Victor Younki, dit Young Perez, est né en Tunisie. À 16 ans, il livre son premier combat professionnel et quitte sa terre natale pour Paris, avide d’argent, de gloire et de filles ! En 1931, il devient d’abord champion de France puis, quelques mois plus tard, le plus jeune champion du monde des poids mouche. C’est un danseur agile, qui boxe avec ses jambes. À 23 ans, à l’âge où les autres boxeurs commencent à être connus, il abandonne pour se lancer dans les affaires, dans lesquelles il échoue. Il reprend la boxe pour régler ses dettes. Il livre son dernier combat, pour quelque argent, contre un champion nazi, à Berlin, en 1938, au paroxysme du sentiment populaire anti juif. Il inaugure ainsi les sept maigres années qu’il lui reste à vivre. Il ne voit pas venir le danger, il n’écoute pas ceux qui lui conseillent de rentrer à Tunis… Rattrapé par ses origines, il est dénoncé et arrêté par la milice en 1943. Il est d’abord interné à Drancy, puis déporté à Auschwitz, avant d’y être abattu en 1945. Il a 27 ans.
Suite aux revers de fortune de son père, Mireille Balin contrainte de gagner sa vie, devient à 21 ans, grâce à son immense beauté, mannequin pour Jean Patou. Elle bifurque vers le cinéma et c’est Pabst qui lance sa carrière. Elle devient une actrice adulée du public français, après avoir joué dans Pepe le Moko et Gueule d’amour. Pour autant, ce n’est pas une grande comédienne, elle ne sait joue qu’un rôle, celui de la femme fatale, celle qu’elle est dans la vie et qui aura comme amants célèbres Jean Gabin et Tino Rossi. À l’aube des années 40, son amour du pouvoir et de l’argent, la pousse à travailler pour l’Occupant, et elle tombe sincèrement amoureuse d’un jeune officier de la Wehrmacht. La Résistance la rattrape. Son amant sera abattu et elle sera violée par un groupe de FFI, alors qu’ils fuyaient vers l’Italie.
C’est en octobre 1931, à l’occasion de la somptueuse fête, où le tout-Paris se presse, donnée en l’honneur de son titre de champion du monde, que Young Perez et Mireille se rencontrent. Le pauvre petit juif arable et la belle parisienne blanche catholique s’aimeront un temps, avant que la guerre ne les sépare, les emportant chacun vers leur destin tragique.
En 1924, Hélène, qui souffre d’une maladie chronique, est envoyée par son père à Oasta pour se faire soigner. Elle reste plus d’un mois en soins et doit alors partir en convalescence dans un sanatorium. Mais, la jeune femme refuse et choisit une résidence tenue par une femme et ses deux fils. Noble mais désargentée, la famille loue des chambres de sa vaste demeure.
L’un des fils, Mauro, bien qu’un peu simplet, est visiblement troublé par la présence de la jeune femme. Il s’occupe d’elle avec dévouement. Quant à Hélène, elle semble peu à peu envoûtée par l’étrange atmosphère des lieux, en particulier par le portrait d’un inconnu qui orne sa chambre qu’elle surnomme « Monsieur Charmant » .
Sensualité et mystère semblent être les maîtres mots de ce récit.
Les hôtes d’Hélène forment une bien curieuse famille. La mère, autoritaire et fuyante, Mauro, le fils un peu attardé et si attentionné, Amato, le beau jeune homme, mystérieux et fantomatique, sosie parfait de son lointain ancêtre, tous semblent lui cacher un terrible secret.
New York de nos jours. Il s'appelle Carson Mc Neal. C'est un phénomène de l'édition. Écrivain immensément talentueux, il est l'auteur de best-sellers traduits dans le monde entier et adaptés au cinéma. Pourtant, personne ne sait vraiment qui il est. Sa vie est un mystère. Il n'a jamais accordé d'interview, n'est jamais paru en public, aucune photo de lui n'existe...
