« Cette bande dessinée en noir et blanc dont l’habileté et la finesse des traits confinent au sublime font de ce Journal un livre résolument à part. » - Le Monde
« … des pages en noir et blanc, aux traits fins et impeccables, sublimes, cocasses et tourmentés. » - Libération
« Le Journal que vient de publier ce jeune dessinateur de bande dessinée a la magique capacité de transformer le lecteur en une sorte de philosophe en lévitation… » - Beaux-Arts
« C’est une œuvre totale, capable d’aborder de front quelques uns de nos tabous modernes : consommation sexuelle, asservissement social, aliénation familiale. Fabrice Neaud mérite d’être lu comme un romancier majeur. Puisse cet article vous en convaincre. » - Technikart
« C’est dans le balancement, du gouffre à la beauté, du paradoxe à l’apaisement, que se trouve le cœur battant du Journal - cœur qui est aussi, peut-être, celui de notre époque. » - Bodoï
« Bouleversant. » - Les Inrockuptibles
Prix Alph-Art coup de coeur à Angoulême en 1997
« Cette bande dessinée en noir et blanc dont l’habileté et la finesse des traits confinent au sublime font de ce Journal un livre résolument à part. » - Le Monde
« … des pages en noir et blanc, aux traits fins et impeccables, sublimes, cocasses et tourmentés. » - Libération
« Le Journal que vient de publier ce jeune dessinateur de bande dessinée a la magique capacité de transformer le lecteur en une sorte de philosophe en lévitation… » - Beaux-Arts
« C’est une œuvre totale, capable d’aborder de front quelques uns de nos tabous modernes : consommation sexuelle, asservissement social, aliénation familiale. Fabrice Neaud mérite d’être lu comme un romancier majeur. Puisse cet article vous en convaincre. » - Technikart
« C’est dans le balancement, du gouffre à la beauté, du paradoxe à l’apaisement, que se trouve le cœur battant du Journal - cœur qui est aussi, peut-être, celui de notre époque. » - Bodoï
« Bouleversant. » - Les Inrockuptibles
A l’occasion de ses dix ans, Ego comme X a coédité avec la Maison des Auteurs d’Angoulême un ouvrage hors commerce désormais disponible en téléchargement. Seules les 20 premières planches sont feuilletables sur digiBiDi.
Xavier Mussat et Fabrice Neaud, auteurs historiques d’Ego comme X, et résidents de la Maison des Auteurs durant plusieurs années, évoquent leur occupation de ces lieux lors de l’arrivée d’un nouveau résident, Philippe Squarzoni, auteur de Garduno (éditions les Requins Marteaux).
C’est l’occasion pour eux de se livrer à diverses réflexions sur la politique locale qui a conduit la ville d’Angoulême à créer la Maison des Auteurs, et d’évoquer le statut d’artiste dans la société contemporaine.
A voir sur ce site : discussion filmée entre Fabrice Neaud et Philippe Squarzoni durant le festival bd engagée de Cholet en 2008.
The 32 pages of Émile were drawn in 1999, at the time of the publication of the third volume of his ’Journal’ (of which he makes a passing mention in the story). Events were drawn as they occurred and consequently there is much less detachment than in the volumes of his ’Journal’ ; but the lucidity of the author remains intact and just as impressive as ever.
The purity of the art and page composition of Fabrice Neaud is totally realized in this story. The solitude in these pages is nearly total ; there is little human warmth, even in his encounters with others : a great emptiness echoes throughout. The author is doubtful of the virtues of “sublimation” that are generally attributed to works of art. He draws the trees and familiar paths of his everyday strolls ; scenery roughed up by the famous storm of 1999, which occurs in the course of the account.
Since the third volume of his Journal, we’ve become acquainted with Fabrice Neaud’s talent for constructing books of an impressive structure that give meaning to the slightest moments of a life. By its concision, this account finds another astonishing path for making the voice of its author heard. So unique and moving, Émile is a truly beautiful achievement.
Translation by Travis Lealand, with the help of the collaborative comics translation website comixinflux.
Thanks to them !
Ce coffret contient :
▪ JOURNAL (1) suivi de JOURNAL (2) (réédition en un seul volume)
▪ JOURNAL (3) édition augmentée (2010)
▪ JOURNAL (4) (réédition 2011)
« L’expérience graphique et intellectuelle que conduit Fabrice Neaud en réalisant une autobiographie dessinée est l’une des réflexions les plus originales du moment sur la valeur et la signification de l’image dans notre société. Le troisième volume du Journal que vient de publier ce jeune dessinateur de bande dessinée a la magique capacité de transformer le lecteur en une sorte de philosophe en lévitation, qui regarderait le monde d’un peu plus haut pour y voir d’un peu plus près. Construite comme un « roman philosophique » et d’une formidable inventivité graphique, cette autobiographie échappe à la tentation du voyeurisme et du « moi je ». Et pourtant, ce Journal (3) est obscène dans le sens littéral du terme puisqu’il met sur la scène, devant le lecteur, ce que l’on n’y met jamais, c’est-à-dire la vie privée de l’auteur dans ses moindres détails mais aussi et surtout celle encore plus privée de son environnement et de ses amis. (…) Encore une fois le travail de Neaud montre que l’art est vraisemblablement le seul territoire de liberté de pensée et d’action face à une société où l’on consomme des images que l’on ne choisit pas. »
Fabrice Bousteau - Beaux Arts Magazine
Réédition en un seul volume des deux premiers tomes du JOURNAL, augmentée d’une postface de l’auteur.
Prix Alph-Art coup de coeur à Angoulême en 1997 pour le tome 1
« Cette bande dessinée en noir et blanc dont l’habileté et la finesse des traits confinent au sublime font de ce Journal un livre résolument à part. » - Le Monde
« … des pages en noir et blanc, aux traits fins et impeccables, sublimes, cocasses et tourmentés. » - Libération
« Le Journal que vient de publier ce jeune dessinateur de bande dessinée a la magique capacité de transformer le lecteur en une sorte de philosophe en lévitation… » - Beaux-Arts
"C’est une œuvre totale, capable d’aborder de front quelques uns de nos tabous modernes : consommation sexuelle, asservissement social, aliénation familiale. Fabrice Neaud mérite d’être lu comme un romancier majeur. Puisse cet article vous en convaincre." - Technikart
"C’est dans le balancement, du gouffre à la beauté, du paradoxe à l’apaisement, que se trouve le cœur battant du Journal - cœur qui est aussi, peut-être, celui de notre époque." - Bodoï
"Bouleversant. " - Les Inrockuptibles
N.B : après sa publication originale par Ego comme X,
Journal (1) a donné lieu à des traductions en italien et en espagnol.
▪ Préface inédite de l’auteur pour cette nouvelle édition
▪ Conférence filmée de Fabrice Neaud aux Beaux-Arts de Lyon (2009)
▪ Longue interview de Fabrice Neaud par Vincent Henry
9,99€
L’anthologie de bande dessinée érotique gay est de retour avec 200 pages d’histoires inédites !
De Gengoroh Tagame à Patrick Fillion, des artistes du monde entier présentent leur vision de l’érotisme gay dans cette anthologie où tous les styles, tous les fantasmes sont représentés. Dans la police tokyoïte, un bleu et un vétéran amnésique nouent des liens interdits…
Un jeune homme profite du retour des beaux jours pour draguer les joggeurs dans un jardin public…
Un chasseur de démons voit son destin basculer lorsqu’il rencontre un esprit pervers…
Un éboueur taiseux vit une passion secrète avec un partenaire soumis à sa virilité… Vous lirez ces histoires, et bien d’autres encore, dans les pages de ce volume inédit !
Au sommaire :
Cet ouvrage est dirigé et préfacé par Nicolas Wanstok, de la mythique librairie gay Les Mots à la bouche.
Pâques 1353 - Les fidèles de Lirey, un petit village champenois, vénèrent pour la première fois ce qui va devenir la relique la plus célèbre et la plus controversée de la Chrétienté : le Saint Suaire, linceul qui aurait enveloppé le corps du Christ à la descente de la croix. Luc, un jeune sculpteur, se trouve à Lirey en cette période pascale pour y finir une oeuvre commanditée par le seigneur de Charny, un chevalier respecté et influent qui vient de financer la nouvelle église collégiale. Il ignore encore quels sérieux ennuis va lui attirer son talent de sculpteur…
Dessin de l’introduction et de la conclusion : Fabrice Neaud
Couleurs : Denis Bajram
Sélectionné pour le Prix du Festival d'Angoulême 2011
L’humanité à l’aube du troisième millénaire.
L’activité sismique s’était soudainement accrue, réveillant le super volcan Yellowstone qui raya de la carte une grande partie du continent nord américain. Les éruptions furent suivies d’un hiver nucléaire, de l’exode des survivants vers des camps de réfugiés installés plus au sud, et d’une belle pagaille économique mondiale. Quant à l’Afrique, qui subissait depuis si longtemps la pandémie de Sida, elle ne compte quasi plus…
Anton Csymanovski est sergent de l’armée régulière européenne. Lors d’une violente émeute, en périphérie d’une grande ville à la veille d’une élection, il se retrouve coincé sous un immeuble vétuste qui s’effondre sur lui et la petite fille qu’il voulait sauver.
Simultanément, tous deux sont témoins d’un étrange flash de lumière… Dégagé peu après des décombres, miraculeusement indemne, Anton passe pour un héros au micro de médias empressés et avides de sensations.
Cependant, la sécurité intérieure confisque d’autorité la scène de sauvetage qu’une collègue d’Anton avait filmée. La petite fille, une réfugiée en situation irrégulière, disparaît aussi soudainement de l’hôpital où on la tenait en observation.
Anton fait certes partie des forces de l’ordre, mais tout le pousse à penser que cette agitation cache une étrange affaire, dans laquelle il va devoir plonger…
Couleurs : Maffre
Une série originale et "high tempo", pilotée par Fabrice Neaux.
Le soldat Anton Csymanovic, témoin gênant d’un phénomène technologique étrange lors d’une manifestation publique, est poursuivi par un mercenaire du nom de Mstislav. Pourvu de possibilités hors normes, ce dernier le téléporte à mille pieds au-dessus d’une savane africaine et… le lâche.
Tamara Savolainen, sa jeune binôme dans l’armée, se voit enrôlée de force dans les services secrets parce qu’elle a filmé ce qu’elle n’aurait jamais dû voir, lors de cette nuit d’émeutes entre manifestants et forces de l’ordre.
La médecin Emma s’attend, elle, à recevoir un blâme professionnel pour la protection « abusive » de la petite Suzy ; le subterfuge lui avait surtout permis de différer la reconduction de la jeune orpheline à la frontière européenne. La petite fille, sauvée par Anton de l’effondrement d’un immeuble lors de cette fameuse nuit, se retrouve dans un bunker, recluse dans une cellule.
Tous semblent mis sur la touche, mais ils sont plus que jamais déterminés à ne pas se laisser museler sans réagir !
Coloriste : Jérôme Maffre
Voici la seconde partie de la Suite japonaise, entamée avec Love hotel, réalisée avec la collaboration de Jirô Taniguchi et préfacé par Dominique Noguez.
« Sur un scénario joliment ficelé, Boilet et Peeters ont exactement réussi ce qui est l’ambition même de la BD réaliste : être un roman en images.
Tout ici est parfait, à commencer par l’art de Boilet. Son dessin à la fois vif et épuré, que renforce le moelleux des trames de Jirô Taniguchi qui griffe la page de noir et blanc. La mise en case est inventive et dynamique, et le réalisme des dessins laisse toujours la place à l’émotion. À l’aise dans tous les registres, il dessine un Tôkyô réaliste, mais vu à sa manière, avec un refus du cadrage touristique ou trop dramatique. Au passage, il tord le cou à quelques idées reçues sur les Japonais(es), bien aidé en cela par le scénario astucieux, tonique et drôle de Peeters.
Bref, une réussite totale, à des années lumières des poncifs qu’on nous sert trop souvent sur le pays du Soleil levant. »
Denis Sénié, La Voix du Nord
Des mêmes auteurs
▪ Coffret Love hotel / Tôkyô est mon jardin (à paraître).
▪ Love hotel.
A propos de ce livre :
▪ Conversation entre Frédéric Boilet et Jiro Taniguchi (2004)
▪ Entretien avec Frédéric Boilet (1997)
CLUMSY est l’histoire aigre-douce d’une relation amoureuse à distance qui durera une année. Une année d’allers et retours entre le Michigan où vit Jeffrey, et la Floride où habite Thérésa. Une année de retrouvailles et de séparations dans les aéroports, de coups de téléphone, de moments d’intimité, de ballades, de jeux, d’apprentissages sexuels, de malaises indicibles, de fâcheries, de réconciliations…
Par petites touches, et avec une grande sincérité, Jeffrey Brown dépeint le quotidien de Jeff et Thérésa dans un style expressif et spontané où la justesse des attitudes amplifie l’effet émotionnel et active le souvenir de nos propres histoires d’amours.
American elf est un projet titanesque qui tient davantage de la performance artistique que du journal en bande dessinée. James Kochalka est certainement le premier auteur à mener une telle tentative : englober la totalité de ce qui fait un être humain et toucher à son essence même... L'entreprise a débuté en octobre 1998 et se poursuit aujourd'hui. L'auteur produit un stripde quatre cases par jour et le diffuse contre un abonnement modique sur Internet.
De la contrainte et de l'accumulation de ces fragments quotidiens, souvent hilarants,absurdes, poétiques, parfois anecdoctiques ou encore scatologiques... naît une oeuvre puissante, singulière et totalement unique. Kochalka nous révèle par cette vision fantasmagorique un univers où les animaux, les plantes, les objets parlent et où les humains sont des elfes ou des chiens. On s'émerveille à toutes les pages de tantde grâce désinvolte et de profondeur mêlées !
American Elf fait partie de la Sélection officielle du Festival d'Angoulême 2009.
Pour son premier livre autobiographique, Pierre Druilhe a tout naturellement laissé un temps Les Requins Marteaux pour se tourner vers Ego Comme X. Enfin, de là à devenir sérieux, il y a un grand canyon qu’il n’a pas osé franchir pour autant en se rendant aux États-Unis. Car quand un auteur de bande dessinée aussi loufoque que lui, issue de la patrie de Voltaire, se rend dans celle Stan Lee, on ne peut pas s’attendre non plus à ce qu’il fasse son Kerouac... ou alors, peut-être son Bukowski (au regard de la persévérance dont il fera preuve à parcourir en tout sens les rues de Philadephie pour y trouver «the good bar») ?! Mais ce voyage sera aussi pour l’auteur l’occasion de nous éclairer de ses très fulgurantes constatations : l’américain parle étranger en disant «coin, coin», les croisements sont toujours perpendiculaires, les pots de moutarde française sont exposés dans le même musée que les tableaux de Norman Rockwel («Ce pot de moutarde de Paris est pour les États-Unis ce qu’est la grotte de Lascaux pour notre beau pays.»), les kangourous sont en acier inoxydable, les serveuses sont amoureuses de lui et il n’y a que là que les super-héros pouvaient enfiler ces seyants costumes au goût si sûr... Pour le reste, Pierre Druilhe nous prouve là, un évident talent graphique : il dessine très bien les immeubles !
LE GOÛT DU PARADIS, le premier livre de Nine Antico, pourrait se lire comme une version moderne des Mémoires d’une jeune fille rangée, transposées dans une banlieue du 93. Comment trouver sa place quand on est une gentille fille à papa, blanche de surcroît, tiraillée entre sa bonne éducation et une fascination voluptueuse pour les petits caïds de la cité ?
Il y a d’abord la petite fille qui se rêve en femme et « fait la drague contre l’arbre » de la cour d’école. Puis, vient l’adolescente qui s’ennuie ferme le dimanche en famille, préoccupée par les garçons, la boom de Soizic et les moyens pour gagner l’amitié de Nanou, la fille charismatique du lycée. C’est tout une époque, celle des années 90, qui jaillit de cette joyeuse effervescence de culture populaire et urbaine, où sont convoqués, pêle-mêle, le tiercé de Guy Lux, Hélène et les garçons, Barbie, les dimanches de Jacques Martin, Carlos et Rondo Véneziano...
Le goût du paradis fait partie de la Sélection officielle du Festival d'Angoulême 2009.
Énigmatique et minimaliste que ce titre, AEIOU, qui clôt la Trilogie des petites amies de Jeffrey Brown. Contraction de «Any Easy Intimity Of Us» (fragments de notre intimité) il évoque les voyelles d’un alphabet amoureux dont Jeff et Sophia font l’apprentissage.
Sur le même principe, de micro scènes extraites du quotidien, Jeffrey Brown construit une histoire en pointillés, alternant avec malice, humour, autodérision et désespoir, sélectionnant des moments clés ou des détails à priori dérisoires, mais qui additionnés les uns aux autres restituent, par une vibration magique, l’essence de la relation amoureuse.
Deuxième livre de Karl Stevens, après Guilty et avant Whatever, The lodger est un recueil de strips parus chaque semaine à partir de 2009 dans les pages du quotidien Boston Phoenix sous le titre générique Failure (Fiasco).
Le statut de ce livre est composite : mélange de pages de bande dessinée, d’illustrations au trait et de portraits peints, il oscille, pour ce qui est de la partie narrative du livre, entre chronique autobiographique et instantanés ironiques de la vie de Karl Stevens, qui ne cache rien de ses propres travers : exagérément porté sur les boissons alcoolisées et les joints (il rêve de pouvoir être payé à se soûler), velléitaire et inconséquent, post-adolescent irresponsable, amant largué et souvent peu glorieux…
Mais aussi travailleur acharné et esprit ironique qui tape souvent très juste sur lui-même, son milieu ou l’état actuel de son pays. Les commentaires acerbes de la chienne Cookie offrent un contrepoint bienvenu à certaines assertions tranchées de son maître Karl.
Justement réputé aux Etats-Unis pour la précision de son travail graphique, Stevens offre ici quelques unes de ses meilleures pages, minutieux enchevêtrements de traits en croisillons ou portraits en couleur, tous d’une étonnante acuité.
Au total, The lodger se comprend comme le portrait éclaté d’un diariste narquois et sans illusion.
Jean-Pierre Mercier (traducteur)
En anglais / English
Après No mas Pulpo, réédition de la suite de l’œuvre autobiographique de Joe G. Pinelli.
Enseignant aux beaux-arts de Liège, Pinelli accepte de s’embarquer pour la célèbre "foire des éleveurs de chiens d’Angoulême" (!) où il est chargé de faire affaires…
C’est le point de départ d’un périple qui s’avère plus long que prévu, car les dernières volontés d’un élève récemment suicidé soumettent notre baroudeur à un curieux jeu de piste sur les traces de la "dinde sauvage".
En chemin il rencontrera d’étonnants personnages, dont un certain Milo (celui de La voix intérieure), des femmes, et puis… une femme.
Ce récit est initialement paru en trois volumes chez PLG : Sainte Victoire (1996), Mont Ararat (1997) et La Soufrière (1999).
Un autre titre pour Mon meilleur ami pourrait être « Petits et grands désordres amoureux à l’épreuve de l’amitié ».
En effet, pour son premier livre, Gabriel Dumoulin explore, rapporte et signe - à la manière d’un Denys Arcand ou d’un Éric Rohmer - un constat particulièrement éloquent des errances relationnelles de ses contemporains. Une nouvelle carte du tendre, également, pour une génération en roue libre dans une société qui n’a pas encore envisagé de « développement durable » des nouvelles relations de couple. Ainsi, l’auteur prélève dans la vie (fouillant en une enquête méthodique dans sa propre intimité) les échantillons d’une humanité tourmentée pour bâtir un ouvrage au montage très cinématographique, servi par un dessin mêlant sensibilité et réalisme poussé. Gabriel Dumoulin y use d’une mise en scène audacieuse, composée d’une succession de courtes scénettes souvent traitées en visions subjectives, aux dialogues particulièrement incisifs et à l’humour ravageur… très à propos.
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
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Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand