Parce que c’est quand même beaucoup plus classe de faire Saint-Étienne Lyon en avion plutôt qu’en train, un père stéphanois emmène ses 3 enfants et sa femme en vacances à la capitale des Gaules.
Quoique non, car il a oublié sa femme sur le chemin !
Ce qui est dommage car, comme l’avion est tour à tour détourné par des indépendantistes savoyards puis par des sauveurs de baleines, il aurait bien aimé bénéficier des conseils de sa femme en direct live. Il lui reste heureusement le téléphone portable mais c’est bien moins pratique, force est de le reconnaître…
De son coté, la mère ne perd pas son temps, entreprenant de rééduquer un cambrioleur maladroit, puis prenant la route du Sud (l’avion est finalement détourné sur Ibiza par le pilote qui réclame des vacances), flanquée d’un autostoppeur à petite vessie…
Béret ou casquette vissée sur la tête, les personnages de Jean-Luc Coudray usent (et abusent) du remarquable don qu’est la parole.
Avec un regard tantôt amusé, tantôt amuseur mais toujours observateur, Coudray assaisonne les innombrables petits paradoxes de notre époque, mais aussi ces contradictions intemporelles auxquelles l’homme se confronte depuis la nuit des temps.
Religion, code de la route, politique, amour, famille, patrie, les sujets se suivent et ne se ressemblent pas toujours, dans ce qui constitue un formidable recueil de pensées et de réflexions en tous genres. Sans oublier le rôle de l’artiste dans notre bonne société…
L’Anthologie nous propose un bouquet de bons mots particulièrement riche !
Une bible à garder sur sa table de chevet !
Nous ne le savions pas, mais Ray Banana, le rastaquouère gominé créé par Ted Benoit, l'homme qui semble éternellement figé dans les années 50, vit bien dans le présent, et il s'est découvert un intérêt pour la philosophie.
Ayant élu domicile dans son fauteuil comme Diogène dans son tonneau, il aborde l'aventure de l'esprit avec les mêmes doutes, mais aussi la même fougue, que l'aventure policière, persuadé de pouvoir nous aider à comprendre, décrypter et affronter l'inquiétant monde du XXIème siècle. Pour cela, nous explique-t-il, il faut d'abord se poser les bonnes questions. Et il pense en connaître un paquet.
Rien ne l'arrêtera, sauf peut-être d'être élu à l'Académie.
Mauvaise passe pour Etienne : non seulement il est sans travail, mais sa femme Béatrice vient de le virer de chez lui. Qu’on se calme, ils ne divorcent pas… puisqu’ils ne sont pas mariés. Rude coup tout de même pour les enfants… Enfin surtout pour Steph. Car son grand frère, Clément, lui, voit surtout les avantages qu’il peut y avoir à mettre ses parents en concurrence !
Etienne emménage donc chez son frère Sylvain. Ensemble ils vont pouvoir écumer les bars à défaut d’écumer les petites annonces… Sylvain entraîne même son frangin dans un groupe de parole pour « pères indignes anonymes ». Ils s’y font plein de copains… mais pas trop recommandables !
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, les 2 frères apprennent la mort de leur père. Lui aussi, un père indigne, agile du ceinturon…
Une sorte de sitcom… mais complètement déjantée et drôlissime !
Béret ou casquette vissée sur la tête, les personnages de Jean-Luc Coudray usent (et abusent) du remarquable don qu’est la parole.
Avec un regard tantôt amusé, tantôt amuseur, toujours observateur, Coudray assaisonne les innombrables petits paradoxes de notre époque, mais aussi ces contradictions intemporelles auxquelles l’homme se confronte depuis la nuit des temps.
Religion, code de la route, politique, amour, famille, patrie, les sujets se suivent et ne se ressemblent pas toujours, dans ce qui constitue un formidable recueil de pensées et réflexions en tous genres. Sans oublier le rôle de l’artiste dans notre bonne société…
- Et alors, Jean-Luc, la BD, c’est une œuvre d’art ?
- Seulement si elle est réussie !
Des strips aussi irrésistibles que pertinents, intemporels et pourtant en prise avec notre époque !
Super-héros des temps modernes, Space Kariboo tombe par hasard sur Flower Power, une ancienne camarade de classe. Quelques années auparavant, ils faisaient partie de la bande des « Ultimes », un quatuor de choc formé le temps de leurs études à l’école des super-héros. Avec ces retrouvailles, c’est tout un passé qui ressurgit !
Que reste-t-il de ces années étudiantes où nos 2 héros usaient leur fond de costumes moulants dans des amphithéâtres animés par Bide-and-Home (prof de stratégie dont le crédo était « coup pour coup ») ou encore la Dame Smith (prof d'économie dont le crédo était « La liberté avant tout ! ») ? Mise à mal par des opinions divergentes, l’unité des Ultimes s’était fortement émoussée lors des travaux pratiques. La jalouse Erika (et son pouvoir à base de pétrole) et Cap’tain Pétard développaient une conception de la justice et de leurs pouvoirs qui rendait chaque mission des Ultimes plus difficile à coordonner.
Quelques années plus tard, cette rencontre est l’occasion pour nos héros de faire le point sur leur parcours et l’évolution de leurs idéaux.
Avec humour, décalage et dérision, François Duprat prend prétexte d’un univers de Super Héros pour poser un regard grinçant sur notre société. Une œuvre à part !
Le patron de Théocrite est plus grand, plus gras, plus fort que lui. Normal puisque c’est son patron !
Au travers de leurs dialogues, de leur opposition, de leurs rapports de force se trouve résumée la problématique actuelle du monde du travail, de l’argent, de la rentabilité, des cadences, du chômage, du libéralisme et de la publicité.
Une vision critique du choc entre la pensée unique du rendement et la vie quotidienne des employés. Le tout dans un décor paradisiaque et ostentatoire où l’étalage des moyens contraste avec la difficulté de vivre.
62 pages de gags à l’humour aussi impertinent qu’en prise avec son temps.
Face aux désordres du monde actuel, à ses dérives polluantes et consuméristes, Lidwine alias désormais « Marcel de la gare » n’est pas du genre à demeurer les bras ballants. Alors, avec les armes qui sont les siennes, son crayon et son imagination, il s’est mis à tourner en dérision tout ce qui avait le don de l’agacer…
Ses dessins ont tout d’abord fait l’objet d’une publication dans divers journaux militants mais aussi sous forme de cartes postales diffusées par le réseau “Sortir du nucléaire”, avant de se retrouver réunis, une première fois, en 2008, dans un livre publié par La Boîte à Bulles : Où vont les hommes ?
Cinq ans plus tard, les motifs d’indignation ont tout sauf disparu. Il était donc légitime de redonner vie à ces dessins et à de nombreux autres, dessinés depuis, dans un nouvel ouvrage au contenu des plus corrosifs, paru en août 2013 : Tout va de traviole !
Un ouvrage qui va vous faire tout à la fois rire… et froid dans le dos !
Et si le meilleur moyen de parler de la BD, c’était de passer par le détour de métiers imaginaires ?
De “placeur de bulles ” à “peintre en marge” en passant par le « testeur de gag » ou le « fabricant de monstres », ce sont 28 métiers inventés, humoristiques, avec lesquels Jean-Luc Coudray traite la BD par des entrées jamais encore explorées.
Les illustrations d’Emmanuel Reuzé ajoutent une autorité institutionnelle et une froideur administrative qui ancrent l’humour du livre dans une réalité palpable. L’humour des textes et des dessins se cautionne d’un sérieux poussé jusqu’à l’absurde.
Deux métiers réels, sans doute parce que trop oubliés, se glissent dans cette zoologie de fonctions impossibles : scénariste et coloriste…
Un humour d'une logique et d'une précision implacables servi par un dessin désuet aux atours encyclopédiques !
Lorsque Camille rentre de ses vacances au Canada, tout se précipite : son amoureux québécois (resté sur place) exerce sur elle une sorte de chantage affectif et l’arrivée des examens n’est pas de nature à la rassurer… S’ensuit une montée de stress qui va bouleverser à jamais sa vie !
Epuisée, constamment au bord des larmes, Camille découvre le quotidien d’une bipolarité (maniaco-dépression) qui lui donne plusieurs fois envie d’en finir. Elle enchaîne les séjours en centres psychiatriques, au grand désespoir d’un entourage qui a parfois du mal à la comprendre...
Entre euphories passagères, expérimentations diverses et rechutes brutales, Camille tente de retrouver une vie de jeune femme « normale »…
Le journal d’une bipolaire est le récit autobiographique bouleversant d’une jeune femme en proie à une fluctuation anormale des troubles de l’humeur. Si le trouble bipolaire est une pathologie psychiatrique bien connue, rares sont les témoignages qui la présentent simplement, dans son apparition et ses conséquences sur le quotidien.
