1940, les Allemands envahissent une Belgique neutre, sans véritable défense. Durant l’Occupation, comme de nombreux autres jeunes de Chimay, Yvon veut échapper aux camps de travail : il décide de se cacher dans la forêt. Hélas, les occupants ne quittent pas les lieux. Les semaines passent, puis les mois et les années… Au total, ce sont quatre interminables années qu’il va passer dans les bois à lutter contre la peur, la faim et la folie…
Lorsqu’il peut enfin sortir de son refuge, Yvon éprouve un besoin vital de changer d’air pour effacer ses cauchemars et se donner l’occasion de démarrer de plain pied sa vie d’adulte. Il prend donc le premier bateau en partance pour le Congo, la colonie belge si pleine de promesses.
Avec sa nature envoûtante et ses innombrables défis à relever, le Congo lui redonne peu à peu de l’assurance et lui permet de rattraper les années perdues. Mais dans une Afrique qui aspire irrémédiablement à son indépendance, Yvon parviendra-t-il à préserver cet équilibre de vie qu’il a trouvé à l’autre bout du monde ?
Un nouveau récit passionnant qui mêle souvenirs familiaux et grande Histoire.
1918, la guerre est finie, la paix est signée. Outre les familles des 1.375.800 morts et disparus, la patrie française doit s’occuper des 4.266.000 blessés. Parmi eux se trouvent 10 à 15.000 mutilés de la face. Les « gueules cassées », comme on les appellera.
Insensible aux médailles qu’on lui propose, notre héros découvre, jour après jour, les réalités de sa nouvelle « condition ». Mi-homme, mi-curiosité, il tente de survivre à la violence du regard d’autrui. En particulier celui des femmes (dont la sienne) qui préfèrent lui tourner le dos en toutes circonstances… Si les compagnies un peu trop co
mpatissantes ou la visite de bordels spécialisés permettent de réguler certains besoins physiques, les besoins de l’âme, eux, ont bien du mal à trouver satisfaction…
Un beau jour, il rencontre Sembene, un colosse d’origine Africaine. Une drôle de « gueule », lui aussi, avec ses dents taillées en pointe. Entre les 2 compères, c’est un partage d’expériences en tous genres qui démarre…
Un travail de fiction remarquable mené par Aurélien Ducoudray, par ailleurs journaliste spécialisé dans les documentaires et mis en scène par une jeune auteure de dessins animés.
Un récit poignant sur des êtres hors normes, meurtris dans leur chair pour leur pays et pourtant soumis à la violence du regard de leurs compatriotes. Des « broyés » de la guerre qui ont gardé la vie, mais pour vivre un nouveau cauchemar.
Une plongée sans concession dans le douloureux processus d’acceptation du handicap facial par les gueules cassées, mais aussi dans les dérives d’une société partagée entre curiosité, compassion et dégoût.
Acte 1 : Simon met aux enchères un « massacre » (trophée de chasse) trouvé par son amie Louise dans des affaires léguées à son grand-père par un ami cambodgien.
La mise en vente de ce massacre déclenche les hostilités entre deux collectionneurs qui s’arrachent l’antiquité à des sommes astronomiques.
Le vainqueur, le collectionneur Limul Goma invite Simon à passer le voir. Il lui explique que le trophée est celui d’un kouprey, animal mythique cambodgien dont la race est aujourd’hui éteinte.
Acte 2 (antérieur) : Limul Goma fait la rencontre (suite à un tuyau d’un de ses « informateurs ») d’un très vieil homme ayant vécu au Cambodge et qui s’accuse d’être à l’origine des malheurs de ce pays, d’un massacre au sens le plus habituel et le plus sinistre du terme.
Il était venu s’installer en Indochine française, après la grande guerre, dégoûté par les tueries auxquelles il avait survécu. Très solitaire, il se mêle tout de même à quelques activités avec les autres colons, notamment des parties de chasse où il se refuse à tuer le moindre animal.
Un jour, pourtant, afin de sauver un enfant qu’il pense chargé par un kouprey, il tue l’animal mythique.
De là viendraient tous les malheurs à suivre…
Couleurs : Lucie Firoud
Beth est à l'âge des découvertes.
En vacances en camping avec ses parents, l'adolescente est fascinée par une fille à peine plus âgée qu'elle mais bien plus libre. A son contact, Beth évolue, sent poindre des désirs de rébellion et une vague de frustration.
Le titre joliment ambigu Fille perdue désigne ainsi autant Beth que cette enfant disparue aux environs de la plage dont parlent les journaux.
Un dessin dépouillé et élégant, une narration ample, des regards qui en disent davantage que les mots.
Une des premières œuvres parues à La Boîte à Bulles, par un auteur anglais injustement méconnu mais dont les ouvrages ont marqué leurs lecteurs (Fille perdue, Birthday Riots et Les Noyés). Fille perdue est un récit de l'adolescence hypnotique et troublant, une œuvre fine et envoûtante...
A.D. retrace l’itinéraire de sept personnes ayant survécu à Katrina, le terrible ouragan qui a frappé la ville de La Nouvelle Orléans le 28 août 2005 et a laissé dans le sillage de ses vagues de 11m, de ses vents de 280km/h, pas moins de 1836 morts ainsi que des dizaines de milliers de sans abris.
Si Denise, Léo, Michelle, Abbas, Darnell, Kwane et le Docteur ont donc survécu au drame, ils ont connu des fortunes diverses, sur place ou à l’extérieur… Mais aucun d’eux n’est sorti indemne de la catastrophe.
Venu sur place en tant que volontaire de la Croix Rouge, le dessinateur Josh Neufeld a pris le soin de les écouter, a recueilli leur témoignage et en a tiré un roman graphique d’abord diffusé sur internet avant d’être publié en livre.
Il offre sur cet événement marquant un point de vue sans parti pris mais multiple et saisissant. Une lecture dont on ne sort pas indemne, nous non plus.
Au 1er étage de L'Immeuble d'en face réside une mère célibataire et enceinte. Au second, un couple entre deux âges. Et au troisième un couple de jeunes amoureux, Claire et Louis. Un immeuble comme tant d'autres avec ses croisements dans l'escalier, sa solidarité et ses petites histoires, amoureuses ou douloureuses.
Des tranches de vie pleines de justesse et de fraîcheur.
Un malicieux "manga à la française", préfacé par Frédéric Boilet qui devrait séduire les amateurs aussi bien de shojo que de romans graphiques !
« Je suis né quelques jours après la fin de la révolution, le 29 janvier. Fidel Castro et les barbudos venaient de renverser le dictateur Batista… »
Alejandro González Raga est un Cubain comme les autres, un enfant de la révolution. Il étudiera même dans des écoles militaires et sera donc abreuvé à satiété de propagande castriste.
Mais le jeune homme aime le rock and roll et, sans doute plus que d’autres, souffre des conditions de vie imposées sur la grande île : surveillance permanente, liberté de mouvement entravée et contrôlée.
Il se met donc à écrire des articles et à militer dans des partis politiques demandant le rétablissement de la démocratie.
C’en est trop pour le régime qui déclenche en mars 2003 l’opération Printemps Noir et arrête ses opposants les plus gênants.
Alejandro ne sortira de prison qu’en 2008, suite aux tractations de l’Union Européenne et de l’église cubaine et grâce au soutien d’organisations telles que Reporters sans frontières et Amnesty International.
A travers l’itinéraire d’un homme, la description des errements d’une révolution pourtant initialement légitime...
En co-édition avec Amnesty International
1957, Cuba aux temps de la dictature de Batista. Benigno, jeune paysan cubain amoureux et bientôt père voit sa vie s’effondrer quand sa femme tombe sous les balles des soldats.
Aveuglé par son désir de vengeance, il rejoint les guérilleros qui campent près de chez lui et s’engage aux côtés de Fidel Castro, Camillo Cienfuegos et du Che. Il les suivra jusqu’à la prise de La Havane. Fidèle à ses compagnons et à l’idéal révolutionnaire, il continuera le combat dans d’autres pays, notamment en Bolivie où il sera du dernier combat de Che Guevara.
Parmi les seuls survivants de cette révolution manquée, il a rejoint Cuba avant de partir, des années plus tard, en exil en France. C’est là qu’il a confié à Christophe Réveille ses souvenirs de lutte. Celui-ci en a d’abord fait un livre (Benigno, dernier compagnon du Che) puis le scénario d’une bande dessinée historique captivante, mise en images par le jeune et talentueux Simon Géliot.
Tout à la fois l’itinéraire d’un homme sans éducation que la révolution façonne, un témoignage historique et un thriller…
Appelé du contingent, Alexandre Tikhomiroff dit Tiko, 21 ans, débarque en 56 sur les collines brûlées d’Algérie, déjà secouées par la guerre d’Indépendance.
Sur le chemin qui le mène d’Alger à l’école d’infanterie de Cherchell, il découvre avec fascination cette terre inconnue et son éblouissante lumière. Mais bien que son œil et son âme soient à même de savourer la beauté des montagnes algériennes, Alexandre peut difficilement fermer les yeux sur ce qui se passe alentour.
Car depuis sa caserne, l’apprenti soldat ne découvre pas seulement le quotidien du service militaire : il découvre aussi ce que représentent fameux « événements d’Algérie », euphémisme de l’époque pour désigner une guerre coloniale…
Un témoignage authentique sur une guerre trop longtemps étouffée mais qui a marqué une génération de jeunes hommes, dans chaque famille.
Max et Coquillage sont maintenant mariés et parents d’une petite fille. Ils attendent leur deuxième enfant, leurs vieux amis sont toujours là et le travail ne manque pas.
En somme, tout serait parfait si un point noir ne venait entacher leur quotidien : Marie, la mère de Max, souffre du syndrome de Benson. Oublis fréquents, perte de repères, diminution des capacités intellectuelles... Pour Max, cette nouvelle réalité est dure à accepter car sa mère n’a plus rien de la femme qu’il a connue.
Désorienté, le jeune homme alterne entre mélancolie et colère. Alors qu’il a plus que jamais besoin de son soutien, Coquillage s’éloigne, dépassée par ce mal-être. Leur vie de famille devient difficile, d’autant que Max se réfugie de plus en plus dans le travail…
Un récit touchant sur les personnes atteintes de maladies neurodégénératives et sur l’impact de celles-ci sur leur entourage.
Timothé Le Boucher est un jeune auteur de 23 ans, passionné de bande dessinée depuis son enfance et possédant déjà un trait et un univers d’une maturité indéniable. Il participe en 2009 au concours Manolosanctis et se voit publié dans le recueil Phantasmes de cette maison d’édition communautaire. Immédiatement repéré, il publie de nouveau dans les recueils 13m28 et Vivre Dessous.
Toujours chez le même éditeur, Timothé signe au scénario et au dessin son premier album complet : Skins party, un album cru et sans tabous sur ces soirées sans interdits venues de Grande-Bretagne. Le livre est sélectionné l’année de sa sortie à Angoulême.
Encore étudiant aux Beaux-Arts d’Angoulême, il poursuit sa carrière d’auteur en décortiquant avec une franchise acerbe le monde de l’adolescence.
Un livre sur une mère est en général tendre, doux. Celui de Raphaël Terrier ne peut l’être :
“J’avais besoin d’exprimer les ravages que peut produire l’alcool dans un foyer. Et la complexité des sentiments que peut éprouver un enfant dans de telles circonstances. ”
Un sujet qui s’imposait à lui :
“Je tenais à ce que ma première BD traite de ce sujet, de cette histoire de famille compliquée.”
Raphaël a six demi-frères et une demi-sœur. Il adorait sa maman mais n’a pas supporté de la voir se détruire.
Raphaël raconte son parcours, de l’amour le plus pur à la coupure sans retour, depuis dix ans. Sans faux-semblants, sans effets larmoyants, sans apitoiements. Avec une franchise, une force brute – tant dans la narration que dans les dessins – qui frappent et captivent.
Une BD cathartique :
“A force d’enterrer les souvenirs douloureux, je commençais à ne plus me souvenir de mon enfance, à ne plus savoir pourquoi j’avais quitté ma mère et si c’était pour de bonnes raisons. Désormais je me rappelle ; faire cette BD m’a permis de mettre les choses au clair.”
Un coup de cœur et un choc.
Un lycée qui pourrait être celui de Royan va célébrer son centenaire. C’est une occasion pour ses anciens élèves de venir renouer avec leur passé, leurs racines. Parmi eux, trois hommes et trois femmes de quarante ans, ainsi qu’une jeune sexagénaire. Ce retour vers leur jeunesse, ces retrouvailles, plus ou moins inattendues vont être l’occasion, pour eux, de faire le point sur leur existence passée, actuelle et future.
Juliette, la prof de français à la vie si bien rangée descend de Paris avec, Lucas, le bobo dont la vie sentimentale est moins brillante que la carrière….
Brigitte, la mère de ce dernier, serait une retraitée épanouie si elle ne souffrait du silence cruel de sa fille Hélène… A cette fête se rendent également Frank, l’employé de mairie encaisse mal de départ de sa femme et Marianne, une jolie fille promise à un brillant avenir qui a finalement trouvé son équilibre en devenant agricultrice… Ce qui ne manque pas d’intriguer ses ex-soupirants - en particulier Olivier, un docteur revenu s’installer en ville, qui en pince toujours pour elle…
Portée par les dessins délicatement aquarellés de Benjamin Bouchet, une BD chorale où s’entrecroise sept destins croqués avec finesse et justesse par Patrice Guillon qui fait entendre au fil du récit sept voix off, avec chacune sa sensibilité, son langage, son humour. La vie, la vraie, avec ses coups de cœur et ses coups de gueule, ses ruptures, et ses retrouvailles. Prenant et poignant.
Un beau matin, Elias se réveille heureux.
Sans raison apparente, l’insouciance prend place dans sa vie et le journaliste semble s’éveiller d’un long songe où le cynisme était de rigueur. Faisait-il un « déni de bonheur » ?
C’est en tout cas ce que lui suggère Sabrina, une sage-femme rencontrée à la terrasse d’un café, qui pense que son métier consiste à accoucher les esprits autant que les corps.
Tous deux se situent à un moment clef de leur vie où s’entremêlent doutes, remises en cause et questionnements existentiels. Sabrina envisage de devenir rabbin tandis qu’Elias souhaite réorienter sa carrière...
Dès lors ils s’engagent ensemble sur un même chemin et décident de voir leurs vies avec un oeil nouveau. Un regard qui sera, peut être, susceptible de leur apporter une paix intérieure...
Une histoire du quotidien pleine de sagesse et d'optimisme sur la notion de bonheur, teintée de philosophie positive et d’humour.
Oscar est un dominateur-né qui aime être entouré de courtisans ou plutôt de souffre-douleur. En compagnie de sa bande de suiveurs, il prépare l’exposition qui fera irrémédiablement exploser son talent.
Oscar est sans pitié. Il a aimé sa voisine, Anna, abusé quelques temps de sa naïveté avant de rompre. Point final de l’histoire, pensait-il. Mais Oscar se trompait, Anna lui réservait quelques surprises.
A l’origine Anna s’appelait Hôtel Particulier.
Le premier tome de ce thriller psychologique était paru aux éditions Soleil en album cartonné. Sans suite.
La Boîte à bulles en propose désormais une version intégrale entièrement revue par les auteurs dans sa collection Contre-jour.
L’occasion de découvrir enfin cet album, le plus intimiste dans l’œuvre de Christophe Bec, entièrement réalisé d’après des images tournées pour l’occasion. Une peinture de mœurs aussi saisissante que cruelle et ironique et une plongée dans le milieu de l’art contemporain caustique à souhait.
Un microcosme que Stéphane Betbeder connaît bien pour l’avoir fréquenté quelques temps.
A travers des aquarelles et des portraits réalistes magnifiés, A.Dan retrace son périple de presque deux mois au Congo Brazzaville aux côtés de primatologues du CNRS.
Une aventure scientifique exceptionnelle qui permet de découvrir ces grands singes menacés par le braconnage et le virus ebola, ainsi que les efforts continus des chercheurs pour étudier leur comportement et assurer leur sauvegarde.
Une aventure humaine où il est nécessaire de composer avec les hommes, les cultures et les problèmes sociaux-économiques.
Coup de coeur MSF 2014 des Rendez-vous du carnet de voyage (Clermont Ferrand)
Deux histoires, deux époques.
Nantes, au XXIe siècle.
À la limite du vagabondage, Lucien débarque en ville, sans argent ni repères. Le hasard lui fait croiser le chemin d’Ernest, un vieil homme paisible.
Ernest... Est-il vraiment ce qu’il paraît être ? Un petit vieillard solitaire, doux et sans histoires ? Petit à petit, son passé remonte à la surface… Un passé étonnant…
Ile de Gorée, au XVIIIe siècle.
Un sorcier vaudou négocie avec un capitaine négrier la libération de son « stock » de marchandises... Un marché au prix inestimable.
Au fil des chapitres, le lien entre ces deux époques se dessine et donne à voir furtivement un pan peu glorieux de l’histoire de Nantes...
Un album sans paroles au graphisme puissant et singulier, doté d'un habile jeu sur les ambiances et les couleurs.
Précédemment publié dans le magazine taiwanais «Big Issue», City and Gender est un recueil d'histoires courtes qui se déroulent toutes dans une ville contemporaine, à la fois universelle et ordinaire : anonyme, normée, mais surtout genrée. Les personnages de ces contes se retrouvent confrontés aux stéréotypes et aux poncifs que leur sexe et la rue leur imposent.
City & Gender questionne avec subtilité la ville et l'environnement et induit aussi une réflexion sur l'identité, sur le genre féminin/masculin et sur la société du XXIe siècle.
Apprenti puis ouvrier, Jacques a acquis son indépendance et profite des temps libres offerts par le Front Populaire à tous les ouvriers. Avec l’insouciance de ses vingt ans.
Mais de l’autre côté des Pyrénées, les Espagnols subissent le joug fasciste. Et fuient par milliers vers cette France qu’ils croient hospitalière.
Puis c’est la mobilisation et bientôt la guerre. Réformé, Jacques n’y prend pas part, de même que son frère Marceau, trop jeune. La débâcle de 40 amène à Bordeaux le gouvernement français immédiatement suivi des troupes allemandes.
Commence alors le temps de l’Occupation, du couvre-feu, des rationnements. Des dilemmes, des premiers engagements, des premiers amis disparus…
Un récit vivant, poignant, directement tiré de la vie du narrateur, le propre père de Bruno Loth.
Recueil de tranches de vie et de moments intimes, Dans ta Bulle laisse une porte ouverte sur le coeur et les émotions de son héros.
Cette intégrale raconte les histoires d’amour et d’amitié de Domas, sa rencontre avec Coquillage ainsi que les mille et un détails du quotidien qui sont autant de petits bonheurs disséminés dans la mémoire. Au gré de son trait virtuose, se dessinent toute la douceur et la légèreté que peut avoir la vie.
Un ouvrage sensible et intimiste dont les récits ont inspiré le spectacle éponyme, comédie romantique qui mélange théâtre, dessin et musique et sillonne la France depuis 2011.
Une ode à la vie et aux instants qui comptent, aux sentiments, à la bonté, à la fraternité...