Le pauvre Baron est dans une bien triste situation : au cours d’un envoûtement intempestif au Bénin, l’étourdi s’est fait voler son sexe. Notre héros est bougon : depuis le début de son séjour au Bénin, on l’a pris pour une femme (à cause de son catogan !), il doit supporter le fantôme de sa grand-mère qui n’arrête pas de lui donner des conseils… et voilà qu’on lui vole son sexe ! Miss Hopkins, une Anglaise à l’accent ridicule et aux fesses plates qui prépare un mémoire sur les envoûtements lui propose son aide et l’entraîne à sa suite faire la tournée des grands sorciers pour essayer de le guérir… les galères commencent alors véritablement…
Couleurs : Isabelle Merlet
Où qu'il aille, où qu'il soit, le baron vit toujours des aventures aussi trépidantes que surprenantes !
À Tikal, une des plus belles cités Mayas, au nord-est du Guatemala, Jean-Dextre, pourtant rompu à tous les traquenards et malgré son flair occitan légendaire, est aux prises avec le seau de merde... C'est une coutume de bizutage des touristes ! Une expérience humiliante, qui le perturbe terriblement, car enfin, il n'est pas un touriste !
Arrivé, le 11 septembre 2001, dans un hôtel de luxe à Antigua, le baron est perplexe quant à la gravité de l'attentat perpétré contre les tours du World Trade Center, en comparaison au résultat du match crucial de football entre le Salvador et le Guatemala ; comme quoi, tout est relatif. À Ilha, au Mozambique, il découvre comment un Breton, architecte, arrivé il y a 25 ans et jamais reparti, a provoqué la grève du sexe chez les femmes du coin. Il vit alors une expérience unique avec la volupté, non sans s'être vivement inquiété d'une possible homosexualité, non qu'il soit homophone, mais humilié de cette révélation tardive, en pleine force de l'âge...
À bord du Gitane III, un bateau de plaisance, ayant ni plus ni moins appartenu à l'ex-mari de Marlène Jobart, une certaine rouquine, vedette de cinéma dans les années 80, rien ne va. Il est vrai que l'équipage est fort disparate. Nous avons le capitaine René, particulièrement acariâtre et gueulard, qui préfère parler à la photo de Marlène Jobart plutôt qu'à sa femme Annie. Leur fils, Jack, un bellâtre, à la gueule d'acteur hollywoodien. Dédé, le frère de René, qui ne se lave plus depuis la mort de son épouse et, à n'en pas douter, ça remonte à loin... Vanille, une viticultrice. Milo, sourd et muet, très bon marin, il en faut un. Et une pimpante naufragée, recueillie à bord dès le début du voyage.
Mais cet étrange équipage, explique-t-il cependant la disparition de la pipe, du coussin et du caleçon préféré (celui avec des Popeye partout dessus) du capitaine, ainsi que celle des pâtes et des biscuits ? Est-ce une mutinerie ? Y a-t-il un traître à bord ? Un rat par exemple, qui voudrait faire le tour du monde... La Mémé de Jean-Dextre aurait-elle raison : « Le bateau, y a deux moments heureux : quand on y monte et quand on en descend ! » ?
Ah, mais combien la vie du chevalier-baron est palpitante depuis qu'il voyage !
Couleurs : Isabelle Merlet, Jean-Jacques Rouger
Babagarage, Sénégal, printemps 2008.
Le baron accompagne une association humanitaire qui vient poser trois kilomètres de canalisation pour relier le village au château d’eau de Barbarage. Le chef du village les accueille à sa manière : « Les Blancs il viennent toujours. Depuis longtemps. Comme les sauterelles. Ils font des choses parce que chez eux ils s’ennuient. Parfois des choses bien. Parfois mauvaises. Vous, vous venez construire l’eau chez nous, c’est bien. Comme ça les jeunes ils resteront ici plutôt que d’aller chez vous où ils sont maltraités… »
Le travail commence, dans la bonne humeur, même s’il faut faire avec les politiques, marabouts et autres policiers dont l’intérêt pour le projet est loin d’être humanitaire.