Elle s'appelle Kerry Stevens. Cette jeune blondinette à taches de rousseur est critique littéraire pour le réputé Tales & Writers. Elle n'a qu'une idée en tête, être la première à percer le mystère McNeal. Elle est prête à tout pour le rencontrer, l'interroger sur son prochain roman. Justement, McNeal y travaille. Son héroïne est Afia, une jeune Palestinienne cherchant à renouer les fils de sa pauvre existence qui, de la prostitution à l'enfer de la drogue, l'a menée en prison, dont elle sort aujourd'hui avec rien ni personne pour l'attendre. Enfant, elle a perdu toute sa famille, massacrée par les Phalangistes au Liban. Elle est la seule à avoir survécu. Depuis, plongée dans le trou noir de sa mémoire, incapable de se souvenir de ce qui s'est réellement passé ce jour tragique, elle est hantée par de terribles cauchemars récurrents et ne parvient pas à se détacher de ce terrible passé.
Un livre où souffle le vent tragique de l'Histoire, porté des personnages forts que le lecteur n'est pas près d'oublier.
Couleurs : Caroline Delabie, Ralph Meyer
New York de nos jours. Il s'appelle Carson Mc Neal. C'est un phénomène de l'édition. Écrivain immensément talentueux, il est l'auteur de best-sellers traduits dans le monde entier et adaptés au cinéma. Pourtant, personne ne sait vraiment qui il est. Sa vie est un mystère. Il n'a jamais accordé d'interview, n'est jamais paru en public, aucune photo de lui n'existe...
Elle s'appelle Kerry Stevens. Cette jeune blondinette à taches de rousseur est critique littéraire pour le réputé Tales & Writers. Elle n'a qu'une idée en tête, être la première à percer le mystère McNeal. Elle est prête à tout pour le rencontrer, l'interroger sur son prochain roman. Justement, McNeal y travaille. Son héroïne est Afia, une jeune Palestinienne cherchant à renouer les fils de sa pauvre existence qui, de la prostitution à l'enfer de la drogue, l'a menée en prison, dont elle sort aujourd'hui avec rien ni personne pour l'attendre. Enfant, elle a perdu toute sa famille, massacrée par les Phalangistes au Liban. Elle est la seule à avoir survécu. Depuis, plongée dans le trou noir de sa mémoire, incapable de se souvenir de ce qui s'est réellement passé ce jour tragique, elle est hantée par de terribles cauchemars récurrents et ne parvient pas à se détacher de ce terrible passé.
Un livre où souffle le vent tragique de l'Histoire, porté des personnages forts que le lecteur n'est pas près d'oublier.
Couleurs : Caroline Delabie, Ralph Meyer
Îles Banyak, Indonésie. Eté 1984.
Un petit groupe de plongeurs débarque dans un minuscule archipel au large de l’île de Sumatra en Indonésie. Ils sont documentaristes et militants écologiques. Léo, sa femme Isabelle et leur ami Bernard. Venus du bout du monde au service d’une cause : l’écologie. ils veulent démontrer par le film qu’ils préparent comment l’homme en détruisant son environnement se détruit lui-même.
Mais le projet tourne à la tragédie quand Isabelle, enceinte, est dévorée par un crocodile géant sous les yeux de Léo. Avec le concours des habitants de l’île, Léo et Bernard partent en chasse du reptile géant…
S’ils échouent à le tuer, ils le blessent à l’oeil dans un combat titanesque. Léo ressent un curieux lien avec l’animal. Secondé par Bernard et Sap, un jeune Indonésien, il plonge dans le repaire sous-marin du crocodile. Il échoue une fois de plus à le tuer.
Mais, mystérieusement, le monstrueux animal le laisse emporter le cadavre de sa femme.
Trente ans plus tard, Léo retrouve les îles Banyak, dans un territoire traumatisé depuis le tsunami survenu en 2004.
Tel le capitaine Achab pourchassant jusqu’à la folie Moby Dick, Léo dit vouloir en finir avec celui que les autochtones appellent désormais « N’a-qu’un-oeil ». Mais sa soif de vengeance n’a-t-elle pour objet que le seul crocodile tout à la fois fascinant et terrorisant ?
Décor luxuriant pour une histoire grave et douloureuse, qui rappelle celui de Tsunami qui avait déjà associé les deux auteurs et qui avait été salué par la presse et remarqué des libraires.
C’est le récit d’un voyage. Celui d’Antonin Artaud, en 1937, au cœur de la sierra mexicaine à la rencontre des indiens Tarahumaras. Un voyage à la recherche des racines ancestrales du Mexique qu’Artaud veut découvrir pour « en ramener des enseignements à l’Europe ».
Ecrivain, dessinateur et poète français, Antonin Artaud est né en 1896 à Marseille. Théoricien du théâtre il a également été comédien dans 25 films de fiction. Il est mort en 1948, interné à Ivry sur Seine après de nombreux séjours en psychiatrie depuis tout jeune homme. Il a notamment publié Van Gogh le suicidé de la société, et enregistré Pour en finir avec le jugement de Dieu.
Antonin Artaud arrive à Veracruz au Mexique. Son but ? Partir à la recherche de la civilisation originelle mexicaine. Mais tout d’abord il s’agit de trouver de la drogue, qui lui manque cruellement. Se succèdent des crises d’angoisse, de manques et des phases d’apaisement. Il donne quelques conférences et écrit. Il souhaite découvrir la culture indienne dont il déplore l’écrasement et dont il loue les immenses potentialités. Il appelle en vain la révolution mexicaine de se plonger dans les racines ancestrales du Mexique pour bâtir l’avenir du pays plutôt que de reprendre le socialisme scientifique européen. En septembre 1936, il se rend à cheval, accompagné d’un indien métis, dans la sierra mexicaine pour rencontrer les indiens Tarahumaras. Un séjour qui va changer sa vie…
Maximilien Le Roy raconte cette quête intime, artistique et politique de l’écrivain. Zéphir restitue par la force de son dessin brut et presque âpre, l’expérience sensorielle que fut, pour Antonin Artaud ce départ vers des terres dont il attendait tant.
Alors âgé de 77 ans, Albert Cohen publie un livre qui révèle l’événement marquant qui a dévasté son enfance et marqué sa vie : sa découverte de l’antisémitisme.
Le jour de ses dix ans (en 1905), le jeune Albert arpente les rues marseillaises à la recherche d’un petit cadeau pour sa mère. Il est fasciné par le bagout d’un camelot qui s’adressera pourtant à lui en le traitant de « sale youpin ! ».
Les insultes antisémites résonneront pour toujours à ses oreilles.
Dans ce livre intense, triste mais sans virer jamais au pessimisme, Albert Cohen déploie la beauté de son écriture lyrique pour montrer la violence de sa blessure enfantine. Un beau livre, malheureusement intemporel, qui fait réfléchir sur l’absurdité de toutes les formes de racisme et de discrimination.
Plus de cent après les faits, Luz s’empare de ce récit autobiographique pour en donner une version illustrée poignante et inédite. Sans jamais trahir l’oeuvre de l’écrivain, il raconte l’intégralité de l’histoire mais ne garde du livre que le monologue destructeur du camelot et la puissance du texte des trois derniers chapitres, qui évoque les camps de la mort.
1944 : Louis-Ferdinand Céline, Lucette son épouse, et le chat Bébert quitte Paris bombardé. Traversant l’Allemagne en ruines, ils rejoignent Sigmaringen où s’est réfugiée la communauté française collaborationniste, et où ils retrouvent le comédien Robert Le Vigan qui a quitté le tournage des Enfants du paradis. Cerné par des personnages piteux et minables, voire carnavalesques, le drame tourne à la fable burlesque.
De cet épisode historique réel, Céline a écrit D’un château l’autre, Nord et Rigodon. Christophe Malavoy, comédien intuitif et liseur attentif de littérature, féru de l’écriture Célinienne a eu l’envie et l’audace d’adapter la trilogie allemande de l’auteur de Voyage au bout de la nuit avec la complicité des frères Brizzi, ténors du film d’animation français.
Née le 1er mai 1852 dans le Missouri, elle est l’aînée d’une famille de six enfants. Ses parents, de pauvres agriculteurs décident de tout abandonner pour aller vers l’Ouest, à Salt Lake City, où vit la plus grande communauté mormone. Elle a 15 ans quand ses parents meurent. Élevant seule sa fratrie, elle se retrouve contrainte de les abandonner pour ne pas avoir à se marier avec un homme qui la convoite.
Sa vie aventureuse commence. Un peu partout sur les territoires des Wyoming, Dakota et Montana, on repérera le passage de cette extravagante jeune femme, cocher de diligence un jour, serveuse de saloon le lendemain, cow-girl, sage-femme, poseur de rails… mille petits boulots qui contribueront à lui tailler une réputation sulfureuse dans un Ouest à la fois sauvage et puritain et qui lui vaudront son surnom. Christian Perrissin : l’envie, c’était de ne pas faire un western, mais le portrait d’une femme qui refuse de se soumettre au diktat des hommes.
