La grande nouveauté du maitre de la décadence.
Quatre nouvelles aux tons variés composent ce recueil où l’on retrouve l’érotisme, l’élégance et l’humour très noir de Maruo Suehiro, ainsi que les obsessions pour le surréalisme ou l’expressionnisme allemand du maître de l’ero-guro.
Après avoir adapté à plusieurs reprises l’œuvre de Ranpo Edogawa (L’Île panorama, La Chenille, Ranpo Panorama), Maruo poursuit son exploration d’œuvres majeures de la littérature japonaise moderne, en reprenant L’Enfer en bouteille, un des récits les plus célèbres de Kyûsaku Yumeno.
Cette anthologie présente pour la première fois au public français un des plus grands noms de l’avant-garde de la bande dessinée japonaise, Maki Sasaki.
Des patchworks graphiques imprévisibles de ses débuts à ses adaptations des poètes du non-sens anglais, des impromptus absurdes pour la presse aux saynètes surréalistes qui suivent dans le magazine alternatif culte Garo, tous les mangas réunis dans cette anthologie confirment que Maki Sasaki est bien l’un des auteurs les plus audacieux et modernes que compte l’histoire de la bande dessinée japonaise.
Les mangas de Maki Sasaki sont autant un témoignage de la métamorphose d’un jeune mangaka iconoclaste qu’une chronique des immenses possibilités poétiques de la bande dessinée.
Sélection patrimoine Angoulême 2019
Accepter de vivre dans un monde rempli de contradictions mais plein de vies, voilà à quoi nous exhorte Katsumata.
De sa connaissance scientifique du nucléaire et de ses dangers, de sa visite ancienne de la centrale du Fukushima, des souvenirs d’enfance qui surgissent en lui comme autant d’esprits chimériques, amers et tendres, dans le soleil ou sous la neige, ce sont autant d’instantanés qui se dévoilent.
Les invisibles de la forêt, les exclus de la modernité, les grands perdants de la marche en avant, sont convoqués dans ce recueil d’histoires parues au Japon en 2011 mais écrites entre 1970 et 1985.
Avec une anticipation pour le moins frappante, des portraits se dressent, non sans violence, non sans humour : le tanuki côtoie l’enfant, le jeune adulte fraye avec les invisibles du nucléaire et le kappa erre, ivre mort, pour noyer ses peines.
Postface de Shô Onoda.
Poissons en eaux troubles fait partie de la sélection officielle d'Angoulême 2014.
Un petit garçon atteint de rougeole doit garder le lit tandis que sa grande sœur et son amie révisent leurs examens ; par un jour de pluie, des enfants venus d’on ne sait où viennent s’abriter dans une bibliothèque ; une jeune fille, accusée à tort par son professeur, doit nettoyer la salle de sciences naturelles…
Huit petites histoires a priori anodines sont ici réunies, décrivant avec une infinie délicatesse les émois de jeunes adolescents à l’aube de leur découverte de la sexualité.
Dans un style proche de Yoshiharu Tsuge, Kazu Yuzuki dessine des héroïnes au corps empreint d’érotisme qui rappellent aussi parfois les dessins de Kazuichi Hanawa. La plupart de ces histoires ont été réalisées dans les années 1980 — seule la dernière a été dessinée en 1995, et leurs intrigues se déroulent presque toujours l’été, évoquant la nostalgie de l’enfance et des souvenirs de vacances dans une campagne japonaise à la verdure omniprésente.
Chaque fois ou presque des éléments a priori anodins vont venir perturber le quotidien et faire basculer le lecteur dans l’irréel et le fantastique, comme s’il assistait à un étonnant mirage d’été.
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l’entreprise familiale, «Daitomé», dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c’est l’humanité et la volonté», il fait le serment de reconstruire Daitomé.
Mais son retour à la maison natale s’accompagne de l’arrivée de Ritsu, amie d’enfance devenue orpheline et qu’il embauche comme assistante, et de cinq garnements au caractère bien trempé échappés d’un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles.
Adaptation du célèbre roman de Shûgorô Yamamoto situé dans la période Edo et que Minetarô Mochizuki transpose dans le Japon d’aujourd’hui, Chiisakobé attire d’abord le regard par son dessin pop, agréable et élégant, qui nous donne envie de nous attarder sur chaque case. De même, la finesse des expressions de ces personnages au caractère complexe nous incite à nous reconnaître en eux.
D’une composition originale et rempli d’humour, l’univers de Chiisakobé charme le lecteur tout en le prenant rapidement dans son suspense : Shigeji parviendra-t-il à reconstruire Daitome ?
Comment va évoluer la relation entre Ritsu et Shigeji ?
Quel avenir attend les orphelins ?
Dans ce petit restaurant situé au fond d’une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu’on est en mesure de vous servir.
Saucisses en forme de poulpe, curry qui a reposé toute une nuit, concombres marinés dans du son de riz… Des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d’un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer…
Les habitués et clients d’un soir qui se rassemblent ici ont chacun leurs raisons, et le patron bienveillant est toujours à leur écoute, derrière son comptoir.
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel qui se distingue des jeunes auteurs d’aujourd’hui, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d’apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c’est un petit restaurant qui vous remplit le cœur et l’estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est loin de se limiter aux sushis.
Titre original : Shinya Shokudo 深夜食堂.
Traduction : Miyako Slocombe
Soldats de sable est un recueil dont la plupart des histoires se passent à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Higa nous fait découvrir de l’intérieur cette bataille d’Okinawa, des premiers signes aux conséquences, à travers différents regards, différents points de vue d’habitants, de soldats, japonais et américains, dans cette guerre où il n’y a ni bien ni mal, ni bons ni méchants, seulement un cruel sentiment d’absurdité. Les hommes se montrent tour à tour accablants de bêtise, pleins de sagesse ou encore infiniment touchants d’humanité.
Car l’œuvre de Higa a quelque chose de profondément généreux, ce que l’on ressent aussi dans son trait, simple et précis.
Soldats de sable est une œuvre qui ne laisse pas indifférent et qui est absolument essentielle pour le devoir de mémoire.
Manga adulte traduit du Japonais par Miyako Slocombe
Arrêtez-vous.
Faites une pause.
Etendez-vous sous un arbre.
Ouvrez Anjin-San.
Savourez ces 464 pages de simplicité, de sérénité, ces 23 contes de la vie ordinaire.
Il n’y a rien d’exceptionnel dans ce livre, non, il y a la douceur des traits de Hinagiku, la geisha pleine d’humour, les sentiments naissants de Kirihito, la générosité d’Anjin-San.
Il y a ces magnifiques vues sur la campagne japonaise, les saisons qui filent.
Il y a des hommes et des femmes qui s’arrêtent, qui font une pause et qui regardent la mer…
Fin 2009, le public francophone et la critique découvraient le personnage de Yoshio Hori, anti-héros et loser magnifique du Vagabond de Tokyo – Résidence Dokudami, sélectionné à Angoulême en 2010. Avec ce nouveau volume du Vagabond de Tokyo – Tender is the night, nous retrouvons pour notre plus grand plaisir le personnage loufoque de Yoshio Hori et ses éternels déboires.
Toujours avec cet humour qui exorcise le mal-être, l’auteur Takashi Fukutani, que la critique décrit aujourd’hui comme le Bukowski du manga, nous entraîne dans les bas-quartiers de Tokyo, ceux-là mêmes où il a vécu, pour, pour livrer des portraits comiques, cruels ou attachants de ceux qu’aujourd’hui encore la société japonaise ne regarde qu’avec indifférence ou mépris.
Ce nouvel opus s’attardera sur les personnages récurrents de la série comme les voisins vicelards de Yoshio. Yoshio sera lui aux prises avec des jeunes filles bien éloignées du cliché de la poupée sage du Japon traditionnel, comme cette championne de catch ou encore cette maîtresse SM qui mettra le sympathique héros dans des positions fort inconfortables. Toujours au mauvais endroit, au mauvais moment, Yoshio va goûter à la marijuana, participer à un hold-up ou encore se lier d’amitié avec un yakuza. Dans un style graphique fluide, les 14 histoires de ce volume de 400 pages se dévorent les unes après les autres. Fukutani s’amuse à y parodier les films de yakuzas et les shonen manga de l’époque, tout en posant un regard lucide et critique sur la société japonaise, à travers des héros déchus qui tentent de survivre dans un monde où ceux qui n’ont pas réussi sont exclus d’une société qui se vautre dans la consommation pour mieux se voiler la face.
Yoshio Hori, 22 ans est un véritable laissé pour compte de la bulle économique des années 80. Il alterne les jobs payés à la journée sur les chantiers de Tokyo, se nourrit de nouilles lyophilisées et claque sa paie dans les bars à hôtesses.
Il n’a d’autre choix que de vivre dans sa chambre miteuse et crasseuse de la Résidence Dokudami qui résiste comme un ultime îlot au milieu de immeubles flambants neufs de la nouvelle Tokyo.
La Maison aux insectes est un recueil de sept histoires courtes parues au Japon entre 1968 et 1973.
Dans ces récits pleins de noirceur, que l’on peut classer sans aucun doute dans la catégorie « manga d’horreur », Umezu met en scène des personnages dont le quotidien se trouve bouleversé du jour au lendemain, tandis que l’angoisse les fait peu à peu sombrer dans la folie.
L’auteur raconte ainsi l’histoire d’une femme qui, pour fuir son mari violent, se prend soudain pour un insecte ; celle d’une épouse dévouée vivant dans la terreur après avoir été surprise en train de tromper son mari ; celle d’un homme, accusé à tort du meurtre de sa femme et de sa fille, qui fait une étrange expérience à la veille de son exécution ; ou encore le parcours d’une jeune fille dont le destin bascule lorsqu’elle rencontre deux hommes sur une plage…
Nourri par une imagination débordante, Umezu livre des scénarios inspirés et inquiétants, qui surprennent le lecteur jusqu’à la dernière page, tandis que son dessin magnifique parvient à sonder les aspects les plus sombres de l’humanité. Ses planches, d’une noirceur particulière, attisent un étrange sentiment d’angoisse, et feront sans doute frissonner plus d’un lecteur.
Dans ce petit restaurant situé au fond d’une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu’on est en mesure de vous servir.
Saucisses en forme de poulpe, curry qui a reposé toute une nuit, concombres marinés dans du son de riz… Des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d’un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer… Les habitués et clients d’un soir qui se rassemblent ici ont chacun leurs raisons, et le patron bienveillant est toujours à leur écoute, derrière son comptoir.
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel qui se distingue des jeunes auteurs d’aujourd’hui, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d’apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c’est un petit restaurant qui vous remplit le cœur et l’estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est loin de se limiter aux sushis.
Titre original : Shinya Shokudo 深夜食堂.
Traduction : Miyako Slocombe
Dans ce quatrième et dernier tome de la série, les enfants et les apprentis partent pour un séjour d’une nuit dans une station thermale tandis que Shigeji et Ritsu doivent veiller sur la petite Attchan qui souffre de fièvre.
Alors que la fin de l’année approche, les personnages se révèlent, les malentendus se dissipent, pour le meilleur ou pour le pire…
Traduction : Miyako Slocombe
Sélection Angoulême 2017
Bonten Tarô, mangaka, tatoueur de génie, chanteur, a laissé derrière lui des mangas aux thèmes variés et d’une grande richesse.
Le Lézard Noir en a réuni une sélection sous le titre Sex and Fury – en référence à l’adaptation cinématographique de l’une des histoires de Bonten Tarô.
Le recueil nous transporte dans le monde interlope de la pègre – étroitement lié, au Japon, au tatouage –, où le maître Bonten joue volontiers avec les codes des séries B de yakuzas.
On découvre également de remarquables histoires de revenants, une surprenante plongée dans la Guerre du Pacifique ou encore le récit du suicide de l’écrivain Yukio Mishima, le tout accompagné des plus belles couvertures réalisées par l’auteur, ainsi que de superbes photos de tatouages.
Yeon-Sik Hong, auteur de manhwas éducatifs, et son enthousiaste compagne So-Mi quittent Séoul et tentent d’effectuer un surprenant « retour à la terre » dans ce pays en ultra-développement qu’est la Corée du Sud…
Bientôt locataires d’une maison isolée dans la montagne, avec trois chats, un chien et des poules, ils ont fort à faire pour subvenir à leurs besoins. De plus, Yeon-Sik aura bien du mal à assurer ses accaparants travaux de commandes, et parvenir à conduire le travail d’auteur, dont il rêve depuis des années…
Rudes sont les hivers et terribles certaines angoisses, mais l’équilibre reviendra bientôt par l’observation de la nature, la cueillette et le travail du potager.
Fort d’une grande variété de détails et d’un beau classicisme formel, cet attachant récit donne une certaine vision de l’auto-subsistance, de la jouissance que procure la vue de beaux paysages, et du réconfort qu’apportent les nuits au coin du poêle…
Usagi doit faire face à une horde de morts-vivants ramenée à la vie par un sortilège. Avec des centaines de zombies et un sorcier maléfique à combattre, Usagi se retrouve en fâcheuse posture. Heureusement, il reçoit l’aide du démon Sasuké...
Ce volume comporte également plusieurs histoires courtes pleines d’action, dont “La mort du seigneur Hikiji”, nominé aux Eisner Award.
6,50€
Voici la première adaptation en bande dessinée du célèbre fait historique japonais des 47 Ronins.
Au 18ème siècle, 47 samouraïs vengèrent la mort de leur maître grâce à un complot qu'ils fomentèrent dans le secret durant deux années. Après avoir réussi leur mission, ces 47 samouraïs dépourvus de maître se suicidèrent tous. Cette histoire véridique devenue une légende nationale au Japon, est imprégnée des idéaux profondément ancrés dans la culture japonaise : le sens de l'honneur, la persévérance, la loyauté le sacrifice et le bushido (code des samouraïs).
En Corée, sous la dynastie Chosun (1392-1910), vivait un homme appelé Lim Keok Jeong qui rassembla et arma tout un groupe de paysans pour combattre le despotisme des aristocrates.
Réputé pour être très fort et n’avoir peur de rien, il accéda vite au statut de héros national, de par son charisme et le combat qu’il menait.
L’adaptation de Lee Doo Ho raconte en détail sa vie, les difficultés de la condition de paysan à l’époque, le poids des traditions, mais aussi les circonstances qui l’ont amené à prendre parti contre l’aristocratie.
Durant les années d'errances de Miyamoto Usagi, une entité invisible malfaisante a suivi pas à pas notre héros.
Depuis les évènements dramatiques de Grasscutter, le démon Jei occupe l'esprit du guerrier Inazuma, avec l'intention d'en finir avec usagi. Bakuchi, humilié, incapabable de venger la mort de son fils, double la prime sur la tête d'Inazuma.
L'argent attire un grand nombre de chasseurs de primes, inconscients d'être des moineaux face à un aigle. Cette chasse à l'homme attire également Usagi, les chasseurs Gen et Chien Errant, et un mystérieux étranger nommé Isamu, chacun ayant ses propres motivations.
Cette nouvelle épopée nous révèle les origines de Jei.
Usagi devra-t-il finir par avouer à Jotaro le secret de sa parenté? Aura-t-il le cœur de ruiner la confiance et l’amour que Jotaro porte à celui qu’il croit être son père? Pourra-t-il renoncer à sa vie d’errance et d’aventures?
Mais pour l’heure, il recherche désespérément son jeune compagnon, qui a dû s’enfuir pour échapper à de barbares kidnappeurs. En chemin, ses pas l’amèneront à rencontrer une fois de plus le Bouc Solitaire et son fils, Gorogoro, en bien mauvaise posture...
ll croisera aussi de nouveau les pas de Tomoé Amé, la garde du corps du Seigneur Noriyuki, avant de retrouver son ancien Sensei et de combattre une fois de plus la ligue des Assassins...
Depuis sa première publication en 1984, le succès du lapin aux grandes oreilles n’a cessé de croître.
La série a rapporté à son auteur de nombreux prix, dont le fameux Eisner Award et est traduite dans plus de 10 langues. En Français, la série totalise plus de 100.000 ventes !
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand