En Andalousie, de nos jours.
Il se nomme Manuel, sa famille est originaire d’Andalousie, mais il a vécu en France jusqu'à ce qu'il décide de revenir s'y installer. Il a un ami gitan qui se nomme Benito, un chanteur hors norme. Manuel et Bénito sont inséparables. Car, ce qui lie avant tous les deux jeunes hommes, c’est l’amour du flamenco, le vrai, le pur, pas le flamenco rock comme peuvent le jouer certains frimeurs méprisables (mais qui, à contrario, gagnent très bien leur vie). Ces «mauvais garçons» vivent au jour le jour d’expédients. Seul leur amour des femmes leur fait tourner la tête.
En Andalousie, de nos jours.
Il se nomme Manuel, sa famille est originaire d’Andalousie, mais il a vécu en France jusqu'à ce qu'il décide de revenir s'y installer. Il a un ami gitan qui se nomme Benito, un chanteur hors norme. Manuel et Bénito sont inséparables. Car, ce qui lie avant tous les deux jeunes hommes, c’est l’amour du flamenco, le vrai, le pur, pas le flamenco rock comme peuvent le jouer certains frimeurs méprisables (mais qui, à contrario, gagnent très bien leur vie). Ces «mauvais garçons» vivent au jour le jour d’expédients. Seul leur amour des femmes leur fait tourner la tête.
En Andalousie, de nos jours.
Il se nomme Manuel, sa famille est originaire d’Andalousie, mais il a vécu en France jusqu'à ce qu'il décide de revenir s'y installer. Il a un ami gitan qui se nomme Benito, un chanteur hors norme. Manuel et Bénito sont inséparables. Car, ce qui lie avant tous les deux jeunes hommes, c’est l’amour du flamenco, le vrai, le pur, pas le flamenco rock comme peuvent le jouer certains frimeurs méprisables (mais qui, à contrario, gagnent très bien leur vie). Ces «mauvais garçons» vivent au jour le jour d’expédients. Seul leur amour des femmes leur fait tourner la tête.
Des mots éperdument égarés.
Dans le Paris de cette fin du XIXe siècle, le jeune Adrien ne rêve que de poésie. Complètement subjugué par l'œuvre d'Arthur Rimbaud, le jeune poète rencontre les membres du journal littéraire Le Décadent.
Ceux-ci, tout à leur obsession d'être les continuateurs du style du grand poète, poussent Adrien à écrire des faux du génial Rimbaud.
Rimbaud a déjà disparu des cercles littéraires parisiens depuis une douzaine d'années. Nul n'a de ses nouvelles. Il n'a plus publié une seule ligne. Il vivrait, paraît-il, quelque part vers Aden. La supercherie du Décadent fait long feu. Paul Verlaine, implacable garant de l'intégrité de l'œuvre de son ancien compagnon, dénonce les faussaires, attaque le journal, et le pauvre Adrien est traîné dans la boue. Le jeune homme décide alors de partir à la recherche de Rimbaud disparu :
Charleville, Marseille, l'Afrique…
Au fur et à mesure de son voyage, il croise ceux qui ont côtoyé l’artiste rebelle, de pas en pas, de témoignage en témoignage il retrouve la trace du poète de Charleville.
Mais l'esprit d'Adrien est fragile, le voici dérivant dans un rêve éveillé, onirique, le voici à la dérive dans son frèle esquif vers l'Éthiopie, à la rencontre de lui-même et, en toute fin, à l'acceptation de la disparition choisie du poète.
Un voyage initiatique au terme duquel Adrien découvre qui il est et Rimbaud retrouve toute sa liberté, celle de l'anonymat et du silence.
Des trottoirs mémoriels de Buenos Aires à un lac asséché par les spéculateurs, d’un fleuve à la frontière gréco-turque aux couloirs de la mort dans les prisons japonaises, des ruines de Grozny aux camps de Roms de Grigny, du totalitarisme numérique de Big (Brother) Data aux victimes ivoiriennes de sociétés pétrolières criminelles, il a partagé et recueilli la voix de ceux qui se battent pour leurs droits et qui transforment. Son statut de victime en celui d’acteur.
Sans jamais céder à l’empathie, Christophe Dabitch a rapporté 13 reportages dans le vif, étayés d’une présentation documentée du contexte politique. 13 témoignages qui prouvent que les Droits humains restent souvent hypothétiques.
La belle gageure de cet ouvrage choral est d’avoir permis aux différents dessinateurs de se réapproprier a posteriori le reportage initial (textes, entretiens et photos) pour obtenir un mélange de réalité rencontrée (étayée par des faits et des témoignages) et d’imaginaires visuels mêlant récit et ressenti.
Les auteurs Zeïna Abirached
Sergio Aquindo
Daniel Blancou
Christian Durieux
Manuele Fior
Benjamin Flao
Jorge González
Piero Macola
Laureline Mattiussi
José Muñoz
Gabrielle Piquet
Damien Roudeau
Michaël Sterckeman
Guillaume Trouillard
Au printemps 2014,Flao et Troubs suivent une mission scientifique dans les Tuamotu qui espère relancer la fabrication des va’a Motu, embarcations traditionnelles de Polynésie. La mission n’atteint pas son objectif, mais les deux copains décident de fabriquer eux-mêmes une de ces pirogues à voiles en suivant l’ancestral modèle.
Ce bricolage sympathique va leur permettre de construire ponts avec les habitants de cette France lointaine. Participant du rêve commun que les jeunes générations puissent revenir vivre, aimer et mourir sur leur atoll, Flao et Troubs ont parcouru les lagons, plongeant et vivant au rythme du soleil, des cueillettes de noix de coco et de la pêche et ils ont rencontré les habitants.
Dessinant beaucoup, ils ont ainsi tracé chacun et ensemble les lignes d’un monde en déclin, modifié en profondeur depuis les années 1960 par l’argent du nucléaire.
On se souvient des essais à Mururoa. Plus aucun enfant ne nait aux Tuamotu et les vieillards n’y meurent plus. À dix ans les enfants partent en pension sur d’autres îles pour suivre l’école et les traditions s’échappent.
Les dessins de Troubs et de Flao sont autant d’instantanés pour la mémoire collective de ce paradis à la dérive depuis que le moteur à essence a supplanté les voiles des ancêtres.
Modeste employé à Bordeaux dans les années 1880, Albert Dadas a commencé à « fuguer » dès l’adolescence, suite à une chute sur la tête. À l’énoncé d’un nom de ville ou de pays, comme un somnambule, il part, quitte sa maison et commence à marcher. Ça se passe toujours ainsi : « Tout d’un coup, j’ai très chaud, j’ai des suées, j’ai mal à la tête… Il faut absolument que je marche… Et après je ne me souviens de rien. » Il ne sait pas quand il part. Il le sait après, et en est extrêmement malheureux. Ses périples involontaires le mènent à Pau, Paris, Marseille mais aussi en Algérie, à Moscou (où il sera enfermé, soupçonné d’avoir tué le tsar !), Poznan en Pologne, Vienne en Autriche, Liège…
Il peut parcourir jusqu’à 70 km par jour ! Et il se « réveille » à l’hôpital ou en prison, sans papiers, sans argent…
En mai 1886, il rencontre Philippe Tissié, un jeune interne en psychiatrie à l’hôpital Saint André de Bordeaux, qui parvient à le soigner. Dadas pourra enfin mener une vie normale, se marier et avoir une fille. Le docteur décrira dans sa thèse, sa passion impulsive pour la marche et les voyages ; ses théories le rendront célèbre.
Au delà d’un récit clinique de médecin, Le Captivé est aussi une surprenante histoire d’errance, une ode au voyage.
Petit rappel des faits…
29 octobre 1628, le Batavia quitte le port d’Amsterdam. À son bord, 341 personnes, dont 38 femmes et enfants. Le navire appartient à la toute-puissante Compagnie hollandaise des Indes orientales. Il doit rejoindre Java pour y charger les épices qui font la richesse des actionnaires de la Compagnie.
Parmi ces hommes, Pelsaert, Commandeur responsable des affaires commerciales, vrai patron du navire, même s’il n’est pas marin, le capitaine Ariaen, responsable du bateau mais sous les ordres de Pelsaert et Jeronimus Cornelisz, un apothicaire de Haarlem, qui, au cours du voyage va fomenter une mutinerie avec le Capitaine du navire… Au début de ce deuxième volume, la révolte gronde. La mutinerie et le meurtre vont s’emparer du Batavia. Jeronimus ne reculera plus. Mais avant d’avoir pu mettre son plan en application, Le Batavia se jette à pleine vitesse sur les récifs des îles Albrohos au large de l’Australie, en pleine nuit, le 4 juin 1629 et fait naufrage. Jéronimus va prendre la tête des réfugiés. Le cauchemar va continuer.
29 octobre 1628, le Batavia quitte le port d’Amsterdam. À son bord, 341 personnes, dont 38 femmes et enfants: des marins, des artisans, des soldats, des officiers et quelques passagers qui voyageront sur le Château arrière, le lieu de l’élite du navire. Le navire appartient à la toute-puissante Compagnie hollandaise des Indes orientales, la VOC. Il doit rejoindre Java pour y charger les épices qui font la richesse des actionnaires de la Compagnie.
Amsterdam est alors le plus grand entrepôt d’Europe ; la Hollande vit un âge d’or de prospérité et de liberté. On dit Amsterdam tolérante, les esprits libres et les opprimés viennent de toute l’Europe s’y réfugier. « Paradoxalement, en partant au 17° Siècle, j’ai retrouvé des questions économiques et politiques qui m’intéressent. » explique Christophe Dabitch « Le récit intervient dans un contexte où Amsterdam invente la bourse et donc une forme du capitalisme, un grand cycle dans lequel nous sommes toujours. La Compagnie des Indes est l’une des Compagnies commerciales les plus puissantes de l’histoire. En faisant le grand écart, je me suis demandé quels liens pouvaient exister entre cette Histoire et l’histoire meurtrière de Jeronimus. »
Parmi les hommes présents sur le Batavia, Pelsaert, Commandeur responsable des affaires commerciales, vrai patron du navire, même s’il n’est pas marin, le capitaine Ariaen, responsable du bateau mais sous les ordres de Pelsaert et Jeronimus Cornelisz, un apothicaire de Haarlem, qui fuit la terre des hommes, incapable de se remettre de la mort par la syphilis de son bébé, et de la suspicion sur sa femme que cela a engendrée.
Au cœur de ce monde d’hommes, Lucretia. Après plusieurs mois en mer, elle devient l’objet de conquêtes, discrètes de la part de Jéronimus, plus directe de la part du commandeur et du capitaine.
Mais le Batavia n’arrivera jamais à Java. Le nom de ce navire deviendra le synonyme d’une terrible expérimentation sur des îles perdues au large de l’Australie. Une expérience humaine menée par Jeronimus Cornelisz, que rien ne semblait prédestiner à jouer ce rôle.
« Le personnage principal se nomme Jeronimus et, au vu de l’histoire, on le présente généralement comme un psychopathe et un hérétique pour expliquer son parcours. Ce qui n’est pas faux. Mais c’est un homme que rien, a priori, ne prédisposait à devenir ce qu’il est devenu à l’occasion de ce naufrage. C’est une histoire très connue en Hollande ou en Australie mais très peu en France. »
L'histoire se passe dans l'archipel de Lamu, au large du Kenya.
Günter est un marin hollandais qui n'hésite pas à jouer les trafiquants si les commandes légales ne suffisent pas.
Naim, un gamin d'une dizaine d'années, orphelin, habite chez sa tante. Il refuse d'aller à l'école coranique (il est peu enclin à la discipline), et fait souvent l'école buissonnière. Il vit de petites magouilles. À quelques encablures de là, dans la brousse de Kililana, au coeur de la mangrove, Ali, un vieillard solitaire, survit de la pêche et de la cueillette, coupé du monde.
À côté de sa cabane, un arbre a poussé. Avec le temps, celui-ci est devenu un impressionnant autel couvert d'objets divers, de tissus, de carcasses animales...
Mais le lieu est convoité par des promoteurs immobiliers français qui rêvent d'en faire un complexe touristique.
Les destins de ses personnages vont se croiser pour un grand récit d'aventure...
Tome 1
L'histoire se passe dans l'archipel de Lamu, au large du Kenya.
Günter est un marin hollandais qui n'hésite pas à jouer les trafiquants si les commandes légales ne suffisent pas.
Naim, un gamin d'une dizaine d'années, orphelin, habite chez sa tante. Il refuse d'aller à l'école coranique (il est peu enclin à la discipline), et fait souvent l'école buissonnière. Il vit de petites magouilles. À quelques encablures de là, dans la brousse de Kililana, au coeur de la mangrove, Ali, un vieillard solitaire, survit de la pêche et de la cueillette, coupé du monde.
À côté de sa cabane, un arbre a poussé. Avec le temps, celui-ci est devenu un impressionnant autel couvert d'objets divers, de tissus, de carcasses animales...
Mais le lieu est convoité par des promoteurs immobiliers français qui rêvent d'en faire un complexe touristique.
Les destins de ses personnages vont se croiser pour un grand récit d'aventure...
Tome 2
Kililana, sur l’archipel de Lamu.
Après le passage d’une grosse tempête, Hassan est une fois de plus, à la recherche de son turbulent petit frère Naïm. Il est très inquiet car il pense qu’il est parti en mer avec le capitaine Jahid, à la pêche… aux poissons, ou aux drogues dures ?!
En fait, Naïm est bien dans la barque de Jahid mais avec Ali, qui la lui a volée. Et ils ont avec eux les ossements du vénérable Liogo Fumo, le dernier héros de leur peuple, qu’il fallait impérativement mettre à l’abri des pelleteuses et autres engins de terrassement.
En effet, les promoteurs Blancs sont parvenus à leur fin et lancent la construction de leur complexe touristique de luxe, à l’endroit même où la dépouille de Liogo Humo reposait, sous l’arbre sacré, veillée depuis toujours par Ali et ses ancêtres. Un complexe hôtelier qui risque fort de passer au second plan maintenant que la reprise des chantiers pétroliers de l’Afrique de l’Est est rendue possible depuis que le Sud-Soudan a obtenu son indépendance. Le pipe line traversera l’Éthiopie et le Kenya pour aboutir sur ses côtes, en un immense port en construction lui aussi.
Le temps de l’insouciance est fini pour Naïm et les habitants de Kililana. Leur territoire convoité est devenu la proie des industriels, d’enjeux financiers et même d’Islamistes qui font fie de l’économie et du respect de la biodiversité locales.
Benjamin Flao alterne avec brio les scènes d’aventures comme les moments plus intimistes et, imperceptiblement fait se rejoindre la fiction et la réalité, celle des difficiles conditions de vie actuelles sur l’archipel de Lamu.
Une manière pudique pour lui de s’engager pour la sauvegarde de cette partie du Kenya, qu’il aime tant.
Kililana, sur l’archipel de Lamu.
Après le passage d’une grosse tempête, Hassan est une fois de plus, à la recherche de son turbulent petit frère Naïm. Il est très inquiet car il pense qu’il est parti en mer avec le capitaine Jahid, à la pêche… aux poissons, ou aux drogues dures ?!
En fait, Naïm est bien dans la barque de Jahid mais avec Ali, qui la lui a volée. Et ils ont avec eux les ossements du vénérable Liogo Fumo, le dernier héros de leur peuple, qu’il fallait impérativement mettre à l’abri des pelleteuses et autres engins de terrassement.
