- C'est une histoire qui parle du Méta-Baron, mon Maître...
- Ah, Tonto, le Méta-Baron, c'est le plus sauvagement imprévisible de tous. C'est le plus grand, le Méta-Guerrier !
- ...Une longue histoire, Lothar, qui remonte à Othon le Trisaïeul et se poursuit sur toute la lignée. Je vais te conter les origines de la Caste des Méta-Barons...
Le sixième volume de la Caste des Méta-Barons, la saga guerrière et futuriste imaginée par Alexandro Jodorowsky pour Juan Gimenez. Où Tête d'Acier le mercenaire perd de nouveau la tête et une moitié de sa double personnalité. Où Vicenta, sa douce aimée, sacrifie ses yeux et sa beauté. Où Filodendra est détruite par les immondes créatures des Techno-technos.
Où, encore une fois, le bonheur file, inaccessible, entre les mains de fer des Méta-Barons.
Le Métabunker est maintenant pratiquement terminé. L'immense bâtisse s'élève au sein d'une épaisse jungle où s'ébattent singes antédiluviens et autres oiseaux pachydermiques. Sur le trône du Méta-Baron, Lothar tient la tête de Tonto entre ses mains, son corps démantibulé éparpillé au sol. Celui qui fût si longtemps brimé a décidé de se révolter et veux connaître la vérité sur ses origines.
Face à la rage de son disciple et confrère électronique, Tonto ne peut se dérober : puisque Lothar le demande, la vérité sera dite sur Sans Nom, le dernier des Méta-Barons. Il faut pour cela remonter à l'affrontement entre Tête-d'Acier et Aghora, son Fils-Fille. Ne pouvant tuer son père, comme le veut la tradition des Méta-Barons, elle réussit à le paralyser et à l'envoyer aux confins de la galaxie.
Tête d'Acier ainsi éliminé, Aghora pu alors prétendre à son titre de Méta-Baron. Elle éleva son fils dans la plus pure tradition, et Sans Nom finit par affronter sa Père-Mère pour à son tour prendre sa place. Mais à l'autre bout de l'univers, la sphère dans laquelle Tête d'acier avait été enfermé finit par se briser. L'heure de la vengeance avait sonné.
Dona Vicenta accouche de jumeaux, une fille et un garçon. Accablée par la douleur, elle ne survivra pas à cette épreuve, laissant son époux inconsolable. Tête d'Acier choisit la petite fille comme successeur, alors que le nom des Casthakas ne se transmet que d'homme à homme. Afin de lui assurer un caractère guerrier indispensable à sa future condition, il lui implante le cerveau de son frère dont la dépouille est cryogénisée.
Aghora suit avec succès l'enseignement implacable que lui impose Tête d'Acier durant des années. Lors de l'affrontement final entre le père et l'enfant, Aghora réussit à immobiliser Tête d'acier et l'envoie en exil aux confins de la galaxie. Le guerrier née fille doit alors faire face à deux défis majeurs : imposer son autorité au sénat de la Planète d'Or et réaliser son désir de donner la vie, le tout sans mettre en péril l'équilibre de la vénérable Caste.
Alexandro Jodorowsky dépasse les limites de l'imaginaire pour dévoiler les secrets de la naissance du Méta-Baron. Des secrets qui pourraient bien être révélés dans l'avant-dernier tome de ce fantastique Space-Opéra...
- C'est une histoire qui parle du Méta-Baron, mon Maître...
- Ah, Tonto, le Méta-Baron, c'est le plus sauvagement imprévisible de tous. C'est le plus grand, le Méta-Guerrier !
- ...Une longue histoire, Lothar, qui remonte à Othon le Trisaïeul et se poursuit sur toute la lignée. Je vais te conter les origines de la Caste des Méta-Barons...
- C'est une histoire qui parle du Méta-Baron, mon Maître...
- Ah, Tonto, le Méta-Baron, c'est le plus sauvagement imprévisible de tous. C'est le plus grand, le Méta-Guerrier !
- ...Une longue histoire, Lothar, qui remonte à Othon le Trisaïeul et se poursuit sur toute la lignée. Je vais te conter les origines de la Caste des Méta-Barons...
- C'est une histoire qui parle du Méta-Baron, mon Maître...
- Ah, Tonto, le Méta-Baron, c'est le plus sauvagement imprévisible de tous. C'est le plus grand, le Méta-Guerrier !
- ...Une longue histoire, Lothar, qui remonte à Othon le Trisaïeul et se poursuit sur toute la lignée. Je vais te conter les origines de la Caste des Méta-Barons...
Interview des auteurs, dessins et crayonnés, bande dessinée inédite, font de cet hors-série l'ouvrage de référence pour découvrir plus en profondeur l'univers des Méta-Barons.
La grande saga SF de Jodorowsky et Gimenez disponible en intégrale, avec un bonus de 30 pages.
Conçu comme une tragédie antique transposée dans un space opera, œuvre d’une ampleur inégalée, La Caste des Méta-barons est un des monuments de la bande dessinée de science-fiction.
Née de la rencontre de deux monstres sacrés du neuvième art, la saga familiale signée Jodorowsky et Gimenez demeure un des joyaux intemporels du catalogue des Humanoïdes Associés, qui joignent à l’édition de cette intégrale de nombreux suppléments, tels Le Rêve de l’Incal, un long passage « coupé au montage » d’Othon le trisaïeul, à redécouvrir absolument, ou encore les visuels de couverture de l’édition américaine de « La Caste ».
La grande saga SF de Jodorowsky et Gimenez disponible en Intégrale, avec un bonus de 30 pages.
Bâti sur les thèmes de la tragédie antique, mis en scène comme un space opera d’une ampleur inégalée, La Caste des Méta-barons est un des grands monuments de la bande dessinée de science-fiction.
Née de la rencontre de deux monstres sacrés du neuvième art, la saga signée Jodorowsky et Gimenez demeure un des joyaux intemporels du catalogue des Humanoïdes Associés.
Pour les nostalgiques de La Caste des Méta-Barons, voici un volume "one shot" qui marque le retour du guerrier ultime de la galaxie. Une affiche prestigieuse, un casting de rêve. Alexandro Jodorowsky est coutumier du fait, il a déjà associé Beltran et Janjetov sur Les Technopères. Cette fois le fidèle Janjetov, disciple de Moebius qui débuta avec Avant l'Incal, rencontre pour un match amical un extraordinaire virtuose, maître adulé des comics américains, le Canadien Travis Charest. Ce dernier a dessiné l'épisode central de l'album, tandis que Zoran Janjetov a réalisé l'ouverture puis la partie finale. Tout chevalier doit avoir son Excalibur ! C'est là le concept de l'album. Le trio Jodorowsky, Janjetov & Charest raconte comment le Méta-Baron a réuni autour de lui les armes les plus puissantes et les plus destructrices qui ont fait de lui un soldat invincible et invaincu.
Est-ce le prélude à une nouvelle série qui aurait le dernier des Méta-Barons pour héros ? Tout le monde l'espère en secret.
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
John Difool est sur le point de se faire dépecer par le Techno-Pape. Heureusement, son fidèle Deepo a réussit à s'infiltrer dans la Techno-Cité et d'un coup de bec bien placé, il permet à son ami d'échapper à la mort. Les deux compères trouvent refuge dans l'oeuf d'ombre. Ils en profitent pour y dérober l'Incal Noir et provoquer ainsi la destruction de la cité Techno !
Chevauchant un rat géant, Animah apparaît alors pour réclamer l'Incal Noir. Subjugué par la beauté de la Reine des profondeurs, Difool lui remet le précieux objet sans ciller. La belle disparaît et laisse place au plus implacable guerrier de l'univers, le Méta-Baron ! Envoyé par l'Amok pour tuer le détective, ils deviendront alliés dans le combat que les oppose à son Ophidité Majeur...
Car sur fond de révolte générale dans la Cité-Puits, l'Impéroratriz commence à perdre patience. L'armada Berg est sur le point d'attaquer l'Empire et un mystérieux engin commence à ronger la structure même du système solaire où vivent Difool et les siens.
L'Incal pourra t-il les sauver de la destruction ?
Couleurs : Valérie Beltran
John Difool et son équipe sont poursuivis par la Nécrosonde Présidentielle dans les profondeurs du Centre-Terre. Echoués dans les infâmes contrées de Gorgo le Sale, les fuyards sont rejoints Animah. La reine des Psychorats les aide à retarder l'arrivée du terrible engin de destruction. Echappant de justesse aux troupes de Gorgo, ils atteignent enfin la porte du Coeur-Soleil.
De l'autre côté de la Galaxie, les esprits s'échauffent aussi. L'assemblée générale impéroriale est interrompue par l'arrivée du Kamar Raïmo : Le porte-parole des planètes coloniales détient la preuve formelle de l'implication du Techno-Pape dans l'apparition des Oeufs d'Ombre mangeurs de soleils. Mais la trahison est consommée lorsque l'Endogarde Pourpre détrône l'Impéroratriz en pleine scéance !
C'est à ce moment précis que la troupe de John Difool se présente devant les Arhats, les légendaires gardiens millénaires. Ils leur ouvriront les portes de la Forêt de Cristal afin que soient révélés les secrets de l'Incal. Mais la Nécrosonde n'est pas loin et pouraait mettre un terme à leur expédition : serait-ce déjà la fin des aventures de John Difool ?
Couleurs : Valérie Beltran
L'Incal et toute la bande sont en route vers Aquaend, la planète prison. Les oeufs de ténèbres sont passés à l'attaque et les soleil de la galaxie sont menacés d'extinction. Quel rapport entre cette attaque et la planète d'eau : seul l'Incal le connaît, et il n'entend pas dévoiler quoi que ce soit avant d'y être arrivé !
L'atterrissage sur Aquaend se fait sans heurt et la vérité éclate enfin : une civilisation sous-marine c'est développée au centre de la planète et l'Imperoratriz s'y est réfugiée après la trahison de la caste Techno. Quant au rapport avec les oeufs d'Ombre, il est simple : une race de méduses géantes serait capable de les anéantir si elles sont couplées au pouvoir de l'Incal !
Reste un problème à résoudre : pour que la victoire soit totale sur les infâmes Technos, il faut repérer leur planète artificielle cachée dans la galaxie. Seule l'Impératrice Berg semble en mesure de réaliser cette exploit. Mais pour quelle accepte, il faudra que son interlocuteur soit l'élu qui la fécondera à l'occasion de la traditionnelle fécondation quinquennale : une mission faite sur mesure pour John Difool !
Couleurs : Valérie Beltran
John Difool est un minable. Un vrai...
Lâche, vénal, prêt à toutes les compromissions pour sauver sa pauvre vie et, si possible, l'agrémenter de quelques pilules de SPV ou de partie de jambes en l'air virtuelles avec les homéoputes de l'inhumaine Cité-puits.
C'est pourtant lui que l'Incal, un drôle de cristal qui parle et réfléchit, va choisir pour sauver la Galaxie, menacée par l'ombre maléfique de la guilde Techno !
L'impéroratriz n'a pas quitté son enveloppe charnelle. Ce n'était qu'un clone qu'avait dessoudé l'endogarde pourpre. Dès lors, il s'agit de redonner le pouvoir légal à sa méga-sainteté. Mais il faut d'abord affronter les oeufs d'ombre mangeurs de soleil.
Pendant ce temps, John Difool, fidèle à son image de séducteur invétéré, déclare sa flamme à la belle Animah.
De tous les côtés de la Galaxie, l'empire Techno est attaqué... par les rebelles... par l'armée Berg... en échange de l'Incal après que Difool eut fécondé la Protoreine à l'occasion solennelle de la vingt-quatre millième fécondation quinquennale...
Couleurs : Valérie Beltran
Lâche, vénal, prêt à toutes les compromissions pour sauver sa pauvre vie et, si possible, l'agrémenter de quelques pilules de SPV ou de parties de jambes en l'air virtuelles avec les homéoputes de l'inhumaine Cité-puits.
C'est pourtant lui que l'Incal, un drôle de cristal qui parle et réfléchit, va choisir pour sauver la Galaxie, menacée par l'ombre maléfique de la guilde techno !
Aucune épreuve ne lui est épargnée. Pour accomplir sa mission il doit s'enfoncer en plein coeur de l'Empire Berg sur une planète peuplée de 78 billions d'humains et les convertir au rêve Téta. Mais une surprise de taille l'attend, toute la population est à son image et la rencontre avec l'original ne se fera pas sans heurts. Bien piètre prophète, il n'échappera que de peu à l'exécution en place publique et trouvera son salut en plongeant dans un rêve hallucinatoire bien peu agréable.
Peut-être y trouvera-t-il la réelle nature de l'Incal et une justification à sa pitoyable existence ?
Couleurs : Valérie Beltran
Les tribulations du jeune John Difool, avant qu’il devienne le héros malgré lui de L’Incal.
Cette Intégrale reprend les six tomes de la série imaginée par Jodorowsky, accompagné au dessin de Janjetov, et aux couleurs de Fred Beltran.
On y découvre la jeunesse de John Difool, apprenti détective de classe « R », plongé dans des aventures trépidantes, raconté avec une grande vivacité de ton. Une fois de plus, l’imaginaire débridé de Jodorowsky fait merveille.
Voici une quête qui fait penser à celle de Moïse et replacée à l'échelle cosmique. Après la maison des Atrides et la tragédie grecque pour le Méta-Baron, Jodorowsky revient à ses racines bibliques. Mais surtout, les personnages et le thème de la réalité virtuelle ont été taillés sur mesure pour Janjetov qui trouve là chaussure à son pied.
Albino, héros d'albâtre de cette odyssée de l'espace virtuel, est devenu un maître dans la création des jeux en réalité virtuelle qui dominent la galaxie. Il se souvient de son enfance, de son apprentissage, et des batailles grandes ou petites qu'il a dû mener pour réaliser ses ambitions, dans un univers où les progrès techniques n'ont paradoxalement d'égaux que la cruauté et la barbarie des êtres qui sillonnent les étoiles. Un roman d'éducation version SF, en même temps qu'une fable sur les pouvoirs illimités de l'imagination et du rêve.
Devenu un patriarche, il conduit enfin dans le tome 8 la communauté qu'il a rassemblée autour de lui vers la galaxie promise. Un happy end qui n'est guère dans les habitudes des univers déchirés et gothiques du maître !
Couleurs : Fred Beltran
L'histoire d'Albino, créateur de jeu devenu dieu dans une anticipation régie par la violence, le rêve et le commerce.
La première incursion d'Alexandro Jodorowsky dans le cyber-espace.
Couleurs : Fred Beltran