Cette histoire se base sur un voyage fait par Nicolas Dumontheuil (accompagné par Christophe Dabitch) en 2008 à Babagarage au Sénégal…
Après s’être illustrés quelques années plus tôt, par les campagnes en pays Mossi (actuel Burkina Fasso), le capitaine Boulet et le lieutenant Lemoine végètent à Paris, partageant leur temps entre débauche, nostalgie et conférences. Dans un contexte de concurrence européenne sur les régions à coloniser (notamment l’Angleterre et l’Allemagne), l’état français compte sur eux pour parachever la conquête de l’empire français d’Afrique.
Les deux hommes sont envoyés en mission stratégique au Tchad, l'objectif étant d'atteindre le Tchad par l’ouest et le fleuve Niger et d’opérer la jonction de leur colonne sur le lac Tchad avec deux autres missions. Ils forment une colonne de 50 tirailleurs sénégalais, 200 tirailleurs auxiliaires et 700 porteurs. La colonne se met en route en janvier 1899. Le capitaine Boulet et son adjoint Lemoine sont bien décidés à parer au plus pressé quitte à se servir sur place auprès des populations locales afin de nourrir leur colonne et augmenter le nombre de leurs porteurs.
Ainsi, la violence et les massacres se succèdent au fur et à mesure que leur mission avance.
Inspirée de faits réels (la mission Voulet-Chanoine), cette histoire peu connue est racontée sur un ton tragicomique par un tirailleur survivant qui dialogue avec l’ « esprit » de la colonne…
Commandée par le Capitaine Boulet (Voulet de son vrai nom) et le lieutenant Lemoine (Chanoine dans la réalité), la colonne part en janvier 1899 de Dakar, Sénégal, jusqu’au Tchad pour couronner la conquête de l’Empire français en Afrique. Mais les deux gradés, pressés et sans scrupules, obligent les autochtones à se battre au nom de l’Empire. Carnages et barbaries dans leur sillage. Devenus fous, Boulet et Lemoine ne répondent plus à aucune stratégie militaire, et dirigent pillages et massacres en tous genres.
Leurs « prouesses » sont soufflées à l’oreille de l’Armée française qui envoient un émissaire pour les brider tandis que Boulet coupe la communication avec l’état-major français et décide de traverser les colonies britanniques, au risque de créer un incident diplomatique. Les Anglais ne riposteront pas si Boulet parvient à les libérer de la Sarraounia, princesse rebelle et sorcière qui tourmente les populations locales autant que les sujets de la reine d’Angleterre. Sorcellerie, dysenterie et poudre de canon. Une expédition notoire où massacres et pillages ont été légion et que la mémoire militaire et patriotique a préféré oublier.
Christophe Dabitch et Nicolas Dumontheuil ont eu l’audace de redonner ses couleurs à cet épisode gommé, à l’image pourtant d’une époque. Ils bousculent avec humour les poncifs sur notre histoire coloniale et racontent, cyniques, comment les tirailleurs noirs ont dû commettre tant de crimes sur d’autres africains.
La colonne, c’est l’histoire sanglante de l’Empire et ses colonies, c’est l’histoire de délires narcissiques, de la folie des hommes, loin de l’image d’Epinal d’une armée en gloire.
Commandée par le Capitaine Boulet (Voulet de son vrai nom) et le lieutenant Lemoine (Chanoine dans la réalité), la colonne part en janvier 1899 de Dakar, Sénégal, jusqu’au Tchad pour couronner la conquête de l’Empire français en Afrique. Mais les deux gradés, pressés et sans scrupules, obligent les autochtones à se battre au nom de l’Empire. Carnages et barbaries dans leur sillage. Devenus fous, Boulet et Lemoine ne répondent plus à aucune stratégie militaire, et dirigent pillages et massacres en tous genres.
Leurs « prouesses » sont soufflées à l’oreille de l’Armée française qui envoient un émissaire pour les brider tandis que Boulet coupe la communication avec l’état-major français et décide de traverser les colonies britanniques, au risque de créer un incident diplomatique. Les Anglais ne riposteront pas si Boulet parvient à les libérer de la Sarraounia, princesse rebelle et sorcière qui tourmente les populations locales autant que les sujets de la reine d’Angleterre. Sorcellerie, dysenterie et poudre de canon. Une expédition notoire où massacres et pillages ont été légion et que la mémoire militaire et patriotique a préféré oublier.
Christophe Dabitch et Nicolas Dumontheuil ont eu l’audace de redonner ses couleurs à cet épisode gommé, à l’image pourtant d’une époque. Ils bousculent avec humour les poncifs sur notre histoire coloniale et racontent, cyniques, comment les tirailleurs noirs ont dû commettre tant de crimes sur d’autres africains.
La colonne, c’est l’histoire sanglante de l’Empire et ses colonies, c’est l’histoire de délires narcissiques, de la folie des hommes, loin de l’image d’Epinal d’une armée en gloire.
L'étui contient les tomes 1 et 2.
Rafael Juntunen a peur. S’il avait pu s’échapper avec le butin d’un braquage qui avait mal tourné, son complice de l’époque avait été arrêté. Le temps a passé, ce dernier va sortir de prison et réclamer sa part. Seulement, Rafael ne veut plus partager. Il prend la fuite et se cache au fin fond de la Laponie, dans la forêt des renards pendus.
Le gangster de trente ans, célibataire, ne voudra partager son butin avec personne mais il ne pourra pas rester tranquille bien longtemps, rejoint très vite par un ex-major de l’armée alcoolique mis sur la touche, et une Lapone nonagénaire en fuite.
Les trois personnages vont résister à tout, aussi bien aux anciens complices de Rafael décidés à récupérer leur part du magot, qu’aux représentants de la « civilisation ».
Mais on ne transgresse pas impunément les lois qui règlent la vie en société...
Dans les romans d’Arto Paasilinna le grand Nord est habité de marginaux aussi fous qu’étranges. Nicolas Dumontheuil s’approprie avec jubilation l’intrigue loufoque de l’auteur finlandais.
Aventure, humour et démesure dessinent des histoires pittoresques mémorables. Une histoire cocasse, noire, drôle et sans concession…
Ned et Zed sont deux tueurs professionnels du Middle West.
Zed adore compter, tout compter. Le nombre de balles tirées, de fois où il a été victime du mal de mer, ou plus sympathique, le temps passé pour arriver à l’orgasme…
Son copain Ned est pire. Il a des problèmes existentiels (et sexuels). Résultat des courses, il n’a plus envie de tuer.
Sa vie retrouve un sens quand il décroche un vieillard pendu à un arbre. Et Zed, qui n’a jamais connu son paternel, décide d’en faire son père adoptif.
Malgré tout, il leur ne sera pas toujours facile de suivre cet « old timer », victime de la terrible malédiction du braquemart…
Le destin des deux tueurs bascule le jour où ils rencontrent, dans un boxon, Magic Child, une Indienne (mais est-ce vraiment une Indienne ?) qui les engage pour retrouver Miss Hawkline, sa sœur disparue.
Arrivés dans la propriété des Hawkline, Ned et Zed découvrent les autres membres de la famille, le père et aussi un monstre étrange, émanation d’une légende locale, « Saswatch »…
Couleurs : Isabelle Merlet
On avait laissé nos deux tueurs professionnels - enfin, professionnels, c’est tout de même vite dit - empêtrés dans un tas de questions existentielles : Ned pourra-t-il continuer à ne pas tuer ? Zeb est-il bien un nègre normal, avec son tic ? Et les femmes : ont-elles une âme ? On retrouve Ned et Zed accompagnant toujours Magic Child à la recherche de sa sœur, en escort-boys sans peur et sans reproches (ou si peu).
Leur chemin s’avère initiatique, et mystique, tant il est hanté par la présence du Bigfoot, et par les cauchemars de Ned.
Reprenant à son compte l’écriture de Brautigan par petites scénettes, Nicolas Dumontheuil nous fera découvrir une étonnante tribu indienne qui a su adapter les traditions ancestrales aux valeurs libérales contemporaines. Et il nous permettra aussi de découvrir quelles sont les conséquences à donner le droit de votes aux femmes.
D'après l'oeuvre de Richard Brautigan
Couleurs : Isabelle Merlet
À l’issue du tome 2, la situation était des plus mouvementées : Ned a découvert que sa mère était indienne, et furieux, s’est mis à dégommer toute la bande de Sheep-Buggy. Maintenant, il délire, se sent devenu un vrai indien et a disparu Dieu sait où, certainement à la recherche de sa mère.
Zeb va en taule, lui aussi, après avoir massacré une bande de cow-boys qui l’ont traités de négro. « Chez moi, en Louisiane, on dansait aux enterrements ! Et aux naissances on pleurait ! C’est parce qu’on descend des esclaves ! Pour le nègre, la mort est une délivrance, et la vie un fardeau !! » Le shérif en fait son allié, car il veut retrouver les sœurs Hawkline, Holly Dolly et Magic Child, accusées des pires maux, recherchées pour les crimes du Bigfoot. D’ailleurs savent-elles réellement qui elles sont vraiment ?
Avec Bigfoot, l’âme délirante de Nicolas Dumontheuil rejoint celle tout aussi biscornue de Richard Brautigan. En courts chapitres, le livre et la bande dessinée narrent un western à la folie douce. Il faut dire que le trait nerveux de Dumontheuil ne semble pas avoir de limites. Cet artiste sait tout dessiner, le sérieux comme la fantaisie.
Reprenant à son compte l’écriture de Brautigan par petites scénettes, Nicolas Dumontheuil nous fera découvrir une étonnante tribu indienne qui a su adapter les traditions ancestrales aux valeurs libérales contemporaines. Et il nous permettra aussi de découvrir quelles sont les conséquences à donner le droit de votes aux femmes.
Couleurs : Isabelle Merlet
Survolant les collines tranquilles du Rouergue, M. Dubois-Chauffier découvre la région où il vient d’être nommé par la multinationale Parindus pour reprendre une mine dont l’exploitation avait pourtant été arrêtée des années auparavant. Installée en pleine forêt de Cassaniouze, cette reprise d’activité ne fait pas l’unanimité dans cette région rurale et agricole. Nombreux sont ceux qui pensent qu’elle va saccager l’environnement.
À peine arrivé, M. Dubois-Chauffier doit affronter une grève illimitée, le courroux des habitants du coin.
Mais aussi les drôles de bruits qui courent à propos de cette forêt. Il semblerait que le petit peuple des bois, gnomes, lutins, fées, diablotins… ne soient pas du tout prêts à être dérangés par les manoeuvres industrielles ni par les CRS déplacés par la préfecture pour rétablir l’ordre. Une partie de bras de fer commence.
Écrit à l’aube des années 70, Rumeurs sur le Rouergue décrit un vieux monde paysan résistant à sa disparition programmée.
Nous sommes au temps des premières croisades, dans une ville des bords de la Méditerranée.
Au cours d’une cérémonie religieuse, un vieil évêque apparaît au balcon de la cathédrale. Tremblant de tous ses membres, il laisse maladroitement tomber la relique de la pointe de la lance sacrée, celle qui transperça le Christ sur la croix, sur un modeste chasseur de rats, Berto. Le passant s’en tire sans gravité et pour la foule, c’est un miracle, Dieu leur a indiqué le nouveau sauveur.
Mais le clergé et la noblesse sont sceptiques. Comment cet humble inconnu pourrait-il être un saint ?
Pour l’éloigner, ils décident alors que, dès qu’il sera guéri, il devra partir pour Jérusalem. Berto n’apprécie pas du tout ce qui lui arrive. Il tremble à l’idée de partir en guerre et se demande comment il pourrait bien être saint puisqu’il a toujours aimé les excès !
Une rencontre va changer la donne...
Prunelle est une charmante jeune femme qui a le souci de la nature. Tri sélectif, vélo plus que 4 X 4, douche plutôt que bain, elle pousse son engagement pour l’écologie jusqu’à ouvrir un cabinet de naturopathie ! Les soins par les plantes ! Tout un programme !
Ajoutez à cela que Prunelle est la reine des gaffeuses, qu’elle mélange dictons et autres proverbes avec une volubilité désarmante : elle voit toujours l’œil dans la poutre du voisin ! Bref, c’est une… nature ! Tout irait bien dans le meilleur des mondes si la télé ne venait pas bousculer sa vie. En effet, une sitcom au succès grandissant raconte les mésaventures quotidiennes d’une jeune femme, dont les gaffes et les expressions fantaisistes sont les copies conformes de celles que Prunelle renouvelle jour après jour.
Quel est ce mystère ? C’est tout le sel de cette comédie sociale, menée avec maestria par Didier Tronchet.
Prunelle est une charmante jeune femme qui a le souci de la nature. Tri sélectif, vélo plus que 4 X 4, douche plutôt que bain, elle pousse son engagement pour l’écologie jusqu’à ouvrir un cabinet de naturopathie ! Les soins par les plantes ! Tout un programme !