Un témoignage authentique, qui n’est pas sans rappeler Dans la secte, un livre déjà scénarisé par Patrice Guillon, alias Pierre Henri, qui met ici en forme le récit de sa propre fille.
Un récit porté par les dessins vifs et expressifs de Sébastien Samson, un débutant au dessin déjà mature…
Postface : Christian Gay
Balloté entre un père qui ne cesse de lui marteler qu’il est juif et une mère d’origine catholique, Benjamin a du mal à définir qui il est... Enfant, il adule sa famille paternelle et est fier d’être juif, « comme Superman ». Tellement fier, qu’il le clame partout... à l’école.
Mais le jour où il fait le lien entre son zizi circoncis et la religion juive, tout s’écroule. Désormais décidé à cacher sa religion, Benjamin va tout mettre en œuvre pour éviter que ses copains de classe ne découvrent la vérité sur son « zizi coupé »...
La fierté laisse alors place à la honte et à des questions sans fin : comment garder la face à l’école, puis au collège, face aux préjugés de ses camarades ? Peut-il vraiment être juif si sa mère ne l’est pas ? Pourquoi ses potes pensent que tous les juifs sont riches, alors que lui mange tous les soirs des raviolis Buitoni ?!!
Par-dessus tout, en remettant en cause sa judéité, Benjamin va devoir affronter le regard de son père... et défier ainsi 5000 ans de tradition religieuse !
Parviendra-t-il à s’affirmer face à ce dernier ?
Aux débuts de la Boîte à bulles, en 2003, son éditeur avait l’ambition de créer une planche dessinée pour présenter chacune de ses publications. Le principe : se mettre en scène avec humour pour présenter le livre aux journalistes, en faisant dessiner ladite page par un auteur différent de celui de l’album. L’initiative a tourné court à la 10ème fiche…
10 ans plus tard, il se lance le défi de prolonger les planches déjà existantes pour raconter les heures radieuses et orageuses traversées par cette petite maison d’édition : les festivals, les prix, les désillusions, les rumeurs internet, les tentations de tout plaquer…
Entrez dans les coulisses d’une maison d’édition au travers de la présentation de 46 ouvrages, présentations qui constituent autant d’occasions de raconter un bout de l’histoire de La Boîte à bulles
Derrière le personnage de Mimi Stinguette se cache Myriam Rak, jeune auteure de 28 ans passionnée par l'illustration qui, dans la "vraie" vie, se trouve responsable juridique dans l'audiovisuel. Comme quoi l'étude du droit ne tue pas toute créativité !
Bien que n'ayant jamais cessé les activités artistiques entamées dès son plus jeune âge, Myriam a écouté son côté raisonnable et intégré une école de commerce avant d'enchaîner avec un Master de Droit en Propriété Intellectuelle.
Après plusieurs expériences dans le secteur de l'édition BD et de la production de séries d'animation, qui lui ont permis de mêler son goût pour l'art et le dessin à ses aptitudes professionnelles, elle est aujourd'hui juriste en propriété intellectuelle dans le cinéma.
Son rêve : devoir un jour traiter des droits d'adaptation cinématographique de ses propres oeuvres !
Son blog.
Dans un conte de fée, quand une princesse est enfermée dans une tour, on ne raconte généralement que la fin : lorsque le prince charmant arrive, qu’il brave tous les dangers, qu’il escalade la tour, etc.
Curieusement, personne ne parle jamais de l’interminable attente qui précède ce si court évènement.
Princesse Libellule est une de ces princesses qui attendent qu’un prince fasse son boulot… Mais, comme les princes compétents, ça ne court visiblement pas les chemins, il faut bien s’occuper en attendant…
Alors, elle passe un temps fou à la fenêtre, à guetter le moindre mouvement et à inventer toutes sortes de raisons au retard de son chevalier. Et elle parle avec ses oiseaux, car pour être une princesse idéale comme on en rencontre dans les contes, il faut être en harmonie avec la nature et les animaux.
Même si, Princesse Libellule, l’harmonie, c'est pas son fort !
Une nuit de pleine lune, dans le Gévaudan, Machin se balade fièrement au volant de sa voiture hippo-tractée.
Après une dispute avec son cheval Maurice, Machin se retrouve livré à lui-même dans la campagne alors que rôde une bête féroce échappée du zoo. Celle-ci lui vole sa voiture et repart manger tous ceux qui ont le malheur de croiser sa route.
Dans le village voisin, c’est la panique, l’imagination des habitants galope…
Ainsi commence la délirante et improbable épopée d’un tigre en Auvergne, servie par l’élégant graphisme en pattes de mouches de Sylvain-Moizie.
Son coup de crayon, libre et spontané, rappelle les meilleurs dessins de presse et insuffle à ce récit burlesque – qu’on dirait croqué sur le vif – une folie contagieuse.
Quand on est une belle et jeune princesse, enfermée dans son château, il n’est pas vraiment évident de rencontrer son prince charmant.
Il convient donc de meubler l’interminable attente qui précède cet événement tant espéré. Et à part regarder à la fenêtre, il n’y a vraiment pas grand-chose à faire… La cuisine ? Le ménage ? Les devoirs ? C’est pour les gens communs, toutes ces horribles choses !
Princesse Libellule attend donc impatiemment qu’un prince compétent fasse son boulot…
Mais voilà que sa vie tourne au cauchemar : en face de sa fenêtre, une horrible princesse brune vient construire sous son nez une tour aussi haute et aussi belle que la sienne.
Voilà notre pauvre enfant soumise à deux incertitudes : la venue du prince charmant… et sa préférence ! La vie de princesse est vraiment trop dure…
Un chouette pied de nez aux contes classiques, destiné à un large public.
Enfin une princesse qui nous révèle tous ses petits défauts ! Et ils sont nombreux…
Le film de Luc Jacquet « La Marche de l’Empereur » a appris au grand public infiniment de choses sur les mœurs de nos amis Manchots. Leur cycle de reproduction, leurs amours et leur courage sont désormais légendaires bien au-delà de la région la plus isolée et inhospitalière du monde ! On croyait donc tout connaître ces drôles d’Oiseaux. Mais on avait tort…
Les caméras à peine éteintes, les frères Coudray se dissimulaient dans les glaces du Sud et observaient à leur tour ces désormais célèbres Empereurs. Ces derniers leur révélèrent un autre versant de leur véritable nature et de l’infinie richesse de leur condition.
Il en ressort que les Manchots portent des moufles, ne craignent pas le froid emmitouflé dans leur pelage, sont parfaitement ambidextres, nagent parfois avec un tuba et volent au même titre que leurs cousins pingouins (mais sous l’eau !) !
Et qu’importe si ces découvertes ne sont pas scientifiquement prouvées : elles sont humoristiquement imparables !
Léopold est un étonnant garçon : il est capable de devenir invisible ! Il peut même rendre ses vêtements eux aussi transparents : il suffit pour cela qu’il en lise l’étiquette.
Peut-être que, quand il sera grand, Léopold utilisera ses pouvoirs pour devenir un justicier craint des méchants. Pour le moment, il en profite surtout pour s’amuser… Parfois au détriment de sa sœur Céline, parfois en toute complicité avec elle.
Un duo de choc est né, embarqué pour de longues aventures, si les lecteurs lui prêtent vie.
Rassemblés en un seul volume, voici les deux premiers albums initialement parus aux éditions Dupuis. L’occasion de (re) découvrir cette série pleine d’espièglerie… et récompensée à Angoulême en 2012.
Mon Gras et moi est le récit quotidien d'une jeune femme en lutte avec son corps de « grosse ». Constat acide mais non dénué d’humour de ce personnage, qui doit affronter son propre regard mais aussi celui des autres…
De la difficulté à tenir ses bonnes résolutions au parcours du combattant vestimentaire, Gally saute à pieds joints dans les questions « existentielles » des personnes rondes avec originalité et sincérité, et relate les tribulations de son personnage, d'un seul coup de crayon et avec un humour à double tranchant, drôle et attachant.
De l’autobiographie désenchantée mais captivante !
L'album a reçu le PRIX DU PUBLIC 2009 à Angoulême.
Lorsque Victor se coiffe de son Stetson, il devient Clint, cowboy renfrogné de l’Ouest américain.
Colt en main, il s’enfuit dans un Far West imaginaire où les parents se transforment en shérifs et les bicyclettes en fidèles destriers. Un monde de rochers et de cactus où les brutes de l’école deviennent les redoutables frères Ringo, à qui il aimerait bien donner une bonne leçon !
Car les deux canailles se sont emparés de sa monture, le Colonel Banjo, et Victor compte bien la récupérer...
Avec l’aide de son acolyte Willy Brown, qui n’est autre que Basile Castagne, vieil alcoolique du village, Victor se lance à leur poursuite, bien décidé à leur faire mordre la poussière ! Mais la réalité, toujours tapie dans l’ombre, arrive au galop...
Une ode aux échappées imaginaires sous forme de western spaghetti plein de verve et de réparties cinglantes !
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand