kisaeng – l’équivalent coréen des Geishas – le parfum prime sur le plaisir des yeux. Mais il faut pour cela de l’esprit et de l’instruction !
Chaque geste se fait alors poème et chaque pas devient une danse…
Traduction : Kette Amorusso
On suit le destin de deux jeunes filles, dans une Corée encore féodale. Toutes deux issues des classes les plus pauvres, leurs chances de survie sont des plus maigres…
Leurs familles les confient donc à une vieille courtisane, qui va leur apprendre à devenir des Kisaeng, l’équivalent coréen des Geishas, des courtisanes de luxe…
Dès lors, elles vont grandir et faire leur apprentissage de la vie dans cet univers si particulier, entre fausse candeur et vrais plaisirs…
Isolés dans la campagne coréenne, les habitants du petit village de Yahwari vivent paisiblement, chaque journée apportant son lot de peine... et de courrier !
Cette série douce et bucolique suit le facteur local dans sa tournée quotidienne. Véritable pont entre le Monde et le village, celui-ci est l'ami de tous. Chacune des histoires courtes qui composent cette série rend compte des rapports entre le facteur et les villageois, du poète qui laisse chaque jour un poème dans sa boîte aux lettres au paysan qui surprend notre ami facteur en train de planter des fleurs au bord de la rivière...
Des tranches de vie touchantes et chaleureuses de la campagne coréenne, vue par un facteur...
«Une succession d’histoires courtes, d’anecdotes où il nous livre poésie et pensées philosophiques entre deux coups de pédale. En filigrane, Kim Dong Hwa aborde des thèmes d’actualité qu’il rend universels comme l’exode rural, la cassure entre la campagne et la ville, l’isolement des personnes âgées. Sans tomber dans le "c’était mieux avant", La Bicyclette rouge rend hommage à un certain art de vivre. Cette oeuvre reposante tout en simplicité est atypique des parutions manga/manwha actuelles, une pause salutaire et enrichissante.»
Sabine Soma, Orient-Extrême.net
La tournée continue !
Le facteur parcourt toujours la campagne de Yahwari, en livrant aussi bien des lettres que du bonheur aux habitants…
Red Bicycle constitue un havre de paix, une série unique, tout à fait dans la lignée de certains titres de Taniguchi (Quartier Lointain, Le Journal de mon père) !
Dans ce deuxième tome, les histoires se font plus longues, mais le trait reste tout aussi enchanteur.
Traduction : Kette Amoruso
«Sur les chemins de Yahwari, petit village de Corée, qu’il pleuve, qu’il neige, qu’il vente, que le soleil brûle ou éclaire sans chaleur, le facteur va bon train sur sa bicyclette rouge, jour après jour, pour acheminer le courrier.
Une succession d’histoires courtes, d’anecdotes où il nous livre poésie et pensées philosophiques entre deux coups de pédale.
En filigrane, Kim Dong Hwa aborde des thèmes d’actualité qu’il rend universels comme l’exode rural, la cassure entre la campagne et la ville, l’isolement des personnes âgées.
Sans tomber dans le "c’était mieux avant", La Bicyclette Rouge rend hommage à un certain art de vivre. Cette œuvre reposante tout en simplicité est atypique des parutions manga/manwha actuelles, une pause salutaire et enrichissante.»
Sabine Soma, Orient-Extrême.net
Traduction : Juhyun Choi
En Corée, sous la dynastie Chosun (1392-1910), vivait un homme appelé Lim Keok Jeong qui rassembla et arma tout un groupe de paysans pour combattre le despotisme des aristocrates.
Réputé pour être très fort et n’avoir peur de rien, il accéda vite au statut de héros national, de par son charisme et le combat qu’il menait.
L’adaptation de Lee Doo Ho raconte en détail sa vie, les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui l’ont amené à prendre parti contre l’aristocratie.
Lim Keok Jeong, le Bandit Généreux, est une des figures emblématiques de la culture coréenne. Issu de la plus basse et de la plus méprisée des classes sociales, sa soif de justice et d’équité l’amèneront à se confronter aux autorités, et confèrent à son action une dimension universelle.
Cette grande saga historique raconte en détail les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui ont amené Lim Keok Jeong à prendre parti contre l’aristocratie.
Son auteur, Lee Doo Ho, est l’un des auteurs coréens les plus connus et les plus respectés en son pays.
Traduction : Kette Amoruso
Lim Keok Jeong, le Bandit Généreux, est une des figures emblématiques de la culture coréenne.
Issu de la plus basse et de la plus méprisée des classes sociales, sa soif de justice et d’équité l’amèneront à se confronter aux autorités, et confèrent à son action une dimension universelle.
