« Matthieu Blanchin raconte ses souvenirs d’enfance. Le Val des ânes remet sur la table ces moments inoubliables qu’on a tous vécus, qui nous semblaient éternels, ces minces tranches de vie dont on se fait tout un gâteau quand on est marmot. Avec cet album, on en revit des miettes, et c’est bien agréable. »
Le Psikopat
« Aujourd’hui, Mathieu Blanchin est plutôt gentil garçon, mais ce fut un gosse exécrable. Même s’il n’a plus rien à craindre des animaux de la ferme : poules, dindons ou vaches que lui et ses frères ont martyrisés, il faut souhaiter que les habitants du village de son enfance tombent le plus tard possible sur ce livre. En se plongeant dans le Val des Ânes, on retrouve l’insouciance et la cruauté du monde enfantin, qui prend toute sa dimension dans un milieu rural bourré de bêtises en suspend. De la vitre brisée au lance-pierre à la découverte de la différence des sexes. »
Fnac.com
Née le 1er mai 1852 dans le Missouri, elle est l’aînée d’une famille de six enfants. Ses parents, de pauvres agriculteurs décident de tout abandonner pour aller vers l’Ouest, à Salt Lake City, où vit la plus grande communauté mormone. Elle a 15 ans quand ses parents meurent. Élevant seule sa fratrie, elle se retrouve contrainte de les abandonner pour ne pas avoir à se marier avec un homme qui la convoite.
Sa vie aventureuse commence. Un peu partout sur les territoires des Wyoming, Dakota et Montana, on repérera le passage de cette extravagante jeune femme, cocher de diligence un jour, serveuse de saloon le lendemain, cow-girl, sage-femme, poseur de rails… mille petits boulots qui contribueront à lui tailler une réputation sulfureuse dans un Ouest à la fois sauvage et puritain et qui lui vaudront son surnom. Christian Perrissin : l’envie, c’était de ne pas faire un western, mais le portrait d’une femme qui refuse de se soumettre au diktat des hommes.
Martha Jane Cannary s’est battue jusqu’au bout de sa vie pour échapper à ce carcan et elle y a laissé sa santé. Le dessin de Matthieu est idéal pour un portrait intimiste.
Née le 1er mai 1852 dans le Missouri, Martha Jane Cannary est l’aînée d’une famille de six enfants. Ses parents, de pauvres agriculteurs décident de tout abandonner pour aller vers l’Ouest, à Salt Lake City, où vit la plus grande communauté mormone. Elle a 15 ans quand ses parents meurent. Élevant seule sa fratrie, elle se retrouve contrainte de les abandonner pour ne pas avoir à se marier avec un homme qui la convoite.
Sa vie aventureuse commence. Un peu partout sur les territoires des Wyoming, Dakota et Montana, on repérera le passage de cette extravagante jeune femme, cocher de diligence un jour, serveuse de saloon le lendemain, cow-girl, sage-femme, poseur de rails… mille petits boulots qui contribueront à lui tailler une réputation sulfureuse dans un Ouest à la fois sauvage et puritain et qui lui vaudront son surnom.
Après un premier tome primé à St Malo et à Angoulême, Blanchin et Perrissin reviennent avec la suite tant attendue de la biographie de celle que l'on appelait Calamity Jane.
Nous avions laissé Martha Jane Canary au printemps de 1869, après l¹attaque des indiens à Goose Creek, là où le capitaine Egon la baptisa « Calamity Jane ».
À la fin de l'hiver 1874, Martha Jane vit dans un ranch à la lisière des Badlands. Sa fille Janey, née en septembre 1873, a quelques semaines quand elles échouent ici. Martha Jane ne se montre pas vraiment une très bonne mère, laissant la femme du fermier s¹occuper de sa fille tandis qu¹elle s¹occupe des travaux de la ferme. Elle finit par avouer qui est le père de l¹enfant, le célèbre Wild Bill HickokŠ
Ayant perdu son emploi au Pony Express en 1877, Martha reprend une vie d’errance et de petits boulots (cuisinière dans des ranchs, infirmière, lingère...). Au fur et à mesure des rencontres, généralement bien arrosées, n’hésitant pas à jouer du poing ou du fusil, elle forge sa propre légende qui sera bientôt amplifiée par la parution d’un article d’Horacio Maguire sur les exploits de celle que l’on surnomme Calamity Jane. Femme libre, alcoolique, rebelle, volontaire, elle refuse de participer au cirque ambulant de Buffalo Bill, mais participera quelques années plus tard au Wild West Show.
Elle entreprend l’écriture des lettres à sa fille en 1879, ce qui permettra des années plus tard au grand public de découvrir une Calamity Jane plus intime.
C’est cependant une tout autre femme que nous font découvrir aujourd’hui les auteurs de Martha Jane Cannary...
« Ce qui est admirable chez Matthieu Blanchin, c’est son énergie. Vouuuu, ça pète, ça gicle, ça explose. Ça vit. Accident du travail est autobiographique, Blanchin y raconte un séjour en clinique après s’être planté un couteau dans la jambe. Durant sa convalescence, il nous fait partager le défilé de personnages qui ont occupé ses lits voisins, et ses rapports tendus avec ses chefs. Entrer dans son univers, tout simple, est un petit plaisir qu’il ne faut pas bouder. »
Le Psikopat
De retour d’Afghanistan, où il a laissé un bras, Mike Cervantès découvre le Don Quichotte de son illustre homonyme. C’est une révélation !
Joyeux, désespéré, doux et violent, tragique et drôle, d’une grande force d’évocation, Un certain Cervantès est un livre de bande dessinée ambitieux et romanesque. L’occasion pour Lax de dessiner à son envie les paysages américains. Les déserts mystérieux, secs et hostiles, et l’Amérique, d’Ouest en Est se révèlent dans leur sauvagerie, leur complexité tout autant que dans leur poésie et leurs charmes.
L’occasion aussi de réveiller l’esprit de Don Quichotte, de travailler une matière littéraire et signer un livre contemporain où Lax a le talent de désamorcer les sujets graves qui agitent nos sociétés occidentales.
Bené est un petit garçon de huit ans et demi. Bené est un enfant agité. Mutin, brutal, souvent violent. Son parcours d’écolier est rythmé par les conseils de discipline et les renvois inévitables. Bené va d’école en école.
Pour sa dernière chance avant d’être placé en foyer, il est accueilli par une institutrice qui va perturber ses certitudes parce qu’elle aura l’aptitude de déjouer ses provocations. Avec humanisme et autorité, elle va réussir à permettre à cet enfant d’apprendre et lui élargir son horizon, tout en lui imposant les limites dont il a besoin.
En apprenant à lire, Bené va changer. Béné, mis en confiance et conscient de ses capacités d’apprentissage, évolue et s’ouvre au monde.
Mais, fils d’une mère un peu trop jeune, un peu trop perdue, avec qui il vit seul, Bené va voir dans cette institutrice qui s’efforce de le sauver de la noyade, une mère de substitution. Un rôle que cette femme ne peut assumer…
Un premier livre poignant, d’une grande maturité.
Peintre des silences et des solitudes embarquées, Christian Cailleaux ne prétend pas faire le tour du sujet mais avec une économie de moyens et une palette nuancée de dessins, il s’applique à montrer des situations complexes ou romanesques, autant que d’illustrer des voix fragiles ou théoriques.
Embarqué est un documentaire émouvant et inédit dans sa forme, un portrait à facettes des hommes et des femmes, de la jeunesse qui a fait le choix de la mer comme univers professionnel tout autant que comme cadre de vie ; une place difficile à tenir, parfois. Un voyage ailleurs et loin au cœur d’un équipage militaire, vigie des zones de pêche et sentinelle pour les communautés scientifiques installées dans des zones très éloignées et très peu habitées.
Christian Cailleaux conjugue esquisses, dessins techniques et marines délicates, une approche renouvelée qui, à l’instar d’une mer rapidement changeante, reflète la variété des profils embarqués.S’embarquer c’est aussi pour certains s’éloigner d’une réalité à terre devenue trop lourde à supporter comme l’isolement de ce jeune adulte, grand enfant devenu trop vite orphelin.
Christian Cailleaux porte un regard assuré d’humanité sur ces marins d’eaux dures, et caressant l’image pittoresque du marin en lui donnant l’épaisseur et la chair des marins militaires rencontrés avec qui il a navigué, il bouscule ainsi la poésie de ces icônes puisqu’être embarqué en 2015 répond aussi à une motivation économique pour la plupart.
Le café Chez Paul est le point de ralliement du village. On y vient boire un verre, faire son loto, parler de tout et de rien, téléphoner… et tuer le temps. La vie s’écoule ainsi, dans un train-train que rien ne semble perturber. Les plats du jour non servis finiront congelés, les carreaux devraient être faits depuis longtemps, et tous les quinze jours, la patronne va refaire sa permanente. Jusqu’au jour où un incendie se déclare chez Dédé…
Un temps de Toussaint a paru dans une version noir & blanc chez Frémok en 1999, version épuisée depuis de nombreuses années.
Pascal Rabaté a repris les pages et c’est une version en couleur que Futuropolis a proposé, en novembre 2014, dans une édition hors commerce, épuisée elle aussi !
En Andalousie, de nos jours.
Il se nomme Manuel, sa famille est originaire d’Andalousie, mais il a vécu en France jusqu'à ce qu'il décide de revenir s'y installer. Il a un ami gitan qui se nomme Benito, un chanteur hors norme. Manuel et Bénito sont inséparables. Car, ce qui lie avant tous les deux jeunes hommes, c’est l’amour du flamenco, le vrai, le pur, pas le flamenco rock comme peuvent le jouer certains frimeurs méprisables (mais qui, à contrario, gagnent très bien leur vie). Ces «mauvais garçons» vivent au jour le jour d’expédients. Seul leur amour des femmes leur fait tourner la tête.
Fin des années 30, en Grèce. La dictature militaire s’installe et les libertés fondent comme neige au soleil. L’esprit frondeur de Stavros, amateur de jolies filles, de hachisch, (et vendeur occasionnel) a du mal à se plier aux lois en vigueur. Il retrouve son ami Markos à sa sortie de prison. Ensemble, autour d’un narguilé, ils refont le monde, avant d’aller jouer et danser le rebetiko toute la nuit au son du bouzouki.
Il fallait l’invention et l’élégance naturelle de David Prudhomme pour réussir à restituer l’ambiance des bouges d’Athènes dans les années trente, et l'atmosphère électrique qui y régnait. Pour ce récit, David Prudhomme puise son graphisme noir et charbonneux aux sources du cinéma néo-réaliste italien.
Quant à cette musique populaire grecque d’avant-guerre, elle est dans Rebetiko ce que Casque D’Or a été aux guinguettes du bord de la Marne : omniprésente et le moteur essentiel du récit.
L’adaptation du best-seller de Joffo, dans un coffret rassemblant les tomes 1 et 2
Tome 1
Septembre 1941. Joseph, le narrateur âgé de 10 ans au début du récit, est un petit parisien assez heureux vivant dans le 18e arrondissement de Paris, dernier d'une famille de 5 enfants (Rosette, Albert, Henri, Maurice et donc Joseph). Il est très proche de son grand frère Maurice deux ans plus âgé que lui. Mais les Allemands occupent Paris et en viennent à imposer le port de l'étoile jaune.
Ce sac de billes, Joseph le reçoit d'un camarade d'école, en échange de son étoile jaune d'enfant juif. Il a dix ans ; pour lui, c'est un jeu. Mais il faut partir seul avec son frère de douze ans, pour gagner la zone libre : passer inaperçu, travailler, faire un peu de commerce, chercher une famille éparpillée, déjouer les interrogatoires...
Avoir enfin toutes les astuces et bien du courage.…
Tome 2
Jo et Maurice, après un voyage mouvementé, arrivent à Menton, où se sont installés leurs deux frères aînés.
Ceux-ci, toutefois, sont convoqués par la police française dans le cadre du S. T. O., le service du travail obligatoire en Allemagne. Pas question pour les grands frères de se jeter dans la gueule du loup : ils décident de partir immédiatement à Nice, où se sont déjà réfugiés leurs parents.
Malgré l’occupation de la ville par l’armée italienne, l’insouciance reprend le dessus.
Las, ce sera de courte durée. L’armée italienne est remplacée par l’armée allemande, et la Gestapo resserre les mailles de ses filets pour attraper les Juifs.
Dès lors, la vie des Joffo va connaître des jours douloureux…
La peur, l’angoisse et la souffrance sont au rendez-vous
Un homme, la quarantaine, marié, deux enfants, mène une vie bien réglée par un quotidien routinier dans une grande ville occidentale au bord de la mer.
Lorsque, à l’occasion d’un petit pas de côté, il est attiré par l’horizon maritime qui se dégage entre deux immeubles et qu’il ne voyait plus. Sur un coup de tête, il décide de prendre un billet sur un paquebot pour partir ailleurs.
Hélas, ce bateau est pris dans une violente tempête. Seul rescapé, le voici naufragé sur une ile où habite une communauté très particulière. Les membres de cette communauté vivent dans une harmonie provoquée par des médicaments qui les rendent « heureux », à priori.
Il va partager cette harmonie (médicamenteuse) jusqu’au jour où il ne prend pas ses médicaments par accident, et retrouve son libre arbitre. Il décide de s’enfuir à nouveau… mais là encore…
Dans le Paris des années cinquante, où règnent Sartre et l’existentialisme, nous faisons la connaissance de Daniel Brodin. Daniel aime les livres, au point de les voler. C’est un poète.
Du moins le prétend-il.
Au café Serbier, fréquenté par la fine fleur de la littérature parisienne, il est prié de déclamer un poème de sa composition. Il choisit un poème italien, pensant qu’il est inconnu de tous. C’est un plagiat, mais c’est un triomphe. Acclamations du public subjugué. C’est tout soudain la gloire pour Brodin ! Et cette imposture, considérée comme une véritable oeuvre d’art, va le faire accepter d’une bande de « débauchés », artistes libertaires, volontairement désoeuvrés, délinquants, voleurs, alcooliques, d’où émergent Gilles, la tête pensante, Jean-Michel, la tête de brute, Ed, la tête en l’air, et d’autres encore, tous plus singuliers les uns que les autres.
Et puis il y a Colette, jolie tête bien pleine, dont Daniel tombe amoureux… La gloire de Daniel durera le temps des roses, jusqu’à ce que Jean-Michel le détrône, devenant à son tour la coqueluche du Tout-Paris littéraire.
Et quand l’étoile de celui-ci ne brillera plus, il faudra bien se résoudre à vivre d’expédients, et les choses iront en se gâtant…
Lorsque Troubs arrive à Achgabat, la première question que lui posent les Turkmènes en découvrant sa nationalité est : « travaillez-vous pour Bouygues ? »
Alors que la culture nationale semble se résumer à Gérard Depardieu et Pierre Richard, Troubs est l’invité du Centre culturel français pour superviser un recueil de poèmes de Jacques Prévert illustré par des artistes locaux.
Un événement pour ce pays où quasiment l’unique livre du pays, avec le Coran, est Rhunama, écrit par l’ancien président.
Petit résumé de la première nouvelle (La Pétition) pour vous mettre l’eau à la bouche. On vous laisse sur votre faim pour les deux autres !
Alain Le Guirrec est animateur sur une petite radio parisienne. Si petite, qu’elle ne lui permet d’interviewer que des vedettes, elles-mêmes, sans grande notoriété. Alors autant le dire, c’est la révolution à la station le jour où Alain doit interviewer la star américaine Harry Walsh. Tout le monde le regarde d’un autre œil, avec fierté. Alain en est sûr, il va enfin connaître son heure de gloire, sa carrière va exploser, c’est certain.
Le jour J, débarque une connaissance qui veut lui faire signer une pétition demandant la grâce d’un prisonnier politique sud-américain à quelques heures de son exécution. Alain se ficherait bien de cette pétition si elle n’avait pas déjà été paraphée par Marlène, la femme de sa vie (même si cette dernière ne le sait pas encore !).
Un éclair de génie traverse son esprit. Pour séduire Marlène, il va faire signer la pétition à Harry Walsh ! Et l’épater !
Et même ainsi sauver la vie du condamné !
À Paris, de nos jours.
En rentrant de l’école, une jeune fille se fait voler son téléphone portable et reçoit un coup de poignard à l’abdomen. Courageusement, en silence, elle retourne chez elle et s’effondre dans les bras de son père.
S’en suit alors une lutte contre la mort qui rôde autour d’elle ; Une longue histoire de combat pour la vie, pour la jeune fille et son père.
Rares sont les auteurs qui savent à ce point transmettre des émotions en se passant de mot. Stéphane Levallois est de ceux-là. Par la force de son dessin, il nous entraîne dans un monde violent et silencieux et déploie en quelques planches un univers étrange et pénétrant. Racket est un album atypique et intérieur.
Levallois a griffé sur de multiples carnets, case après case, son récit ; Un travail de détails où l’auteur distille une émotion grandissante à l’encre de chine, à l’aquarelle aussi, traçant des traits au plus proche de l’écriture et au plus proche de son sujet.
Roman graphique aux lignes saillantes et expressives, Racket est un récit aigre sur notre environnement citadin parfois violent et chahuté.
C’est aussi l’illustration des angoisses d’une adolescente fragilisée par l’agressivité de la ville ; la distorsion des images laisse un livre curieux et bouleversant, comme il en va des obsessions et des émotions d’une jeune fille en devenir.
Patrick, un jeune Français, arrive à Johannesburg pour travailler dans l’imprimerie d’un ami de son père.
À peine débarqué, il se demande très vite ce qu’il fait ici, tant la violence de la ville et la paranoïa sécuritaire l’effraient. Comble de malchance, l’imprimerie tombe en cessation de paiement et son futur employeur ne peut plus l’embaucher, ni même lui payer son billet de retour.
Dès lors, Patrick n’a plus d’autre choix que de visiter, sentir, s’imprégner, comprendre ce pays. Au contact des habitants des bidonvilles de Soweto, qui l’invitent sans façon à partager leur quotidien et l’accueillent tel un frère, il finit par apprécier ce pays envoûtant.
L’amour aidant, il s’y sent bien au point de se faire des dreadlocks et de renoncer à rentrer en France.
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand