Recomposer une famille, c'est un peu comme reconstituer un puzzle avec des pièces dépareillées. Ça ressemble à quelque chose, mais on ne sait pas toujours à quoi. Le narrateur de « Famille recompose-toi » le sait bien. Hier, il était père célibataire et bobo parisien. Aujourd'hui, il vit en province avec sa famille recomposée : son fils Basile, sa fiancée Mathilde et la fille de cette dernière, Camille.
Entre le narrateur, Mathilde, Basile et Camille, la belle entente n'a rien de spontanée : elle est le fruit d'un long travail, un équilibre complexe qu'un seul grain de sable peut soudain enrayer. Et si les voisins sont toujours là pour donner des conseils, ou recoller les morceaux, ils peuvent aussi mettre parfois de l'huile sur le feu …
C'est drôle, élégant, souvent subtil, toujours innervé de sociologie gracieuse et ça se dévore comme du Sempé.
La semaine, le père de Basile est un ado attardé. Le week-end, un père attentionné. Trouve-t-il son bonheur dans cet équilibre instable, entre virées en boîte et anniversaires déguisés ? Serait-il prêt à repartir dans une vie de couple ? Il faudra qu'il y réfléchisse. Mais pour l'heure, il doit aller chercher Basile à l'école, trouver une baby-sitter et passer chercher Mathilde, une jolie mère célibataire qu'il a invitée à dîner.
Qui est-ce qui a entre 30 et 40 ans, la mine fatiguée, une allure vaguement branchée et se promène dans les jardins publics avec un môme accroché à ses basques ? Le père célibataire, bien sûr.
Jacques Braunstein sait de quoi il parle et décrit bien les tentatives de son héros pour concilier ses obligations de père avec son aspiration au bonheur personnel.
Un récit illustré dont les péripéties amusantes dissimulent une réflexion intéressante sur le couple et la quête éperdue du bonheur à deux.
Une enfance dans la Libye de Kadhafi et la Syrie d’Hafez al-Assad.
Né d’un père syrien et d’une mère bretonne, Riad Sattouf grandit d’abord à Tripoli, en Libye, où son père vient d’être nommé professeur. Issu d’un milieu pauvre, féru de politique et obsédé par le panarabisme, Abdel-Razak Sattouf élève son fils Riad dans le culte des grands dictateurs arabes, symboles de modernité et de puissance virile.
En 1984, la famille déménage en Syrie et rejoint le berceau des Sattouf, un petit village près de Homs.
Malmené par ses cousins (il est blond, cela n’aide pas…), le jeune Riad découvre la rudesse de la vie paysanne traditionnelle.
Son père, lui, n’a qu’une idée en tête : que son fils Riad aille à l’école syrienne et devienne un Arabe moderne et éduqué, un Arabe du futur.
L’Arabe du futur sera publié en trois volumes. Ce premier tome couvre la période 1978-1984.
Né d’un père syrien et d’une mère bretonne, Riad Sattouf raconte dans L’Arabe du futur sa jeunesse au Moyen-Orient.
Dans le premier tome (1978-1984) le petit Riad était balloté entre la Libye, la Bretagne et la Syrie.
Dans ce second tome, qui couvre la première année d’école en Syrie (1984-1985), il apprend à lire et écrire l’arabe, découvre la famille de son père et, malgré ses cheveux blonds et deux semaines de vacances en France avec sa mère, fait tout pour devenir un vrai petit syrien et plaire à son père.
La vie paysanne et la rudesse de l’école à Ter Maaleh, les courses au marché noir à Homs, les dîners chez le cousin général mégalomane proche du régime, les balades assoiffées dans la cité antique de Palmyre : ce tome 2 nous plonge dans le quotidien hallucinant de la famille Sattouf sous la dictature d’Hafez Al-Assad.
L’Arabe du futur raconte la jeunesse de Riad Sattouf au Moyen-Orient.
Dans le premier tome publié en 2014 et qui couvre la période 1978-1984, le petit Riad est ballotté, de sa naissance à ses six ans, entre la Libye, la Bretagne et la Syrie.
Le deuxième tome, paru en 2015, raconte sa première année d’école en Syrie (1984-1985).
Dans ce troisième tome (1985-1987), après avoir suivi son mari en Libye puis en Syrie, la mère de Riad ne supporte plus la vie au village de Ter Maaleh. Elle veut rentrer en France.
L’enfant voit son père déchiré entre les aspirations de sa femme et le poids des traditions familiales…
Entièrement écrit et illustré par Soledad Bravi, cet album raconte les aventures, ou plutôt les mésaventures ! d'une trentenaire particulièrement paresseuse. Comme toutes les femmes de son âge, elle est obsédée par son poids mais bien trop paresseuse pour tenir ses bonnes résolutions, qu'elles concernent le sport, le régime ou les mec.
Un personnage drôle et attachant dans lequel toutes les jeunes et moins jeunes femmes pourront se reconnaître.
Pas facile d'être au chômage. Il faut arracher aux autres chercheurs de boulot la dernière offre d'emploi apparue, résister à l'appel du canapé-télé qui titille votre côté dépressif, ou encore, échapper aux stages non rémunérés, aux emplois précaires et aux patrons sans scrupule. Bref, être chômeur est un parcours du combattant… Surtout pour Constantin, un jeune rouquin particulièrement mou et désespérément feignant.
En imaginant ce looser attachant, Jibé espérait exorciser les démons du chômage. Il trouvera autre chose : le succès sur la toile.
J'aurais adoré être ethnologue (tome 2)… décrit de façon humoristique les aventures parentales, professionnelles de Margaux Motin : cette trentenaire doit mener de front sa vie de femme mariée à un fan de jeux vidéo qui ne comprend décidément rien à la mode, son rôle de jeune maman d'une petite fille adorable mais envahissante, et sa carrière d'illustratrice freelance décontractée mais désespérément solitaire.
La chronique tendre et drôle d'une femme moderne…
Je m'appelle Diglee, j'ai 22 ans, une sœur dingo et géniale, un homme roux, une Best Friend Forever qui me supporte depuis 10 ans, une mère super canon, et trop de cellulite pour mon IMC, malgré mes chorées diaboliques sur Lady Gaga. Et comme ma vie intéresse tout le monde, hein, bah... J'en ai fait un blog. Et puis de ce blog, j'en ai fait un livre. Voilà.
Ana A est une jeune femme aux cheveux roses et au langage fleuri. Elle fait un boulot ingrat sous la responsabilité de Chantal, une feignante incapable de retenir son prénom, vit avec sa chatte qu'elle déteste et que son ex, Alex, a si justement dénommée Joey Starr, et a deux copines aussi folledingues et qu'obsédées, Claire et Cynthia.
Bref, Ana A doit faire face à nombre de tracasseries du quotidien : sa réticence à faire du sport, même sur Wii-Fit, sa mère envahissante, son chéri qui l'a lâchement abandonnée… Heureusement pour elle, il lui reste la langue de vipère !
À travers les trois premiers ouvrages d'une série de six albums, découvrez les aventures et surtout les mésaventures d'Ana A avec ses copines, ses ex et ses collègues.
Ana A est une jeune femme aux cheveux roses et au langage fleuri. Elle fait un boulot ingrat sous la responsabilité de Chantal, une feignante incapable de retenir son prénom, vit avec sa chatte qu'elle déteste et que son ex, Alex, a si justement dénommée Joey Starr, et a deux copines aussi folledingues et qu'obsédées, Claire et Cynthia.
Bref, Ana A doit faire face à nombre de tracasseries du quotidien : sa réticence à faire du sport, même sur Wii-Fit, sa mère envahissante, son chéri qui l'a lâchement abandonnée Heureusement pour elle, il lui reste la langue de vipère !
À travers les trois premiers ouvrages d'une série de six albums, découvrez les aventures et surtout les mésaventures d'Ana A avec ses copines, ses ex et ses collègues.
Ce livre décrit de façon humoristique les relations d’un père adolescent attardé, qui a dû troquer ses manettes de Playstation pour un chauffe-biberon, et de sa fille, Maé, presque 4 ans, pur produit d’une éducation « à la cool ». Pacco consigne dans cette bande dessinée les mille et une excentricités de ce petit diable aux yeux bleus, des caprices pour ne pas manger de brocolis jusqu’aux OPA agressives sur sa Nintendo DS.
C’est aussi – et surtout – la chronique tendre d’un père qui découvre l’inestimable bonheur de nouer avec sa petite fille une complicité du quotidien.
Ana A est une jeune femme aux cheveux roses et au langage fleuri. Elle fait un boulot ingrat sous la responsabilité de Chantal, une feignante incapable de retenir son prénom, vit avec sa chatte qu’elle déteste et que son ex, Alex, a si justement dénommée Joey Starr, et a deux copines aussi folledingues et qu’obsédées, Claire et Cynthia. Bref, Ana A doit faire face à nombre de tracasseries du quotidien : sa réticence à faire du sport, même sur Wii-Fit, sa mère envahissante, son chéri qui l’a lâchement abandonnée…
Heureusement pour elle, il lui reste la langue de vipère !
À travers les trois premiers ouvrages d’une série de six albums, découvrez les aventures et surtout les mésaventures d’Ana A avec ses copines, ses ex et ses collègues.
Ce livre décrit de façon humoristique les aventures parentales, professionnelles et "modesques" de Margaux Motin : cette trentenaire doit mener de front sa vie de femme mariée à un fan de jeux vidéo qui ne comprend décidément rien à la mode, son rôle de jeune maman d’une petite fille adorable mais envahissante, et sa carrière d’illustratrice freelance décontractée mais désespérément solitaire.
La chronique tendre et drôle d'une femme moderne.
Maé est de retour et elle encore plus terrible, tendre, ingérable ! Bref, c'est une petite fille de 4 ans, comme toutes les autres...
Maé, saison 2 décrit de façon humoristique les relations d’un père adolescent attardé, qui a dû troquer ses manettes de Playstation pour un chauffe-biberon, et de sa fille, Maé, 4 ans, pur produit d’une éducation "à la cool ". Pacco consigne dans cette bande dessinée les mille et une excentricités de ce petit diable aux yeux bleus, des caprices pour ne pas manger de brocolis jusqu’aux OPA agressives sur sa Nintendo DS. C’est aussi - et surtout - la chronique tendre d’un père qui découvre l’inestimable bonheur de nouer avec sa petite fille une complicité du quotidien.
La suite des aventures de ce père et sa fille est une succession d’histoires drôles et instructives, à travers lesquelles tous les parents pourront se reconnaitre.
2,50€
Terre de son Nom est un album étrange et émouvant de SF, il dévellope également des qualités poétiques et divertissantes. De plus, il affiche de grandes ambitions narratives, artistiques avec une grandeur d’âme.
Dans une cite protégée par une coque d’un verre particulier, des femmes et des hommes vivent abrités depuis des millénaires, ils ne vieillissent pas parce que leur vie est biologiquement éternelle. Mais voilà, ils ne peuvent pas avoir d’enfants… pourtant un événement fort considérable pour eux, va intervenir. Suite à de longs travaux, des scientifiques de leur communauté et hors du commun, vont réussir à créer une naissance ! les habitants de cette ville enfermée, n’avaient jamais vu un bébé en chair et en os ! c’est un grand bouleversement. Cet enfant va grandir et vieillir, à l’inverse de ses créateurs, dans ce drôle d’univers. Considéré comme un petit Dieu, il sera l’objet de toutes les attentions. Peu à peu il va apprendre comment la Terre, car il s’agit bien d’elle, en est arrivée à cette situation maudite. Vénéré comme une sorte de Messie par tous, il va s’imaginer responsable de leur destin ! Mais une fois devenu adulte, est-ce qu’il sera éternel lui aussi ?! quelle sera sa véritable place ? enfin et surtout, qu’y a-t-il au delà de la frontière transparente qui encercle cette cité close ?!
2,50€
La fin du deuxième conflit mondial en 1945, n’a pas signifié la disparition d'autres guerres, moins visibles. Tristement, les motifs de haine qui opposent les adultes sont souvent partagés par les enfants. Pourtant rien ne vaut la paix pour développer de fraternelles rencontres, l'amitié engendre la camaraderie et la confiance. Alors, si sur cette vieille terre du Moyen-Orient, chargée d’Histoire et revendiquée par deux peuples, la concorde peut enfin s'installer entre ceux qui n'en finissent pas de se combattre… les jeunes réapprendront à sourire des deux côtés du mur qui les sépare. Cette bande dessinée atypique est un cri d'espoir mais sans concession, sur le conflit entre Israël et la Palestine, dont les échos résonnent dans le monde entier. Un petit bout de terre vers lequel convergent tous les regards de la planète.
Guitariste dans un groupe de rock, Eddy n’a qu’une obsession: réussir dans la musique, Eldorado qui lui permettra d’en finir avec les petits boulots alimentaires et les plans galère. Répètes, concerts, travail, défonce, rendez-vous amoureux et réflexion sur l’avenir, tout un monde parfois hostile dans lequel il va devoir trouver sa place… L’angoisse…
Entre sexe, drogue et rock’n’roll, un livre comme le manifeste d’une jeunesse en quête d’absolu.
"Le Maillot rouge" est un troublant récit d'initiation amoureuse.
Sur la plage, Marianne rencontre un jeune homme. De cet événement commun va naître une relation passionnée, avec ses joies et ses douleurs. Sans fausse pudeur, l'auteur raconte sa découverte des sentiments, du désir, du plaisir, du doute et de la vie. Variation sur le thème de l'amour, "Le Maillot rouge" a le caractère universel des histoires vraies : on se reconnaît dans les rencontres, les hésitations, les bonheurs et les tristesses de l'héroïne que l'on a tous vécus.
Par l’auteur de « Tsiganes », une bd-reportage sur le plus grand rassemblement de gens du voyage.
Tous les ans, à la fin du mois de mai, les gens du voyage se retrouvent aux Saintes-Maries-de-la-Mer, pour un grand pèlerinage. KKrist Mirror s’y est rendu plusieurs fois pour saisir sur le vif ces instants. Témoignage.
« C’est l’histoire des Saintes-Maries telle que les livres d’histoire la racontent. C’est la ferveur religieuse et vitale démultipliée du peuple gitan. Ma bande dessinée, c’est aussi un petit bout de voile soulevé sur la vie souvent précaire du dernier peuple nomade européen. »