Cette grande saga historique raconte en détail les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui ont amené Lim Keok Jeong à prendre parti contre l’aristocratie.
Son auteur, Lee Doo Ho, est l’un des auteurs coréens les plus connus et les plus respectés en son pays.
Traduction : Kette Amoruso
En Corée, sous la dynastie Chosun (1392-1910), vivait un homme appelé Lim Keok Jeong qui rassembla et arma tout un groupe de paysans pour combattre le despotisme des aristocrates.
Réputé pour être très fort et n’avoir peur de rien, il accéda vite au statut de héros national, de par son charisme et le combat qu’il menait.
L’adaptation de Lee Doo Ho raconte en détail sa vie, les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui l’ont amené à prendre parti contre l’aristocratie.
Lim Keok Jeong, le Bandit Généreux, est une des figures emblématiques de la culture coréenne.
Issu de la plus basse et de la plus méprisée des classes sociales, sa soif de justice et d’équité l’amèneront à se confronter aux autorités, et confèrent à son action une dimension universelle.
Cette grande saga historique raconte en détail les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui ont amené Lim Keok Jeong à prendre parti contre l’aristocratie.
Son auteur, Lee Doo Ho, est l’un des auteurs coréens les plus connus et les plus respectés en son pays.
Traduction : Kette Amoruso
Lim Keok Jeong, le Bandit Généreux, est une des figures emblématiques de la culture coréenne.
Issu de la plus basse et de la plus méprisée des classes sociales, sa soif de justice et d’équité l’amèneront à se confronter aux autorités, et confèrent à son action une dimension universelle.
Cette grande saga historique raconte en détail les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui ont amené Lim Keok Jeong à prendre parti contre l’aristocratie.
Son auteur, Lee Doo Ho, est l’un des auteurs coréens les plus connus et les plus respectés en son pays.
Traduction : Kette Amoruso
Lim Keok Jeong, le Bandit Généreux, est une des figures emblématiques de la culture coréenne.
Issu de la plus basse et de la plus méprisée des classes sociales, sa soif de justice et d’équité l’amèneront à se confronter aux autorités, et confèrent à son action une dimension universelle.
Cette grande saga historique raconte en détail les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui ont amené Lim Keok Jeong à prendre parti contre l’aristocratie.
Son auteur, Lee Doo Ho, est l’un des auteurs coréens les plus connus et les plus respectés en son pays.
Traduction : Kette Amoruso
Lim Keok Jeong, le Bandit Généreux, est une des figures emblématiques de la culture coréenne.
Issu de la plus basse et de la plus méprisée des classes sociales, sa soif de justice et d’équité l’amèneront à se confronter aux autorités, et confèrent à son action une dimension universelle.
Cette grande saga historique raconte en détail les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui ont amené Lim Keok Jeong à prendre parti contre l’aristocratie.
Son auteur, Lee Doo Ho, est l’un des auteurs coréens les plus connus et les plus respectés en son pays.
Lim Keok Jeong, le Bandit Généreux, est une des figures emblématiques de la culture coréenne.
Issu de la plus basse et de la plus méprisée des classes sociales, sa soif de justice et d’équité l’amèneront à se confronter aux autorités, et confèrent à son action une dimension universelle.
Cette grande saga historique raconte en détail les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui ont amené Lim Keok Jeong à prendre parti contre l’aristocratie.
Son auteur, Lee Doo Ho, est l’un des auteurs coréens les plus connus et les plus respectés en son pays.
En Corée, sous la dynastie Choson (1392-1910), un homme appelé Lim Keok Jeong rassembla et arma tout un groupe de paysans pour combattre le despotisme des aristocrates. La vie de cet homme devenu héros national et figure emblématique du folklore coréen, mais aussi la vie difficile des paysans et le poids des traditions.
Biographie
Doo Ho Lee est considéré comme un auteur de BD “traditionnel”, à cause de sa volonté de dépeindre les anciennes traditions coréennes dans son travail. Grâce à ses recherches historiques très approfondies, il emplit ses histoires de détails à propos de l’ordre social traditionnel, et ne manque pas d’y faire figurer les coutumes et costumes des temps anciens. Son premier travail professionnel, “L’Homme invisible”, est publié en 1969. Sa carrière lui vaut d’être aujourd’hui le président du Bucheon Cartoon Information Center, l’équivalent coréen du CNBDI. Il est également professeur de manhwa à l’université de Sejong.
1,50€
이 두 단편의 주인공들은 할머니이다. 작가는 할머니의 단조로운 일상을 유모롭지만 날카로운 시각으로 캐치해 재미있게 묘사하고 있다.