Martha Jane Cannary s’est battue jusqu’au bout de sa vie pour échapper à ce carcan et elle y a laissé sa santé. Le dessin de Matthieu est idéal pour un portrait intimiste.
Ce septième album marque le retour de Mauro Caldi, le jeune pilote, après 20 ans d’absence. Michel Constant et Denis Lapière explorent le passé et les liens qui unissent Mauro et Gigi. Mais qui est cette vieille dame ?
Mauro s’entraîne sur les routes de campagne des environs de Brescia. Gigi, son co-pilote, écrit des indications sur sa conduite sur un dérouleur de notes. Ce dernier suspend l’entraînement pendant quelques jours. Il doit s’absenter, comme chaque année, pour rendre visite à une vieille dame. Gigi se montre fuyant lorsque l’on lui demande des précisions. ... Ce qui attise la curiosité de Mauro.
Qui est- cette vieille dame ? Pourquoi tant de mystère ? Mauro fouille dans les affaires de son ami. Il n’y trouve qu’un vieux dérouleur de notes. Rien d’intéressant...
Mauro Caldi se décide à suivre son ami lorsqu’il reçoit le message d’un corbeau. On le prévient.
Un lourd secret va bouleverser sa vie. Quel est-il ?
Coloriste : Béa Constant
Un petit village de pêcheurs de l'extrême sud de l'Italie, une jeune femme retrouvée morte noyée, un lord anglais ivre-mort à toute heure du jour et de la nuit, quatre joueurs de carte débonnaires, deux jumelles insupportables…
Et surtout, une superbe Jaguar XK120 qui va mener Mauro Caldi sur la piste de faux-monnayeurs, de faux épiciers, de faux policiers, mais de vrais escrocs.
Mauro Caldi mène l'enquête avec son bons sens légendaire.
Couleurs : Béa Constant
Débrouillard, malin, mécanicien casse-cou, Mauro Caldi a un rêve, devenir pilote de course ! Et quelle meilleure occasion pour cela que de concourrir sur la plus prestigieuse des courses: les Mille Miglia…
Mais la médaille a un revers, et l’enthousiasme de notre jeune héros semble parfois confiner à la naïveté…
Entre Mafia et Ferrari, ce premier tome des aventures de Mauro Caldi nous fait revivre les années 50 à l’italienne.
Couleurs : Béa Constant
Engagé dans les studios de CineCittá pour servir de doublure à la star masculine du moment, Mauro fait la rencontre de la belle Cindy, une jeune actrice qui rêve d’Hollywood.
Mais si le monde du cinéma fait naître les rêves, il plonge aussi ses acteurs dans des abîmes de stupeur lorsque le sinistre "Dottore " refait surface…
Entre Mafia et Ferrari, les aventures de Mauro Caldi nous font revivre les années 50 à l’italienne.
Couleurs : Béa Constant
Un 3ème opus entre voleurs de haut vol et voitures de courses, dans lequel on retrouve la fraicheur de notre jeune héros et de la dolce vita italienne des années 50 !
Mauro Caldi, toujours sur les circuits, fait la connaissance de Joanna alors qu'elle essaie de lui vendre des montres volées.
C'est le coup de foudre et Mauro va tout tenter pour sortir Joanna des griffes du Voltigeur, un voleur de la pire espèce qui se sert de cambrioleuses pour détrousser les pilotes.
Mauro Caldi va donc devoir défier cet homme pour les beaux yeux de sa belle.
Couleurs : Béa Constant
Vous croyez avoir tout compris des Alter Ego ? Détrompez-vous !
(Attention spoiler ! À ne pas lire avant d'avoir lu le début de la saison 2).
Depuis trois ans, le débat fait rage autour des Alter Ego : fumisterie ou formidable découverte scientifique ? La polémique scientifique tourne au thriller quand les principaux protagonistes deviennent les cibles de meurtriers.
Qui se cache derrière ces assassinats et dans quel but ?
Tout s'emballe : tandis que Miep est prête à tout pour venger Teehu, Delia a entamé une course contre la montre, après le décès de sa soeur jumelle. Camille, aux côtés de Gail et des scientifiques du Simorg, convoque une conférence après leurs extraordinaires découvertes : non seulement les humains mais tous les êtres vivants seraient reliés entre eux.
Mais de quelle vérité l'Humanité peut-elle s'accommoder ? Qui va décider du verdict final ? Une fois encore, la magie Alter Ego opère. Chaque album de 64 pages est une aventure dense et tendue tout en étant l'un des morceaux du puzzle d'un surprenant thriller.
Alter Ego est une création collective riche, surprenante et ludique dont le final de la saison 2 s'achève en apothéose avec "Verdict".
Houston, Texas. Le procès d'Ellen débute. Deux camps se font face autour de cette affaire : celui d'Ellen rejoint par les avocats de Jane et les militants anti peine de mort, face à celui du gouverneur, du shérif et des partisans de la peine de mort. Ce que personne ne sait, c'est qu'un troisième camp existe et qu'il peut agir de l'intérieur, au sein même des jurés…
Denis Lapière a été nominé pour le prix Lob à bd BOUM 27 (2010)
En Rhénanie en 1238, l'Eglise voit d'un fort mauvais oeil l'indépendance des femmes demeurées veuves ou célibataires, qui plus est leur implication en religion...
Erika tente d’assurer la pérennité du petit béguinage qu’elle forme avec ses quatre filles, en fournissant aux moines voisins des copies de la bible en vernaculaire joliement enluminées. Mais la protection des pères est fragile, elle ne peut les protéger de tout. En ces temps d’intolérance, une apparition mystique va soudain bouleverser la communauté : une jeune beauté inconnue, et faiseuse de miracles… une incarnation divine, sans doute…! La présence d’Urielle provoque de terribles tensions au sein du village… Qui est-elle vraiment ? Une mission inquisitrice est aussitôt dépêchée par l’Évêque de Strasbourg. Un polar hypnotique, en huis-clos. Un petit village perdu, dépouillé, théâtre de l’affrontement de la ténacité d’une mère, contre la toute puissance de l’Église…
Couleurs : Ngam
La Ferrari 225 coupé est un modèle remarquable et rare. Elle est confiée à Mauro Caldi, le temps d’un week-end de course à Spa-Francorchamps, en Belgique.
Mais le soir même, elle disparaît, volée par deux malfrats locaux. Mauro n’a que 24 heures pour la retrouver et la rendre, intacte, à son propriétaire.
Une longue et folle nuit à la poursuite des voleurs de la Ferrari...
Savoir ou croire : choisir sa vérité devient une question de vie ou de mort.
La révélation des Alter Ego a réveillé bien des appétits : escrocs et illuminés en tout genre font leur miel de l'incertitude qui plane encore sur la véracité, ou non, de cette théorie. Désigné pour diriger le Comité scientifique international chargé d'évaluer la validité de la théorie des Alter Ego, Gail LLewellyn se rend à Singapour pour rejoindre ses pairs, accompagné de sa maîtresse. La tension autour du travail du Comité, mais aussi en son sein, est palpable. Gail, qui doit sa nomination aux pressions américaines à l'ONU, sait qu'on attend de lui qu'il accélère les délibérations du Comité dans un sens plutôt négatif. Ce qui ne lui pose pas de problème, étant lui-même porté au scepticisme quant à la théorie des Alter Ego. Jusqu'au jour où, victime d'un attentat, il doit la vie à une jeune femme qui serait mandatée par son propre Alter Ego, tandis que le mystérieux tueur qui s'attaque aux acteurs de premier plan de l'affaire Alter Ego semble insaisissable...
Avec la parution de Gail, les pièces du puzzle s'emboîtent et la magie Alter Ego opère. Teehu, Gail, Delia peuvent être lus dans n'importe quel ordre et éclairent chacun d'une lumière particulière le deuxième acte de Alter Ego.
Qui détient la vérité ?
À chacun de se faire son opinion.... tant que l'on n'aura pas lu Verdict, l'album de conclusion qui paru en octobre 2014, moins d'un an après le début de la saison 2.
La Targa-Florio se dispute en Sicile sur un circuit de 72 km et Mauro Caldi va y affronter ses plus dangereux adversaires.
Mais il ne s'agira ici ni de Stirling Moss, ni de Castellotti, ni de Gendebien, ni même de Mike Parkès, mais… de deux familles, les Spottorno et les Scratellini, qui se livrent une guerre sans merci.
Et la question n'est pas de savoir si Mauro Caldi va gagner la course, mais comment il va faire pour rester en vie avec ces deux familles de fous furieux aux trousses!
Couleurs : Béa Constant