En effet, les promoteurs Blancs sont parvenus à leur fin et lancent la construction de leur complexe touristique de luxe, à l’endroit même où la dépouille de Liogo Humo reposait, sous l’arbre sacré, veillée depuis toujours par Ali et ses ancêtres. Un complexe hôtelier qui risque fort de passer au second plan maintenant que la reprise des chantiers pétroliers de l’Afrique de l’Est est rendue possible depuis que le Sud-Soudan a obtenu son indépendance. Le pipe line traversera l’Éthiopie et le Kenya pour aboutir sur ses côtes, en un immense port en construction lui aussi.
Le temps de l’insouciance est fini pour Naïm et les habitants de Kililana. Leur territoire convoité est devenu la proie des industriels, d’enjeux financiers et même d’Islamistes qui font fie de l’économie et du respect de la biodiversité locales.
Benjamin Flao alterne avec brio les scènes d’aventures comme les moments plus intimistes et, imperceptiblement fait se rejoindre la fiction et la réalité, celle des difficiles conditions de vie actuelles sur l’archipel de Lamu.
Une manière pudique pour lui de s’engager pour la sauvegarde de cette partie du Kenya, qu’il aime tant.
Après s’être illustrés quelques années plus tôt, par les campagnes en pays Mossi (actuel Burkina Fasso), le capitaine Boulet et le lieutenant Lemoine végètent à Paris, partageant leur temps entre débauche, nostalgie et conférences. Dans un contexte de concurrence européenne sur les régions à coloniser (notamment l’Angleterre et l’Allemagne), l’état français compte sur eux pour parachever la conquête de l’empire français d’Afrique.
Les deux hommes sont envoyés en mission stratégique au Tchad, l'objectif étant d'atteindre le Tchad par l’ouest et le fleuve Niger et d’opérer la jonction de leur colonne sur le lac Tchad avec deux autres missions. Ils forment une colonne de 50 tirailleurs sénégalais, 200 tirailleurs auxiliaires et 700 porteurs. La colonne se met en route en janvier 1899. Le capitaine Boulet et son adjoint Lemoine sont bien décidés à parer au plus pressé quitte à se servir sur place auprès des populations locales afin de nourrir leur colonne et augmenter le nombre de leurs porteurs.
Ainsi, la violence et les massacres se succèdent au fur et à mesure que leur mission avance.
Inspirée de faits réels (la mission Voulet-Chanoine), cette histoire peu connue est racontée sur un ton tragicomique par un tirailleur survivant qui dialogue avec l’ « esprit » de la colonne…
29 octobre 1628, le Batavia quitte le port d’Amsterdam. À son bord, 341 personnes, dont 38 femmes et enfants: des marins, des artisans, des soldats, des officiers et quelques passagers qui voyageront sur le Château arrière, le lieu de l’élite du navire. Le navire appartient à la toute-puissante Compagnie hollandaise des Indes orientales, la VOC. Il doit rejoindre Java pour y charger les épices qui font la richesse des actionnaires de la Compagnie.
Amsterdam est alors le plus grand entrepôt d’Europe ; la Hollande vit un âge d’or de prospérité et de liberté. On dit Amsterdam tolérante, les esprits libres et les opprimés viennent de toute l’Europe s’y réfugier.
« Paradoxalement, en partant au 17° Siècle, j’ai retrouvé des questions économiques et politiques qui m’intéressent. » explique Christophe Dabitch « Le récit intervient dans un contexte où Amsterdam invente la bourse et donc une forme du capitalisme, un grand cycle dans lequel nous sommes toujours. La Compagnie des Indes est l’une des Compagnies commerciales les plus puissantes de l’histoire. En faisant le grand écart, je me suis demandé quels liens pouvaient exister entre cette Histoire et l’histoire meurtrière de Jeronimus. »
Parmi les hommes présents sur le Batavia, Pelsaert, Commandeur responsable des affaires commerciales, vrai patron du navire, même s’il n’est pas marin, le capitaine Ariaen, responsable du bateau mais sous les ordres de Pelsaert et Jeronimus Cornelisz, un apothicaire de Haarlem, qui fuit la terre des hommes, incapable de se remettre de la mort par la syphilis de son bébé, et de la suspicion sur sa femme que cela a engendrée.
Au cœur de ce monde d’hommes, Lucretia. Après plusieurs mois en mer, elle devient l’objet de conquêtes, discrètes de la part de Jéronimus, plus directe de la part du commandeur et du capitaine.
Mais le Batavia n’arrivera jamais à Java. Le nom de ce navire deviendra le synonyme d’une terrible expérimentation sur des îles perdues au large de l’Australie. Une expérience humaine menée par Jeronimus Cornelisz, que rien ne semblait prédestiner à jouer ce rôle.
« Le personnage principal se nomme Jeronimus et, au vu de l’histoire, on le présente généralement comme un psychopathe et un hérétique pour expliquer son parcours. Ce qui n’est pas faux. Mais c’est un homme que rien, a priori, ne prédisposait à devenir ce qu’il est devenu à l’occasion de ce naufrage. C’est une histoire très connue en Hollande ou en Australie mais très peu en France. »
Petit rappel des faits et gestes de René Caillié
Premier Européen à entrer à Tombouctou, ville mythique interdite aux Blancs, et à en être ressorti vivant, René Caillié, explorateur solitaire, effectua 4 500 kilomètres à pied, du Sénégal à Tanger.
Considéré de façon éphémère, comme le « Marco Polo de l’Afrique », il mourra dix ans après son retour, à l’âge de 39 ans, oublié de tous.
1824, René Caillé, un jeune Français qui voyage déjà depuis quelques années sur les côtes de l’Afrique, veut découvrir l’intérieur des terres, là où aucun Blanc ne s’est encore rendu. Sans argent, sans aucun soutien officiel, René Caillié s’invente une méthode pour voyager.
Il s’initie dans une tribu maure, les Braknas, à qui il dit vouloir se convertir à l’Islam. Puis, il change de nom et devient Abdallahi (le serviteur de Dieu).
Suspecté par les Blancs d’être passé du côté des indigènes, soupçonné d’espionnage par les Braknas, Caillé décide pourtant de partir pour ce périple vers Tombouctou, villede tous les fantasmes.
Il est maintenant Abdallahi, fils d’Égyptien enlevé par les Blancs, esclave affranchi, qui veut retourner sur sa terre natale. Il voyagera à pied comme un mendiant.
Tant qu’on croira à sa nouvelle identité, il aura la vie sauve.
Quand l’Histoire devient récit.
Nous sommes en 1824. René Caillié, un jeune Français, qui voyage déjà depuis quelques années sur les côtes de l’Afrique, veut découvrir l’intérieur des terres, là où aucun Blanc ne s’est encore rendu.
Installés dans leurs Comptoirs le long des côtes, les Européens sont alors fascinés et terrifiés par l’intérieur des terres. Certains peuples interdisant le passage sur ces terres conquises par l’Islam, pour un occidental s’y aventurer, c’est risquer sa vie.
Sans argent, personne ne voulant soutenir son projet, les autorités le prenant pour un illuminé, voire un charlatan, René Caillié ne démord pas de son rêve de rejoindre Tombouctou en s’enfoncant dans une Afrique encore totalement inconnue et vierge de toute présence occidentale
Il décide alors de s’inventer une autre vie, une autre origine. Pour cela, Il va d’abord s’initier dans une tribu maure, les Braknas, à qui il dit vouloir se convertir à l’Islam. Puis, il change de nom et devient Abdallahi (Le serviteur de Dieu).
Après un nouveau refus d’aide officielle, suspecté par les Blancs d’être passé du côté des indigènes, soupçonné d’espionnage par les Braknas, Caillié décide pourtant de partir pour ce périple de 4 500 kilomètres, vers Tombouctou, ville de tous les fantasmes. Il croisera le chemin d’Arafanba, lui aussi sans attaches, qui deviendra son compagnon de route et son guide, son double africain.
Maintenant, pour tous, il est Abdallahi, fils d’Égyptien enlevé par les Blancs, esclave affranchi qui veut retourner sur sa terre natale.
Tant qu’on le croira, il aura la vie sauve
Quand l’Histoire devient récit.
Nous sommes en 1824. René Caillié, un jeune Français, qui voyage déjà depuis quelques années sur les côtes de l’Afrique, veut découvrir l’intérieur des terres, là où aucun Blanc ne s’est encore rendu.
Installés dans leurs Comptoirs le long des côtes, les Européens sont alors fascinés et terrifiés par l’intérieur des terres. Certains peuples interdisant le passage sur ces terres conquises par l’Islam, pour un occidental s’y aventurer, c’est risquer sa vie.
Sans argent, personne ne voulant soutenir son projet, les autorités le prenant pour un illuminé, voire un charlatan, René Caillié ne démord pas de son rêve de rejoindre Tombouctou en s’enfoncant dans une Afrique encore totalement inconnue et vierge de toute présence occidentale
Il décide alors de s’inventer une autre vie, une autre origine. Pour cela, Il va d’abord s’initier dans une tribu maure, les Braknas, à qui il dit vouloir se convertir à l’Islam. Puis, il change de nom et devient Abdallahi (Le serviteur de Dieu).
Après un nouveau refus d’aide officielle, suspecté par les Blancs d’être passé du côté des indigènes, soupçonné d’espionnage par les Braknas, Caillié décide pourtant de partir pour ce périple de 4 500 kilomètres, vers Tombouctou, ville de tous les fantasmes. Il croisera le chemin d’Arafanba, lui aussi sans attaches, qui deviendra son compagnon de route et son guide, son double africain.
Maintenant, pour tous, il est Abdallahi, fils d’Égyptien enlevé par les Blancs, esclave affranchi qui veut retourner sur sa terre natale.
Tant qu’on le croira, il aura la vie sauve
29 octobre 1628, le Batavia quitte le port d’Amsterdam. À son bord, 341 personnes, dont 38 femmes et enfants: des marins, des artisans, des soldats, des officiers et quelques passagers qui voyageront sur le Château arrière, le lieu de l’élite du navire. Le navire appartient à la toute-puissante Compagnie hollandaise des Indes orientales, la VOC. Il doit rejoindre Java pour y charger les épices qui font la richesse des actionnaires de la Compagnie.
Amsterdam est alors le plus grand entrepôt d’Europe ; la Hollande vit un âge d’or de prospérité et de liberté. On dit Amsterdam tolérante, les esprits libres et les opprimés viennent de toute l’Europe s’y réfugier.
« Paradoxalement, en partant au 17° Siècle, j’ai retrouvé des questions économiques et politiques qui m’intéressent. » explique Christophe Dabitch « Le récit intervient dans un contexte où Amsterdam invente la bourse et donc une forme du capitalisme, un grand cycle dans lequel nous sommes toujours. La Compagnie des Indes est l’une des Compagnies commerciales les plus puissantes de l’histoire. En faisant le grand écart, je me suis demandé quels liens pouvaient exister entre cette Histoire et l’histoire meurtrière de Jeronimus. »
Parmi les hommes présents sur le Batavia, Pelsaert, Commandeur responsable des affaires commerciales, vrai patron du navire, même s’il n’est pas marin, le capitaine Ariaen, responsable du bateau mais sous les ordres de Pelsaert et Jeronimus Cornelisz, un apothicaire de Haarlem, qui fuit la terre des hommes, incapable de se remettre de la mort par la syphilis de son bébé, et de la suspicion sur sa femme que cela a engendrée.
Au cœur de ce monde d’hommes, Lucretia. Après plusieurs mois en mer, elle devient l’objet de conquêtes, discrètes de la part de Jéronimus, plus directe de la part du commandeur et du capitaine.
Mais le Batavia n’arrivera jamais à Java. Le nom de ce navire deviendra le synonyme d’une terrible expérimentation sur des îles perdues au large de l’Australie. Une expérience humaine menée par Jeronimus Cornelisz, que rien ne semblait prédestiner à jouer ce rôle.
« Le personnage principal se nomme Jeronimus et, au vu de l’histoire, on le présente généralement comme un psychopathe et un hérétique pour expliquer son parcours. Ce qui n’est pas faux. Mais c’est un homme que rien, a priori, ne prédisposait à devenir ce qu’il est devenu à l’occasion de ce naufrage. C’est une histoire très connue en Hollande ou en Australie mais très peu en France. »
« Enfant, j’ai bien connu le monde de l’alcool et de la violence. Mes parents s’étaient séparés. Maman avait retrouvé un copain. Un pauvre type, toujours entre deux vins. Quand il était bourré, fallait qu’il cogne. Moi, il ne m’a jamais touché, faut être honnête là-dessus, mais c’était pas plus facile pour autant. J’aurais voulu pouvoir défendre ma maman. J’aurais voulu pouvoir, oui… »
« Je suis née et j’ai vécu mon enfance à Oran. Mon père… il est mort quand j’avais 7 ans. J’avais 5 frères et soeurs. Maman, elle faisait des ménages. On vivait chez ma grand-mère… Et mon oncle, il donnait un peu pour qu’on s’en sorte. C’était dur, tu ne peux pas t’imaginer. »
« À cause de leur travail, mes parents m’ont placé chez une nourrice, pendant les trois premières années de ma vie. Cette femme avait un gamin, qui était bègue. Sans le faire exprès, je me suis mis à imiter sa façon de parler. Quand mes parents m’ont repris avec eux, le mal était fait. J’ai jamais réussi à me défaire de ce bégaiement. »
Paroles d'illettrisme est co-édité avec l'association BD Boum.
L’association bd BOUM est née en 1984, à Blois, à l’initiative de travailleurs sociaux, d’enseignants et de militants de l’Éducation Populaire. Dés sa création, le projet associatif s’est démarqué avec une orientation pédagogique. Le festival éponyme, en novembre, est le point d’orgue d’une activité annuelle déclinée pour tous : scolaires, publics empêchés, professionnels du livre.
Depuis 1998, bd BOUM-festival de Blois développe un projet éditorial en utilisant la bd comme outil d’information et d’insertion en réalisant des ouvrages sur différents thèmes de société à travers des témoignages : détenus, sourds, toxicomanes, jeunes des quartiers sensibles, publics illettrés, immigrés. Ces histoires de vie permettent aux témoins de se comprendre et d’analyser les événements ayant jalonné leurs histoires et d'en faire un récit leur donnant du sens dans un contexte socio-historique. Ces ouvrages permettent également d’informer le grand public et de démontrer que la bande dessinée est un médium qui participe aux mouvements concomitants de l’art et de la société contemporaine.
Le 29 octobre 1628, le Batavia quitte le port d'Amsterdam. 341 passagers ont embarqué, dont 38 femmes et enfants. Parmi eux, Jeronimus Cornelisz, un apothicaire de Haarlem fuyant ses responsabilités familiales. Ils partent pour de longs mois de mer, destination Java. Mais, en juillet1629, le navire chavire et s'échoue sur une île au large de l'Australie. C'est Jeronimus, homme faible, peureux, falot, qui se révélera un être des plus sanguinaires, qui prend le commandement des naufragés. Profitant de son pouvoir, il poursuit de ses assiduités libidineuses la belle Lucrétia et oblige les femmes à se prostituer. La révolte gronde, alors aidé d'une poignée d'hommes, il entreprend le massacre de tous ceux qui lui tiennent tête.
On comptera plus d'une centaine de victimes : hommes, femmes et même nourrissons !
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Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
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Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand