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Ce livre parle de dessins et d’images.
Des images brutes, tout droit sorties des cartons, sans légende, ni commentaire. Donner à voir et à ressentir pour que chacun s’invente son histoire, s’évade, se perde ou s’attarde.
Certaines images auront été aperçues dans les livres de Cromwell ou lors de concerts donnés avec son groupe La Bonne, la Brute et le Truand. D’autres sont livrées pour la première fois, nées sans d’autre but que d’exister au milieu d’un carnet: images de transit, pause entre deux destinations, à un moment où le temps s’offre pour apprivoiser et capturer.
Des images brutes, sans légende, transmises telle qu’elles ont été fabriquées avant de faire partie d’une histoire.
Avant de vivre une autre vie... quelque part.
À l’heure de commémorer les 40 ans du Cheval d’Orgueil, Bertrand Galic et Marc Lizano proposent l’unique adaptation en bande dessinée de ce best-seller. Un petit bijou scintillant de charme et de sensibilité.
Récit autobiographique, Le Cheval d’Orgueil de Pierre-Jakez Hélias a rencontré un succès phénoménal en librairie (près de 2 millions d’exemplaires circulent à ce jour dans le monde). Cette oeuvre, qui brille par son authenticité et sa force, retrace l’enfance et l’adolescence d’un petit Breton du pays bigouden, entre la Première Guerre mondiale et le milieu des années 30.
Avec lui, se révèlent les visages d’une famille, la personnalité d’un village, les contours d’une région. On découvre un « pays », celui d’une nation paysanne luttant pour sa survie.
Touchés par la sensibilité qui émane du regard de l’enfant, Bertrand Galicet Marc Lizanoont souhaité revisiter un passé, un patrimoine en explorant, dépoussiérant et adaptant ce récit pétri de mystère, de rêve et d’aventure.
Et quel plus beau moment que celui de la commémoration des 20 ans de la disparition de l’auteur et des 40 ans de l’oeuvre !
Le Courant d’Artde Frédéric Bezian, une union sublime entre l’art et la bande dessinée.
Aux prémices de ce projet, un livre The Elements of Euclid par Oliver Byrne, mathématicien du XIXe siècle qui entreprit d’illustrer la géométrie d’Euclide avec des formes géométriques : des ronds, des triangles, des carrés... rouges, jaunes, bleus... Une théorie évoque la possibilité que Mondrian aurait pu s’en inspirer.
Ainsi, Le Courant d’Art raconte – au gré de spectaculaires envolées graphiques – De Byrne à Mondrian et De Mondrian à Byrne. Un livre accordéon qui se lit d’un côté puis de l’autre et inversement, un mariage sublime entre l’art et la bande dessinée.
Édith s’empare d’un classique de la littérature anglaise, et entrelace finement réalité et imaginaire.
Été. Angleterre, XXe siècle.
Tom Long est contraint de passer ses vacances chez son oncle et sa tante, car son frère a la rougeole. Ils habitent un appartement, situé dans un immeuble sur cour. L’ennui s’installe... Quand soudain, une nuit, un événement étrange se produit : l’horloge du hall sonne treize coups ! La cour a laissé place à un immense jardin...
Tom s’y risque, il y devient invisible sauf aux yeux d’une petite fille de son âge, Hatty, vêtue d’une tenue du siècle dernier. Elle semble vivre dans un temps qui n’obéit pas aux lois chronologiques... Quel mystère se dissimule derrière ce bouleversement temporel ?...
Philippa Pearce reçut, en 1958, la médaille de Carnegie pour ce roman qui s’imposa comme un chef-d’oeuvre de langue anglaise. Édith en propose une adaptation ciselée. Elle use de son dessin comme d’une écriture afin de recentrer le récit autour de cette perception d’un paradis perdu et d’un espace d’éternité pour le retrouver.
Coffret trilogie : À bord de l’Étoile Matutine – Le Loup des mers – Hommes à la mer
À l’occasion des fêtes de fin d’année et de la parution de Hommes à la mer , immergez-vous au coeur d’une trilogie littéraire, sombre et poétique spectaculairement mise en scène par Riff Reb’s,
un auteur reconnu et multi-récompensé.
Tel un coffre au trésor, ce superbe écrin renferme en son sein les trois albums parus :
Ces récits et nouvelles sont librement adaptés d'oeuvres de :
Librement adapté des nouvelles de Conrad, Hodgson, Mac Orlan, Poe, Schwob et Stevenson par Riff Reb’s
Dernier opus de la trilogie contée et mise en scène par Riff Reb’s, ce recueil offre huit adaptations –graphiquement spectaculaires– d’histoires noires et poétiques.
• « Un sourire », d’après Joseph Conrad ;
• « Les Chevaux marins » et « Le Dernier Voyage du Shamraken »,
d’après William Hope Hodgson ;
• « La Chiourme » et « Le Grand Sud », d’après Pierre Mac Orlan ;
• « Une descente dans le maelström », d’après Edgar Allan Poe ;
• « Les Trois Gabelous », d’après Marcel Schwob ;
• « Le Naufrage », d’après Robert Louis Stevenson.
Ces huit récits seront, eux-mêmes, entrecoupés par sept doubles pages dédiées à des extraits de grands textes illustrés (« L’Odyssée » d’Homère ; « Kernok le pirate » d’Eugène Sue ; « Malgorn le baleinier » d’Émile Condroyer ; « Le Vaisseau des morts » de Traven ; « Un typhon » de Jack London ; « Les Travailleurs de la mer » de Victor Hugo ainsi que « Le Sphinx des glaces » de Jules Verne).
Un ultime opus littéraire, riche et poétique magistralement réalisé.
Une adaptatiion fougueuse d'un monument de la littérature américaine.
Herman Melville, qui fut marin, s’inspira de faits réels pour donner naissance à Moby Dick – un livre culte qui inscrivit un nouveau mythe dans la mémoire des hommes : celui de la baleine blanche.
Il y raconte la quête furieuse, mystique et désespérée du Capitaine Achab et son dernier affrontement avec Moby Dick.
Une quête folle adaptée et maîtrisée par deux talents, deux sensibilités – celles d’Olivier Jouvray et de Pierre Alary.
"Voilà l'aventure de la vie : en être ou ne pas en être." Entre voyage et critique politique, un livre sombre, terrible qui vous piquera l'âme.
« J’irai là. » rêve le jeune Charles Marlow en pointant son doigt vers l’Afrique,loin de se douter qu’il s’y rendrait à l’âge de vingt ans.
Missionné par une compagnie de commerce colonial pour retrouver un certain Kurtz, Marlow s’embarque, plein d’illusions, dans ce voyage au Congo : une descente aux enfers...
Adaptation libre de Heart of Darkness (Au Coeur des Ténèbres) de Joseph Conrad.
Intelligente, brillante et moderne, une adaptation d’envergure de l’un des chef-d’oeuvres du roman d’aventure !
Jack London et Riff Reb’s partagent le même talent de conteur. L’un use de sa plume, l’autre de son pinceau, pour raconter et mettre en scène aventure et esprit pour notre plus grand plaisir.
Après un naufrage, Humphrey Van Weyden, un gentleman fluet, est recueilli puis enrôlé de force comme mousse par Loup Larsen, un terrifiant capitaine de goélette, buveur, violent mais très cultivé.
Ce capitaine, athée, éprouve peu à peu une sorte d’estime teintée de mépris pour Humphrey, à l’inverse, très religieux : « si vous savez que quand vous mourrez, vous irez dans un monde meilleur, alors, pourquoi avez-vous peur de mourir ? »
Ainsi naissent les premières joutes verbales – pleines d’humour et d’esprit –qui rythment ce passionnant récit d’aventure, et qui redoubleront à l’arrivée d’une jeune femme, un futur enjeu pour ces deux hommes.
« Mon envie était de faire remonter les émotions que j’ai pu ressentir pendant mon enfance. C’est incroyable ce que les gens de ma génération ont pu être marqués par quelques images fortes, se remémorant le récit comme un piège labyrinthique, diabolique et implacable. »
Marc Lizano
L’histoire en quelques mots…
Quatorze ans ont passé...
Véronique d’Hergemont, qui avait fui loin de son ex-mari – le monstrueux comte Vorski, est de retour en Bretagne sur l’île de Sarek : elle espère y retrouver son père et son fils, jadis disparus et déclarés morts...
Seulement voilà, une mystérieuse légende plane. L’île, cernée par trente écueils menaçants, serait l’île aux trente cercueils : trente victimes sont censées y mourir, dont quatre femmes, en croix. Et la prophétie semble déjà enclenchée...
Mais que dissimule réellement cette prédiction sanglante ? Véronique retrouvera-t-elle la chair de sa chair ?
Et à quel prix ?
Une histoire haletante qui mêle habilement humanisme, policier et fantastique.
Librement adapté du roman de Maurice Leblanc
Une réflexion teintée d’humour noir portée par la force visuelle et le symbolisme du récit. Toujours en quête d’aventures extravagantes, le prince Florizel et son acolyte, le colonel Géraldine, font un soir la rencontre d’un étrange jeune homme, qui les convie à participer à une soirée au Club du suicide. Ils découvrent alors avec horreur et fascination une partie de cartes diabolique où le seul gain est… la mort.
Originellement écrit en roman-feuilleton, ce recueil de nouvelles regorgeant de digressions, d’ellipses et de changements d’atmosphères a permis aux auteurs d’interpréter et d’imaginer des scènes entières, tout en restant le plus fidèle possible à R. L. Stevenson.
« Tournera, tournera pas ?... »
Court métrage récompensé à maintes reprises, La Révolution des Crabes - avant de connaître une suite sous la forme d’un long - sera adapté en bande dessinée : une trilogie caustique autour de la condition d’un crabe, le Cancer Simplicimus Vulgaris !
En effet... Depuis 400 millions d’années, toutes les espèces évoluent dans la joie et l’allégresse. Toutes sauf une : le Cancer Simplicimus Vulgaris, ou crabe carré. Cette sous-espèce de crustacés peuplant les rivages de l’Estuaire de la Gironde est frappée, depuis des millénaires, d’une étrange tare : elle ne peut changer de direction, et est condamnée à marcher selon une même ligne droite !
Mais... Durant un été comme les autres, pendant que les vacanciers profitent du soleil et des congés payés, trois petits crabes carrés vont se rebeller, et bouleverser ainsi l’écosystème tout entier !
Sélectionné pour le Prix du Festival d'Angoulême 2011
Le Joueur est la confession directe d’un possédé à la voix haletante et familière. Le destin d’Alexeï Ivanovitch, consumé par deux passions égales, le jeu et l’amour d’une femme, révèle l’image d’une humanité pleine de désirs fous et d’aspirations incontrôlées, condamnée à l’éternelle nostalgie du bonheur ou à l’espérance du salut.
Un chef d’oeuvre de la littérature française sublimé par l’interprétation magistrale de Benjamin Lacombe.
Après le succès des Contes Macabres, Benjamin Lacombe – auteur et illustrateur phare de la nouvelle génération – a succombé au célèbre roman de Victor Hugo, Notre Dame de Paris.
Il explore ici l’époque médiévale et se délecte à offrir son interprétation d’un imaginaire qui dresse, au milieu des grouillements et des clameurs, quatre figures de légende : Esméralda, la belle gitane ; Frollo, l’archidiacre maudit ; Quasimodo, le bossu amoureux et – en toile de fond, Notre-Dame de Paris.
Le dénouement d’une trilogie drôle et pinçante inspirée d’un court-métrage à succès !!!
Sur les bords de l’estuaire de la Gironde, une variété de crabes – le Cancer Simplicimus Vulgaris ou crabe carré – est victime d’un caprice de l’évolution : elle ne peut changer de direction, et est condamnée à marcher toute sa vie selon une même ligne droite !
Mais un jour... trois d’entre eux – Soleil, Bateau et Guitare – vont réaliser qu’ils peuvent modifier le cours des choses et... tourner ! Ainsi naissent deux clans : les rigides (qui marchent tout droit) et les tourneurs (qui changent de direction).
L’issue de cette bataille ne laisserait aucun doute quant à la victoire idéologique et stratégique des tourneurs, si le clan des rigides ne bénéficiait pas du soutien des autres espèces de la faune maritime qui se sentent menacées.
Une tragédie qui se déroule sous la caméra de deux reporters – Dominique et Raymond – encore loin d’imaginer ce qui les attend...
Lutte invétérée, origines révélées, marée noire, reste-t-il un espoir aux crabes carrés, espèce en voie de disparition ?
Un voyage fantasmagorique teinté d’humour et d’émotion.
Une histoire d’enfants, de frères et de deuil.
Dans sa préface, Patrice Leconte évoque, touché, « une imagination magique et mystérieuse ».
Antoine a dix ans, un papa fossoyeur, une maman taxidermiste et un grand frère benêt qui est mort.
Il s’appelait Vincent.
En classe, Antoine raconte que son frère est revenu d’entre les morts et qu’il mange des mouches ! Ses camarades se moquent de lui mais qu’importe, après l’école, Antoine va retrouver Vincent au cimetière.
Les deux frères s’amusent et pénètrent dans le monde déjanté du royaume des morts !
Un soir, Antoine veut présenter son amie Claire à son frère, et tout bascule. Vincent a disparu, une créature terrifiante surgit de nulle part, et Antoine, dans sa fuite, se retrouve prisonnier du royaume des morts. Retrouvera-t-il Vincent ? Et parviendra-t-il à revenir parmi les vivants ?
« Tournera, tournera pas ?... »
Court métrage récompensé à maintes reprises, La Révolution des Crabes est adapté en bande dessinée : une trilogie caustique autour de la condition d’un crabe, le Cancer Simplicimus Vulgaris !
En effet... depuis 400 millions d’années, toutes les espèces évoluent dans la joie et l’allégresse. Toutes sauf une : le Cancer Simplicimus Vulgaris, ou crabe carré.
Cette sous-espèce de crustacés peuplant les rivages de l’Estuaire de la Gironde est frappée, depuis des millénaires, d’une étrange tare : elle ne peut changer de direction, et est condamnée à marcher selon une même ligne droite !
Mais... Durant un été comme les autres, pendant que les vacanciers profitent du soleil et des congés payés, trois petits crabes carrés vont se rebeller, et bouleverser ainsi l’écosystème tout entier !
Un chef-d'oeuvre de la littérature française sublimé par l'interprétation magistrale de Benjamin Lacombe : le plus célèbre roman de Victor Hugo, véritable icône du romantisme, présenté dans une édition exceptionnelle.
Un récit entre drame et épopée, pittoresque et poésie, porté par l’extraordinaire sensibilité parisienne de son auteur. Une sensibilité partagée par Benjamin, qui explore ici l’époque médiévale et se délecte à offrir son interprétation d’un imaginaire qui dresse, au milieu des grouillements et des clameurs, trois figures de légende :
et en toile de fond, une cathédrale d’épouvante.
Librement adapté du roman de Pierre Mac Orlan :
« Une île au trésor, sans trésor, sans perroquet et sans espoir. »
Un homme sur la fin de ses jours nous fait la lecture du roman de sa jeunesse. Craignant toujours le couperet de la justice, c’est sur le ton du secret de la confidence qu’il nous raconte sa participation, plutôt en tant que témoin, au monde des gentilshommes de fortune du début du dix huitième siècle...
Grand auteur contemporain et réalisateur français, Pascal Rabaté révèle une nouvelle corde à son art, celle de conteur d’images.
Trois coups retentissent...
Une pièce sans paroles en dix matinées, dix soirées et un décor... Le rideau se lève sur un petit théâtre de papier, brillant hommage ludique et insolite au film d’Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour.
Si une fenêtre est une ouverture qui permet d’assurer l’aération et la lumière... elle permet aussi d’assurer la vue… vue sur d’autres fenêtres derrière lesquelles se déroulent des histoires de couples, des histoires d’amour, de séparation, de tromperie, et pourquoi pas des histoires de meurtre.
C’est un travail à plein temps de regarder à la fenêtre, de surveiller, de guetter...
D’ailleurs, retournons-y... il ne faudrait pas rater quelque chose…