김 금숙
(만화가, 일러스트레이터, 만화번역가)
- 1998년 스트라스부르그 고등 장식 미술학교 수석 졸업.
- 한위클리와 프랑스존에 6년 이상 만화 "쁘띠야" 연재.
- 100권 이상 한국 만화 불어로 번역. (카스터만, 가나, 베르티쥬 그래픽, 아트라빌, 코르넬리우스, 파께, 솔레이, 새 만화책 출판사 등)
- 2010년 프랑스와 레바논에서 만화책 " Revanche" 와 " Samandal N° 8 " 출간
- '' 24h comics grandpapier 2010 '' 에 참여.
- 2010년 "Bon Scott" 그림 집, "Red Pin-Up" 일러스트 책,
만화지 "Le lazer artzine" N° 13. "Alter comics" (I-Comics) 두 앨범 출간.
- 현재 "grandpapier.org"에서 작품 활동 중
Dans ces deux histoires courtes, le thème de la vieillesse est abordé, mais aussi celui de la condition féminine en Corée alors qu'éclate la guerre en 1950.
Deux soeurs seront séparées et de nombreuses blessures resteront ouvertes.
Sobre et toujours juste, Keum Suk a un récit efficace et une poésie dessinée.
http://suksuksuksuk.blogspot.com/
http://grandpapier.org/_Gendry-Kim_
1,50€
La montagne-nuage, jadis demeure du peuple Dragon qui a mystérieusement disparu. Aujourd’hui la montagne est quasi-déserte, pourtant elle attire encore de nombreuses convoitises puisqu’on dit qu’elle abrite toujours la Perle du Dragon, un artefact de grand pouvoir.
C’est ainsi que vont se retrouver au même moment des militaires souhaitant obtenir le pouvoir de la pierre, le bateau-étoile, créature incroyable, et Xuan le samouraï voyageur. Lonr, une jeune fille qui habite la montagne, tente désespérément de détourner les explorateurs venus chercher la perle. Son périple aux côtés de Xuan sera l’occasion de révéler de nombreux secrets.
Yeon-Sik Hong, auteur de manhwas éducatifs, et son enthousiaste compagne So-Mi quittent Séoul et tentent d’effectuer un surprenant « retour à la terre » dans ce pays en ultra-développement qu’est la Corée du Sud…
Bientôt locataires d’une maison isolée dans la montagne, avec trois chats, un chien et des poules, ils ont fort à faire pour subvenir à leurs besoins. De plus, Yeon-Sik aura bien du mal à assurer ses accaparants travaux de commandes, et parvenir à conduire le travail d’auteur, dont il rêve depuis des années…
Rudes sont les hivers et terribles certaines angoisses, mais l’équilibre reviendra bientôt par l’observation de la nature, la cueillette et le travail du potager.
Fort d’une grande variété de détails et d’un beau classicisme formel, cet attachant récit donne une certaine vision de l’auto-subsistance, de la jouissance que procure la vue de beaux paysages, et du réconfort qu’apportent les nuits au coin du poêle…
Jin-joo est une mauvaise fille. Elle fume, découche, nargue ses professeurs et cause du souci à ses parents.
Son père, un petit patron, n'a que ses poings pour exprimer sa peur de la voir mal tourner. Alors il la passe à tabac, régulièrement.
La Corée subit la crise économique de la fin des années 1990 et la violence demeure la forme la plus simple et naturelle du contact humain. Au collège, les professeurs cognent les élèves et les anciennes rossent les nouvelles. Dans l'indifférence générale, on meurt sous les coups d'un père ou d'un petit copain.
L'adolescente trouve un peu de chaleur humaine auprès de Jung-ae, fille d'un petit voyou encore plus paumée qu'elle.
Une fugue improvisée les mène jusqu'au quartier des bars à hôtesses. Là, tout a le goût de la liberté, de l'interdit et de la fête. Pourtant, leur destin est en train de se jouer tragiquement...
Le ton âpre et désespéré d'Ancco évoque le Céline de Mort à crédit.
Vivre, c'est expier. Un instant de bonheur, d'insouciance, se paie comptant. Les hommes mènent des existences lourdes, tristes et solitaires, qui se révèlent vides de sens.
"Dès qu'on met le nez dehors, constate Jin-joo, c'est plein de choses incompréhensibles."
Après Aujourd'hui n'existe pas, publié par Cornélius en 2009, Mauvaises filles confirme le talent singulier d'Ancco.
La construction multiplie les allers-retours entre le passé et le présent. Servie par un trait sec et précis, un noir et blanc désolé, elle rend inexorable et bouleversant ce voyage au bout de la nuit coréenne.
Traduction : Yoon-sun Park, Lucas Méthé
Sélection officielle Angoulême 2017