Ajoutez à cela que Prunelle est la reine des gaffeuses, qu’elle mélange dictons et autres proverbes avec une volubilité désarmante : elle voit toujours l’œil dans la poutre du voisin ! Bref, c’est une… nature ! Tout irait bien dans le meilleur des mondes si la télé ne venait pas bousculer sa vie. En effet, une sitcom au succès grandissant raconte les mésaventures quotidiennes d’une jeune femme, dont les gaffes et les expressions fantaisistes sont les copies conformes de celles que Prunelle renouvelle jour après jour.
Quel est ce mystère ? C’est tout le sel de cette comédie sociale, menée avec maestria par Didier Tronchet.
« Je m'appelle Prunelle et je voudrais sauver la planète. » Ce sont ses mots. Soit.
Tri sélectif, vélo et pas 4 X 4, douche plutôt que bain, Prunelle pousse son engagement écologique jusqu'à ouvrir un cabinet de naturopathie, même si elle n'a pas trop pensé à faire un budget prévisionnel... Logique.
David, son voisin du dessus, lui il s'en fout de la planète. Le pot d'échappement de son scooter est percé, sa baignoire fuit, il trie ses déchets quand il y pense et se trompe de poubelle ! Il était prof de français, jusqu'au jour où un ami lui a proposé un boulot de scénariste à la télévision.
Et c'est donc à la fin du premier tome, que Prunelle découvre que David l'espionne via un tuyau de sa salle de bains ! C'est ainsi qu'il alimente les scénarios qu'il écrit pour une sitcom. « Le Marcel Proust des tuyauteries » !
C'est sûr, ça ne pouvait arriver qu'à elle !
Quitte à se faire manipuler, elle décide de le faire elle-même ! Elle intègre l'équipe de production (cela rapporte plus que la naturopathie !). Chouchoutée, elle est traitée comme une vraie star car l'audience de la série explose.
Et David ? David s'est retiré de l'affaire, mais ne se résout pas à voir Prunelle se perdre dans ce milieu qui n'est pas le sien. Il ne se résout pas à LA perdre. Car, il doit bien le reconnaître, il est amoureux ! Et bien comme il faut ! Il la « poursuit », fait tout pour se faire pardonner et la séduire.
Y parviendra-t-il ? Prunelle redeviendra-t-elle elle-même? Que de questions brûlantes !
James Dieu est né sous le signe du 11 septembre 2001. C’est à la suite des attentats new-yorkais que Fred Pontarolo a eu l’idée d’écrire cette série et le deuxième tome se terminait sur des images des tours jumelles en feu.
Ce nouveau volume s’ouvre sur l’effondrement des deux tours. Juanito et sa clique s’en sont tirés, sans trop bien comprendre ce qui s’est passé. Pour se remettre de leurs émotions, ils débarquent chez Burger King® pour manger un bon hamburger. Ce qui a l’art de déplaire à James Dieu (toujours sous l’apparence d’Elvis Presley), tout de même assez choqué de savoir que son surnom du King est associé à de la nourriture. Sans toucher de droits d’auteur ! Et puis, c’est quoi cet endroit où le Coca™ est remplacé par du Pepsi™, cette boisson satanique.
Bientôt, ils font connaissance de Gina la pompe, et son mari, Rocky Bazooka, son frère et mac, à la gachette (de bazooka) facile…
Pendant ce temps, à la morgue, Les Experts™ s’agitent dans tous les sens. Ils ont du pain sur la planche. Quant à Igor et Gritcha Bogdanoff, ils se demandent s’ils ne sont pas tombés dans une faille spatio-temporelle.
Frères ennemis sûrement. Frères avant tout, peut-être…
Le temps a passé, les thèmes abordés dans cette bande dessinée au sujet dévastateur, n’ont pas pris une ride, ils sont plus que jamais d’actualité : sionisme, antisémitisme, intégrisme…
Avec humour et dérision toujours avec tendresse, Farid Boudjellal renvoie pourtant dos-à-dos les différents protagonistes du conflit israélo-palestinien.
Pour cela, il se fait le chroniqueur de deux familles, l’une de confession musulmane, l’autre juive. Pendant que les pères passent leur temps en joutes verbales, dissertant et s’insultant tout à la fois, leurs enfants fomentent des projets de mariage…
Cette intégrale, reprenant les quatre tomes initialement parus chez Soleil, est une édition entièrement remaniée et complétée de nombreux inédits.
A feuilleter en mode double page (double-clic sur la planche une première fois pour passer en plein écran, puis une deuxième fois)
Au départ, il y a un spectacle, écrit et joué par François Morel en compagnie de son vieux complice Olivier Saladin et qui connaît un beau succès depuis plusieurs années. À l'occasion sa sortie en DVD, c'est donc le texte original de François Morel qui est illustré par Pascal Rabaté. Un autre regard, pour une belle complicité.
Tout au long du siècle dernier, le vingtième, l'une des traditions estivales consistait à s'adresser des mots écrits à la main sur des petits bouts de carton : la carte postale ! Elle jouait franc jeu, s'exposant à la vue de tous. Elle ne cultivait pas le secret. Elle faisait étalage de son bonheur, s'amusant à susciter la jalousie. Au verso, on pouvait profiter d'une vue en couleurs : le casino de Royan, la Promenade des Anglais ou un coucher de soleil sur Pornichet. D'autres fois, c'était un âne, une vache ou un verrat avec un soutien-gorge... La légende disait «Vachement bonnes vacances ! », « Bonne ânée ! » ou « Ben mon cochon ! ». On savait rire.
Ce sont ces petits bouts de carton que s'envoient consciencieusement les Rouchon et les Brochon durant leurs vacances. Ainsi se tisse leur vie qui se rêve idéale, même si elle se dévoile insignifiante, étriquée, conventionnelle. Mais on s'en fout ! Après tout une carte postale, c'est un peu de rêve qui passe... Et du rire pour le public de Morel et les lecteurs de Rabaté.
Il y a encore quelques années, chaque être humain de sexe masculin devait faire son service militaire. Jusqu’en 1968, tous les jeunes de 18 ans étaient convoqués ensemble pour le « conseil de révision » qui définissait qui était « bon pour le service ». Pour les « conscrits », il était alors grandement temps de « faire la classe », un rituel païen (même si cela commençait par une messe !), qui précipitait le jeune garçon dans l’âge adulte, et dans plusieurs jours de fête ininterrompue où tout était permis…
Dans un premier temps, nous apprécierons le résumé de l’histoire de la conscription française, dressé par Baru, avec un petit faible pour la partie s’étendant de la Révolution à la Constitution de Bonaparte…
Nous admirerons ensuite sans retenue, l’exemple qu’il donne afin de nous permettre de bien comprendre le concept de « faire la classe ». Il a choisi celle de 1968, la dernière de l’histoire de France à avoir passé le « conseil de révision », et plus précisément encore, celle de la commune de Thil, dans laquelle figurait un certain Hervé Baruléa…
Vous n’êtes pas convaincu de l’intérêt sociétal de cet album ? La première notion à connaître impérativement pourrait bien vous faire changer d’avis : « Bon pour le service » signifiait surtout « bon pour les filles »…
Couleurs : Daniel Ledran
En une succession de courts chapitre et d’analyses aussi pointues sur le fond, que délirantes dans la présentation, pimentées d’un brin de souvenirs personnels et d’un zeste d’actualité, Jorion brosse au vitriol un portrait érudit et rigolo de l’idéologie politique et de l’organisation de l’humanité actuelles, qui s’acheminent vers leur extinction naturelle, et il propose quelques idées pour l’éviter.
Jouant des symboles connus de tous, Maklès vulgarise les écrits de Jorion, avec la volonté de faire sourire plutôt que de se laisser abattre.
Cela commence avec le procès de monsieur X, trader et mercenaire zélé de la banque d'investissement Gloldman Sax, accusé d'avoir créé un produit financier à partir des créances les plus pourries du marché, qu'il a revendu sciemment à ses clients avant de parier sur l'effondrement de cette "camelote".
Pourquoi ? Parce que ces clients étaient faibles, et que le système dit M.A.F. (Mort Aux Faibles) !
Bien sûr, cela nous rappelle quelque chose…
Comment a-t-on bien pu en arriver là ? C’est le postulat de départ des auteurs : comprendre.
Alors, avec trois symboles simples (le Salarié, un petit jouet en plastique, le Patron, un général d'armée, et le Capital, un financier à haut de forme et gros cigare), Jorion et Maklès expliquent pourquoi et comment.
Cyniquement, ironiquement et avec beaucoup d'humour (noir), ils décortiquent l'invention du travail, le partage des richesses, le management, la Bourse ou encore l'ultra libéralisme.
Co-édité avec Arte Éditions
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand