Où qu'il aille, où qu'il soit, le baron vit toujours des aventures aussi trépidantes que surprenantes !
À Tikal, une des plus belles cités Mayas, au nord-est du Guatemala, Jean-Dextre, pourtant rompu à tous les traquenards et malgré son flair occitan légendaire, est aux prises avec le seau de merde... C'est une coutume de bizutage des touristes ! Une expérience humiliante, qui le perturbe terriblement, car enfin, il n'est pas un touriste !
Arrivé, le 11 septembre 2001, dans un hôtel de luxe à Antigua, le baron est perplexe quant à la gravité de l'attentat perpétré contre les tours du World Trade Center, en comparaison au résultat du match crucial de football entre le Salvador et le Guatemala ; comme quoi, tout est relatif. À Ilha, au Mozambique, il découvre comment un Breton, architecte, arrivé il y a 25 ans et jamais reparti, a provoqué la grève du sexe chez les femmes du coin. Il vit alors une expérience unique avec la volupté, non sans s'être vivement inquiété d'une possible homosexualité, non qu'il soit homophone, mais humilié de cette révélation tardive, en pleine force de l'âge...
À bord du Gitane III, un bateau de plaisance, ayant ni plus ni moins appartenu à l'ex-mari de Marlène Jobart, une certaine rouquine, vedette de cinéma dans les années 80, rien ne va. Il est vrai que l'équipage est fort disparate. Nous avons le capitaine René, particulièrement acariâtre et gueulard, qui préfère parler à la photo de Marlène Jobart plutôt qu'à sa femme Annie. Leur fils, Jack, un bellâtre, à la gueule d'acteur hollywoodien. Dédé, le frère de René, qui ne se lave plus depuis la mort de son épouse et, à n'en pas douter, ça remonte à loin... Vanille, une viticultrice. Milo, sourd et muet, très bon marin, il en faut un. Et une pimpante naufragée, recueillie à bord dès le début du voyage.
Mais cet étrange équipage, explique-t-il cependant la disparition de la pipe, du coussin et du caleçon préféré (celui avec des Popeye partout dessus) du capitaine, ainsi que celle des pâtes et des biscuits ? Est-ce une mutinerie ? Y a-t-il un traître à bord ? Un rat par exemple, qui voudrait faire le tour du monde... La Mémé de Jean-Dextre aurait-elle raison : « Le bateau, y a deux moments heureux : quand on y monte et quand on en descend ! » ?
Ah, mais combien la vie du chevalier-baron est palpitante depuis qu'il voyage !
Couleurs : Isabelle Merlet, Jean-Jacques Rouger
Babagarage, Sénégal, printemps 2008.
Le baron accompagne une association humanitaire qui vient poser trois kilomètres de canalisation pour relier le village au château d’eau de Barbarage. Le chef du village les accueille à sa manière : « Les Blancs il viennent toujours. Depuis longtemps. Comme les sauterelles. Ils font des choses parce que chez eux ils s’ennuient. Parfois des choses bien. Parfois mauvaises. Vous, vous venez construire l’eau chez nous, c’est bien. Comme ça les jeunes ils resteront ici plutôt que d’aller chez vous où ils sont maltraités… »
Le travail commence, dans la bonne humeur, même s’il faut faire avec les politiques, marabouts et autres policiers dont l’intérêt pour le projet est loin d’être humanitaire.
Cette histoire se base sur un voyage fait par Nicolas Dumontheuil (accompagné par Christophe Dabitch) en 2008 à Babagarage au Sénégal…
Commandée par le Capitaine Boulet (Voulet de son vrai nom) et le lieutenant Lemoine (Chanoine dans la réalité), la colonne part en janvier 1899 de Dakar, Sénégal, jusqu’au Tchad pour couronner la conquête de l’Empire français en Afrique. Mais les deux gradés, pressés et sans scrupules, obligent les autochtones à se battre au nom de l’Empire. Carnages et barbaries dans leur sillage. Devenus fous, Boulet et Lemoine ne répondent plus à aucune stratégie militaire, et dirigent pillages et massacres en tous genres.
Leurs « prouesses » sont soufflées à l’oreille de l’Armée française qui envoient un émissaire pour les brider tandis que Boulet coupe la communication avec l’état-major français et décide de traverser les colonies britanniques, au risque de créer un incident diplomatique. Les Anglais ne riposteront pas si Boulet parvient à les libérer de la Sarraounia, princesse rebelle et sorcière qui tourmente les populations locales autant que les sujets de la reine d’Angleterre. Sorcellerie, dysenterie et poudre de canon. Une expédition notoire où massacres et pillages ont été légion et que la mémoire militaire et patriotique a préféré oublier.
Christophe Dabitch et Nicolas Dumontheuil ont eu l’audace de redonner ses couleurs à cet épisode gommé, à l’image pourtant d’une époque. Ils bousculent avec humour les poncifs sur notre histoire coloniale et racontent, cyniques, comment les tirailleurs noirs ont dû commettre tant de crimes sur d’autres africains.
La colonne, c’est l’histoire sanglante de l’Empire et ses colonies, c’est l’histoire de délires narcissiques, de la folie des hommes, loin de l’image d’Epinal d’une armée en gloire.
L'étui contient les tomes 1 et 2.
Commandée par le Capitaine Boulet (Voulet de son vrai nom) et le lieutenant Lemoine (Chanoine dans la réalité), la colonne part en janvier 1899 de Dakar, Sénégal, jusqu’au Tchad pour couronner la conquête de l’Empire français en Afrique. Mais les deux gradés, pressés et sans scrupules, obligent les autochtones à se battre au nom de l’Empire. Carnages et barbaries dans leur sillage. Devenus fous, Boulet et Lemoine ne répondent plus à aucune stratégie militaire, et dirigent pillages et massacres en tous genres.
Leurs « prouesses » sont soufflées à l’oreille de l’Armée française qui envoient un émissaire pour les brider tandis que Boulet coupe la communication avec l’état-major français et décide de traverser les colonies britanniques, au risque de créer un incident diplomatique. Les Anglais ne riposteront pas si Boulet parvient à les libérer de la Sarraounia, princesse rebelle et sorcière qui tourmente les populations locales autant que les sujets de la reine d’Angleterre. Sorcellerie, dysenterie et poudre de canon. Une expédition notoire où massacres et pillages ont été légion et que la mémoire militaire et patriotique a préféré oublier.
Christophe Dabitch et Nicolas Dumontheuil ont eu l’audace de redonner ses couleurs à cet épisode gommé, à l’image pourtant d’une époque. Ils bousculent avec humour les poncifs sur notre histoire coloniale et racontent, cyniques, comment les tirailleurs noirs ont dû commettre tant de crimes sur d’autres africains.
La colonne, c’est l’histoire sanglante de l’Empire et ses colonies, c’est l’histoire de délires narcissiques, de la folie des hommes, loin de l’image d’Epinal d’une armée en gloire.
Après s’être illustrés quelques années plus tôt, par les campagnes en pays Mossi (actuel Burkina Fasso), le capitaine Boulet et le lieutenant Lemoine végètent à Paris, partageant leur temps entre débauche, nostalgie et conférences. Dans un contexte de concurrence européenne sur les régions à coloniser (notamment l’Angleterre et l’Allemagne), l’état français compte sur eux pour parachever la conquête de l’empire français d’Afrique.
Les deux hommes sont envoyés en mission stratégique au Tchad, l'objectif étant d'atteindre le Tchad par l’ouest et le fleuve Niger et d’opérer la jonction de leur colonne sur le lac Tchad avec deux autres missions. Ils forment une colonne de 50 tirailleurs sénégalais, 200 tirailleurs auxiliaires et 700 porteurs. La colonne se met en route en janvier 1899. Le capitaine Boulet et son adjoint Lemoine sont bien décidés à parer au plus pressé quitte à se servir sur place auprès des populations locales afin de nourrir leur colonne et augmenter le nombre de leurs porteurs.
Ainsi, la violence et les massacres se succèdent au fur et à mesure que leur mission avance.
Inspirée de faits réels (la mission Voulet-Chanoine), cette histoire peu connue est racontée sur un ton tragicomique par un tirailleur survivant qui dialogue avec l’ « esprit » de la colonne…
Ned et Zed sont deux tueurs professionnels du Middle West.
Zed adore compter, tout compter. Le nombre de balles tirées, de fois où il a été victime du mal de mer, ou plus sympathique, le temps passé pour arriver à l’orgasme…
Son copain Ned est pire. Il a des problèmes existentiels (et sexuels). Résultat des courses, il n’a plus envie de tuer.
Sa vie retrouve un sens quand il décroche un vieillard pendu à un arbre. Et Zed, qui n’a jamais connu son paternel, décide d’en faire son père adoptif.
Malgré tout, il leur ne sera pas toujours facile de suivre cet « old timer », victime de la terrible malédiction du braquemart…
Le destin des deux tueurs bascule le jour où ils rencontrent, dans un boxon, Magic Child, une Indienne (mais est-ce vraiment une Indienne ?) qui les engage pour retrouver Miss Hawkline, sa sœur disparue.
Arrivés dans la propriété des Hawkline, Ned et Zed découvrent les autres membres de la famille, le père et aussi un monstre étrange, émanation d’une légende locale, « Saswatch »…
Couleurs : Isabelle Merlet
On avait laissé nos deux tueurs professionnels - enfin, professionnels, c’est tout de même vite dit - empêtrés dans un tas de questions existentielles : Ned pourra-t-il continuer à ne pas tuer ? Zeb est-il bien un nègre normal, avec son tic ? Et les femmes : ont-elles une âme ? On retrouve Ned et Zed accompagnant toujours Magic Child à la recherche de sa sœur, en escort-boys sans peur et sans reproches (ou si peu).
Leur chemin s’avère initiatique, et mystique, tant il est hanté par la présence du Bigfoot, et par les cauchemars de Ned.
Reprenant à son compte l’écriture de Brautigan par petites scénettes, Nicolas Dumontheuil nous fera découvrir une étonnante tribu indienne qui a su adapter les traditions ancestrales aux valeurs libérales contemporaines. Et il nous permettra aussi de découvrir quelles sont les conséquences à donner le droit de votes aux femmes.
D'après l'oeuvre de Richard Brautigan
Couleurs : Isabelle Merlet
À l’issue du tome 2, la situation était des plus mouvementées : Ned a découvert que sa mère était indienne, et furieux, s’est mis à dégommer toute la bande de Sheep-Buggy. Maintenant, il délire, se sent devenu un vrai indien et a disparu Dieu sait où, certainement à la recherche de sa mère.
Zeb va en taule, lui aussi, après avoir massacré une bande de cow-boys qui l’ont traités de négro. « Chez moi, en Louisiane, on dansait aux enterrements ! Et aux naissances on pleurait ! C’est parce qu’on descend des esclaves ! Pour le nègre, la mort est une délivrance, et la vie un fardeau !! » Le shérif en fait son allié, car il veut retrouver les sœurs Hawkline, Holly Dolly et Magic Child, accusées des pires maux, recherchées pour les crimes du Bigfoot. D’ailleurs savent-elles réellement qui elles sont vraiment ?
Avec Bigfoot, l’âme délirante de Nicolas Dumontheuil rejoint celle tout aussi biscornue de Richard Brautigan. En courts chapitres, le livre et la bande dessinée narrent un western à la folie douce. Il faut dire que le trait nerveux de Dumontheuil ne semble pas avoir de limites. Cet artiste sait tout dessiner, le sérieux comme la fantaisie.
Reprenant à son compte l’écriture de Brautigan par petites scénettes, Nicolas Dumontheuil nous fera découvrir une étonnante tribu indienne qui a su adapter les traditions ancestrales aux valeurs libérales contemporaines. Et il nous permettra aussi de découvrir quelles sont les conséquences à donner le droit de votes aux femmes.
Couleurs : Isabelle Merlet
Un jour naquit dans l’héroïque bourgade de Cadillac sur Garonne, le baron Jean-Dextre Pandar de Cadillac. Qui est-il ? De la limousine, il a le coffre, le brillant, la reprise et la suspension. L’endurance aussi. Du nom illustre, il a toutes les valeurs poivrées de la Gascogne !
Pour ce premier titre, nous le retrouvons au Mali. Avec ses certitudes, et son envie de bien faire. Surtout ne pas passer pour un néo-colon. Le problème étant qu’à trop vouloir bien faire, on accumule les maladresses.
Couleurs : Isabelle Merlet
Le pauvre Baron est dans une bien triste situation : au cours d’un envoûtement intempestif au Bénin, l’étourdi s’est fait voler son sexe. Notre héros est bougon : depuis le début de son séjour au Bénin, on l’a pris pour une femme (à cause de son catogan !), il doit supporter le fantôme de sa grand-mère qui n’arrête pas de lui donner des conseils… et voilà qu’on lui vole son sexe ! Miss Hopkins, une Anglaise à l’accent ridicule et aux fesses plates qui prépare un mémoire sur les envoûtements lui propose son aide et l’entraîne à sa suite faire la tournée des grands sorciers pour essayer de le guérir… les galères commencent alors véritablement…
Couleurs : Isabelle Merlet
« Je ne suis pas un grand lecteur de Conrad. J’ai été curieux de lire Cœur des ténèbres car Sylvain Venayre y fait référence dans un de ses ouvrages. Cœur des ténèbres est un bouquin réussi même s’il n’est pas très aimable — au sens premier — à lire. De plus, il faut aller au-delà de l’histoire de la remontée du fleuve ; il faut lire entre les lignes, car c’est là que réside l’intérêt du texte.
Le malaise ressenti à sa lecture est l’expression même de la dichotomie qui existe entre les théories, les discours intellectuels de bon aloi et la réalité du terrain, des faits vécus. De façon sous-jacente, ce sont ces questions que Conrad pose dans son récit, même s’il n’y répond pas. Mes illustrations sont là pour les mettre en évidence. »
Jean-Philippe Stassen
«L’action se passe au Congo, à l’époque où Conrad lui-même y fut, et raconte le récit d’une navigation sur le fleuve. Mais, et surtout, il y parle de la fin des grandes explorations et de l’avènement de la gestion capitaliste dans les colonies. L’Afrique désormais est presque toute entière connue. Il n’y a plus, ou presque, de blanc sur les cartes — de ces blancs qui faisaient rêver Conrad étant petit. Les taches blanches sont maintenant remplacées par des taches rouges, bleues, oranges ou vertes qui représentent les divers Empires coloniaux.
Il parle de la distance entre l’idée colonialiste fondée sur le progrès et la réalité de la domination coloniale au Congo.
Cœur des ténèbres parlait aux Européens de 1898, de ce qu’était le Congo, et de ce qu’ils croyaient que c’était. De cette double réalité, Conrad a tiré une aventure de portée bien plus générale, peut-être universelle, d’une portée qui est, en tout cas, aujourd’hui encore, d’une immense valeur.»
Sylvain Venayre
De passage en Grèce, à Salonique (alors sous domination turque), Loti, jeune et sémillant lieutenant de la marine anglaise aperçoit, derrière les barreaux d'une fenêtre de harem, le visage d'Aziyadé, belle et jeune odalisque aux yeux verts. Dès lors, il ne vit plus que pour elle. « Aziyadé est âgée de dix-huit ou dix-neuf ans, elle est capable de prendre des résolutions extrêmes et de les suivre coûte que coûte, jusqu’à la mort… »
Leur liaison amoureuse, née au milieu des parfums et des mystères de l'Orient, culminera à Stamboul (quartier de Constantinople) dans le déchirement et le sacrifice.
Loti quitte par amour la marine anglaise et entre au service de la Turquie le 10 mai 1876. Il est tué dans les murs de Kars le 27 octobre 1877…
Le récit se déroule sur une toile de fond historique oubliée : la crise des Balkans, la guerre turco-russe. (En 1878, le traité de San Stefano obligera l’empire Turc à se retirer de ses possessions occidentales.)
Gascogne, aux alentours de 1665.
En 1661, à la mort de Mazarin, le roi Louis XIV règne seul sur la France. Le Roi Soleil se soucie peu de son peuple. La famine mais aussi les épidémies s’abattent sur l’hexagone un an plus tard. Dans ce contexte de misère, Colbert impose la gabelle, le terrible impôt sur le sel…
En Gascogne, c’est le gouverneur Pellot, un bourgeois arrogant qui charge d’anciens soldats, des pillards, de récolter la gabelle. Mais la jacquerie s’organise. Les paysans, qui font la guerre aux gabelous, sont surnommés les Invisibles. À leur tête, le très insaisissable Bernard d’Audijos. Ils sont rejoints par des bourgeois et même des soldats qui refusent cet impôt inique. La popularité de Bernard d’Audijos grandit alors que l’armée est envoyée pour mater la rebellion…
Nous sommes dans un royaume moyen-âgeux où le roi fait régner l’ordre d’une main de fer.
Les exécutions sont légions et se déroulent en place publique. Benoit, jeune garçon de 13 ans qui vit avec sa mère, est fasciné par le bourreau chargé de les exécuter.
Las, sa curiosité va entraîner la condamnation de sa propre mère et décider de son exil…
Miné par cette tragédie, Benoit ne souhaite plus que combattre et vivre sur les champs de bataille, l’épée à la main. Il se met au service de soldats mercenaires et commence alors pour lui, une vie d’errance, de combats et de rapines qui vont le transformer à tout jamais…
À l’issue de la première guerre mondiale, l’Italie avait bien reçu un certain nombre de territoires, mais on lui avait refusé la Dalmatie et le port de Fiume que les alliés avaient donné à la Yougoslavie. Les habitants de Fiume, en majorité Italiens, demandèrent leur rattachement à leur pays d’origine. Le 12 septembre 1919, Gabriele d’Annunzio, un aventurier, héros de guerre, poète, dadaïste, prend la ville à la tête d’une colonne d’anciens soldats, d’anciens arditi, de déserteurs avec l’idée de l’offrir à l’Italie. Face au refus de ce pays, d’Annunzio déclare Fiume, république indépendante.
À la fin du premier tome de Par les chemins noirs, on avait laissé Lauriano le secrétaire du secrétaire de Gabriele d’Annunzio et écrivain à ses heures perdues, et la belle chanteuse Mina Linda faisant l’amour sous les toits, alors que dans les rues de Fiume, tout ce que la ville compte d’hommes costauds se lançait une fois encore dans une bagarre générale…
Le tome 2 enchaîne au petit matin suivant. Lauriano encore sous le charme de sa nuit, fait connaissance d’un marchand de journaux du temps passé, d’avant la guerre de 1914, quand la vie semblait belle.
Mais le bonheur est de courte durée. Lauriano se lance à la poursuite d’un fantôme, Leone. Des fascistes tentent alors de l’assassiner.
Couleurs : Hubert
Un huis-clos étouffant… en une seule nuit, la vie de quatre hommes va basculer, le temps d’une partie de cartes.
Nous sommes en 1898, au Palace hôtel, en plein cœur du Nebraska. L’Amérique sauvage continue de se construire. Quatre hommes, descendus d’un train, s’y croisent, s’y jaugent. Il y a Svante Jønasson, le Suédois, un père Irlandais et son fils et un inévitable cow-boy. Dehors, la tempête de neige bat son plein. Impossible de quitter les lieux, d’autant qu’on a déjà vu des tempêtes durer plus de 17 jours. Alors commence une partie de cartes. Mais ce qui devrait être qu’un simple passe-temps se transforme en confrontation. Chacun semble jouer ici son avenir…
Maraki Zatu est une gamine, une gosse de riche, qui vient de perdre son père adoré. Elle devient l’héritière du clan. Au cours d’une chasse organisée par ses trois voisins, des êtres peureux, lâches et vils, vassaux de son défunt père, son destin bascule définitivement. Ishi, Ni, San tuent un molosse qu’ils croient errant. Son aristocrate de maître les provoque en duel pour réparer leur acte. Bien incapables d’un tel acte de bravoure, ils préfèrent le fusiller. Témoin de la scène, Maraki s’enfuie à cheval, coupant court par le lac gelé, mais les glaces cèdent. Toujours aussi courageux, et chacun entrevoyant un intérêt personnel à ce dramatique accident, les trois amis décident de laisser Maraki se noyer. Sa fille disparue, Kajin, la mère n’ayant plus de protecteur est obligée de céder à ses injonctions pressantes et de se remarier avec Ishi. En ami (loyal pour une fois), celui-ci donne la fortune du défunt mari de Kajin à Ni, qui a le don des affaires pour la faire fructifier ; et à San, son statut de général, qui fera de lui le plus valeureux guerrier du pays. Tout va bien donc.
Mais voilà, Maraki n’est pas morte !
Elle a été sauvée et recueillie par un vieillard ivrogne et détestable. Ancien Shinobi, il lui enseignera l’art de la guerre, en échange de quoi elle le servira en tout, jusqu’au jour « où décrépit, impotent, douloureux, pourri, puant, il lui donnera l’ordre de le tuer ». Et alors, pour la pauvre Maraki qui accepte cette offre qui lui permettra d’assouvir sa soif de vengeance, « aux jours sombres, succèdent les nuits d’enfer : plus vite ! Plus fin ! Plus fort ! Plus haut !... » Des années plus tard, devenue ninja, elle retourne en ville… Pourtant, grâce à l’enseignement du vieux Ukifune, elle est maintenant « à même d’oublier sa haine, sa soif de justice, l’amour de sa mère et toutes les ombres du passé », mais pas cette promesse faite là-bas, au lac de Chambara, à un molosse surgit de nulle part…
Michel Garandeau est ouvrier aux chantiers navals. Pendant une pause déjeuner, il entend à la radio que de jeunes Européens, dont un Français, ont été enlevés par les FARC. La nouvelle le pétrifie. Son fils de 23 ans, Étienne, est en effet parti depuis plusieurs mois en Amérique du Sud. Le salaire de cinq étés de travail, lui a été nécessaire pour s’offrir cette année sabbatique, qui clôt cinq ans d’études avant de se lancer dans la vie active.
De retour chez lui, Marie, l’épouse de Michel, lui annonce que le ministère des Affaires Étrangères a appelé, et elle confirme ainsi ce qu’il redoutait. Les FARCS nient l’enlèvement, les autorités tant françaises que colombiennes ont tellement l’air de patauger que Michel, n’ayant confiance en personne, décide de se rendre lui-même sur place, sur le site précolombien de Cindat Perdida, au cœur de la Sierra Nevada. Marie ne pourra pas l’en dissuader. Lui qui ne parle pas espagnol, n’a même jamais pris l’avion, se retrouve dans une drôle d’aventure où rien ne correspond à ce qu’il connaît. Il tient un carnet de bord pour sa femme. Il y figure ses rencontres, Ruth une jeune Suisse qui guide ses premiers pas en terre inconnue ; Martin le Québécois qui a passé deux mois en compagnie d’Étienne… C’est un journal qui retrace aussi l’évolution de ses sentiments à l’égard de son fils. Colère, révolte, incompréhension, perplexité, culpabilité, respect, autant d’émotions exacerbées par la rupture d’avec son quotidien, son éloignement, sa solitude de voyageur et la situation hors norme à laquelle il est confronté.
Le Dernier voyage d’Alexandre de Humboldt met en scène l’un des plus grands naturalistes du 19e siècle. De manière jubilatoire, Étienne Le Roux et Vincent Froissard renouent avec les grands récits d’exploration du temps où la terre recelait encore des espaces inexplorés.
Nous sommes le 22 décembre 1847. Alexandre de Humboldt, célèbre naturaliste à la retraite, doit se rendre au repas annuel de l’Académie des sciences, lorsque une jeune fille se présente à lui avec le carnet du dernier voyage de son défunt père, Aymé Bonplant, disparu dans la jungle amazonienne. À la lecture de ce carnet, Humboldt décide de partir immédiatement de l’autre côté de l’Atlantique sur les traces de celui qui fut un confrère estimé mais surtout un ami. Ce départ précipité fait sensation à l’Académie. Pourquoi le vieil homme, qui n’est plus parti en expédition depuis si longtemps, a-t-il tout laissé pour, une nouvelle fois, explorer le monde ? Son grand rival à l’Académie, subodorant une découverte sensationnelle, part à sa suite…
29 octobre 1628, le Batavia quitte le port d’Amsterdam. À son bord, 341 personnes, dont 38 femmes et enfants: des marins, des artisans, des soldats, des officiers et quelques passagers qui voyageront sur le Château arrière, le lieu de l’élite du navire. Le navire appartient à la toute-puissante Compagnie hollandaise des Indes orientales, la VOC. Il doit rejoindre Java pour y charger les épices qui font la richesse des actionnaires de la Compagnie.
Amsterdam est alors le plus grand entrepôt d’Europe ; la Hollande vit un âge d’or de prospérité et de liberté. On dit Amsterdam tolérante, les esprits libres et les opprimés viennent de toute l’Europe s’y réfugier.
« Paradoxalement, en partant au 17° Siècle, j’ai retrouvé des questions économiques et politiques qui m’intéressent. » explique Christophe Dabitch « Le récit intervient dans un contexte où Amsterdam invente la bourse et donc une forme du capitalisme, un grand cycle dans lequel nous sommes toujours. La Compagnie des Indes est l’une des Compagnies commerciales les plus puissantes de l’histoire. En faisant le grand écart, je me suis demandé quels liens pouvaient exister entre cette Histoire et l’histoire meurtrière de Jeronimus. »
Parmi les hommes présents sur le Batavia, Pelsaert, Commandeur responsable des affaires commerciales, vrai patron du navire, même s’il n’est pas marin, le capitaine Ariaen, responsable du bateau mais sous les ordres de Pelsaert et Jeronimus Cornelisz, un apothicaire de Haarlem, qui fuit la terre des hommes, incapable de se remettre de la mort par la syphilis de son bébé, et de la suspicion sur sa femme que cela a engendrée.
Au cœur de ce monde d’hommes, Lucretia. Après plusieurs mois en mer, elle devient l’objet de conquêtes, discrètes de la part de Jéronimus, plus directe de la part du commandeur et du capitaine.
Mais le Batavia n’arrivera jamais à Java. Le nom de ce navire deviendra le synonyme d’une terrible expérimentation sur des îles perdues au large de l’Australie. Une expérience humaine menée par Jeronimus Cornelisz, que rien ne semblait prédestiner à jouer ce rôle.
« Le personnage principal se nomme Jeronimus et, au vu de l’histoire, on le présente généralement comme un psychopathe et un hérétique pour expliquer son parcours. Ce qui n’est pas faux. Mais c’est un homme que rien, a priori, ne prédisposait à devenir ce qu’il est devenu à l’occasion de ce naufrage. C’est une histoire très connue en Hollande ou en Australie mais très peu en France. »
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand