Hommage au cinéma et à la littérature japonaise du XXe siècle, ce manga atypique explore le tokyo noir des années 1960, entre faits divers et mouvements étudiants.
Mélancolique et saisissant, Unlucky Young Men fait se côtoyer le sublime et la mort, à travers le portrait de petites frappes ou celui de Kenzaburo Oe, futur prix Nobel de littérature.
Sur le scénariste, voir l'article de bodoi.info : "Eiji Otsuka et le manga engagé".
Yoshio Hori, 22 ans est un véritable laissé pour compte de la bulle économique des années 80. Il alterne les jobs payés à la journée sur les chantiers de Tokyo, se nourrit de nouilles lyophilisées et claque sa paie dans les bars à hôtesses.
Il n’a d’autre choix que de vivre dans sa chambre miteuse et crasseuse de la Résidence Dokudami qui résiste comme un ultime îlot au milieu de immeubles flambants neufs de la nouvelle Tokyo.
Fin 2009, le public francophone et la critique découvraient le personnage de Yoshio Hori, anti-héros et loser magnifique du Vagabond de Tokyo – Résidence Dokudami, sélectionné à Angoulême en 2010. Avec ce nouveau volume du Vagabond de Tokyo – Tender is the night, nous retrouvons pour notre plus grand plaisir le personnage loufoque de Yoshio Hori et ses éternels déboires.
Toujours avec cet humour qui exorcise le mal-être, l’auteur Takashi Fukutani, que la critique décrit aujourd’hui comme le Bukowski du manga, nous entraîne dans les bas-quartiers de Tokyo, ceux-là mêmes où il a vécu, pour, pour livrer des portraits comiques, cruels ou attachants de ceux qu’aujourd’hui encore la société japonaise ne regarde qu’avec indifférence ou mépris.
Ce nouvel opus s’attardera sur les personnages récurrents de la série comme les voisins vicelards de Yoshio. Yoshio sera lui aux prises avec des jeunes filles bien éloignées du cliché de la poupée sage du Japon traditionnel, comme cette championne de catch ou encore cette maîtresse SM qui mettra le sympathique héros dans des positions fort inconfortables. Toujours au mauvais endroit, au mauvais moment, Yoshio va goûter à la marijuana, participer à un hold-up ou encore se lier d’amitié avec un yakuza. Dans un style graphique fluide, les 14 histoires de ce volume de 400 pages se dévorent les unes après les autres. Fukutani s’amuse à y parodier les films de yakuzas et les shonen manga de l’époque, tout en posant un regard lucide et critique sur la société japonaise, à travers des héros déchus qui tentent de survivre dans un monde où ceux qui n’ont pas réussi sont exclus d’une société qui se vautre dans la consommation pour mieux se voiler la face.
Arrêtez-vous.
Faites une pause.
Etendez-vous sous un arbre.
Ouvrez Anjin-San.
Savourez ces 464 pages de simplicité, de sérénité, ces 23 contes de la vie ordinaire.
Il n’y a rien d’exceptionnel dans ce livre, non, il y a la douceur des traits de Hinagiku, la geisha pleine d’humour, les sentiments naissants de Kirihito, la générosité d’Anjin-San.
Il y a ces magnifiques vues sur la campagne japonaise, les saisons qui filent.
Il y a des hommes et des femmes qui s’arrêtent, qui font une pause et qui regardent la mer…
e Sous-lieutenant Matsumoto, pilote de chasse de l’Armée impériale japonaise, affronte les forces aériennes alliées à bord de son Kawasaki Ki-61 «Hien» (Tony) au-dessus des Solomons, des Nouvelle-Guinée et des Philippines.
Face aux adversaires, toujours supérieurs en nombre, il survit aux combats acharnés grâce à son intelligence ainsi qu’à l’aide du chef d’escadrille Ozawa et de son mécanicien Hino.
Sa dernière mission sera d’escorter les avions Kamikaze au large des Philippines...
Seiho Takizawa s'est inspiré des récits de M. Matsumoto, qui a réellement piloté le Ki-61 entre 1943 et 1945. Basé sur son expérience, il a écrit un roman historique avec M. IKUSE.
Lancement de la division MANGA-COCKPIT avec Seiho Takizawa, auteurs de nombreux titres qui ont enthousiasmé le directeur de la Collection Cockpit, Romain Hugault !
Dans ce petit restaurant situé au fond d’une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu’on est en mesure de vous servir.
Saucisses en forme de poulpe, curry qui a reposé toute une nuit, concombres marinés dans du son de riz… Des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d’un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer…
Les habitués et clients d’un soir qui se rassemblent ici ont chacun leurs raisons, et le patron bienveillant est toujours à leur écoute, derrière son comptoir.
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel qui se distingue des jeunes auteurs d’aujourd’hui, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d’apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c’est un petit restaurant qui vous remplit le cœur et l’estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est loin de se limiter aux sushis.
Titre original : Shinya Shokudo 深夜食堂.
Traduction : Miyako Slocombe
Un centre d’accueil pour enfants en difficulté sociale abrite des personnalités fort différentes, mais tous portent en eux une solitude qu’ils gardent au fond de leur coeur.
Leur lieu de prédilection : une vieille Nissan « Sunny ». L’endroit où tout devient possible, où l’imaginaire n’a plus de limites !
Traduction : Thibaud Desbief
Dans ce quatrième et dernier tome de la série, les enfants et les apprentis partent pour un séjour d’une nuit dans une station thermale tandis que Shigeji et Ritsu doivent veiller sur la petite Attchan qui souffre de fièvre.
Alors que la fin de l’année approche, les personnages se révèlent, les malentendus se dissipent, pour le meilleur ou pour le pire…
Traduction : Miyako Slocombe
Sélection Angoulême 2017
8,99€
Le Hagakure exprime le cœur de la voie du samouraï : comment vivre et mourir sans se départir de son courage et sans perdre son honneur.
Écrit par le célèbre samouraï Yamamoto Tsunetomo (1659-1719), ce livre emblématique est un des plus grands classiques de la littérature japonaise et fut un modèle pour les combattants japonais.
Le héros de ce manga, Tsuramoto Tashiro, jeune samouraï, va tenter de suivre les conseils du fameux Yamamoto Tsunetomo, samouraï devenu moine zen.
Ce dernier lui contera les histoires et légendes des samouraïs des temps passés et l'accompagnera sur le chemin brutal et inflexible de la vie du guerrier japonais.
Traduction de Josette Nickels-Grolier
Postface de William Scott Wilson
Yoshihiro Tatsumi se détache, à la fin des années 1950, des récits d’aventure utopiste pour enfant et invente un genre uniquement destiné aux adultes : le Gekiga (« image dramatiques ou théâtrales »).
Forme d’écriture nouvelle, autant sur le plan thématique que graphique, le Gekiga apparait, rétrospectivement, comme la première tentative de théorisation de la bande dessinée japonaise. Yoshihiro Tatsumi cherche en effet une grammaire pour dénoncer, nouvelle après nouvelle, l’envers de la modernité japonaise.
Il préfère aux séquences dynamiques les images sombres, cruelles et urbaines. Sous occupation américaine, l’archipel connaît en effet de grandes transformations sociales, à commencer par un exode rural massif et une explosion des mégalopoles. Et face à l’euphorie et à l’éloge de la modernité véhiculées par le manga de jeunesse, Tatsumi oppose les exclus et les victimes de cette transformation sociale.
Père de la bande dessinée adulte et d’une nouvelle manière de raconter en images, Yoshihiro Tatsumi se double d’un portraitiste terriblement juste d’un monde bouleversé.
Cela fait maintenant plusieurs mois que Min-ho Choi a déménagé en banlieue de Séoul. Au fil des mois, grâce aux bons conseils des ses voisins, il a appris à s'occuper de ses légumes, à les observer grandir, avec amour...
Et puisqu'on parle d'amour ! C'est avec joie et impatience qu'il attend la naissance de son fils. Pour lui, voilà d'ailleurs une raison de plus pour cultiver des légumes sains et de qualité.
Peu à peu, son enthousiasme fait des émules, et tandis que notre héros revendique l'importance de préserver les semences locales et la biodiversité, c'est tout son quartier qui commence à bouger...
Et si la solution au marasme général se trouvait dans la solidarité locale ?
9,48€
Ce récit à la fois déchirant et instructif des mémoires d’une femme au cœur du crime organisé japonais est choquant et incroyablement émouvant, d’autant qu’il est raconté à la première personne.
Shoko Tendo baigne dans le luxe dès sa naissance au sein d’une riche famille de Yakuzas. Elle devient cependant la victime de harcèlement scolaire de la part des élèves et des enseignants dès lors qu’on lui colle l’étiquette de « fille de Yakuza ». A cela s’ajoutent les rages alcoolisées nocturnes de son père.
Alors que sa famille croule sous les dettes au fur et à mesure que l’influence de son père s’étiole, Tendo fréquente la mauvaise bande et d’autres hommes apparaissent dans sa vie. A quinze ans à peine, elle est déjà membre d’un gang, à dix-huit elle est dépendante de la drogue et elle passe la décennie suivante à subir des relations avec des hommes plus violents les uns que les autres.
Sa situation ne fait qu’empirer encore et encore, victime malgré elle alors qu’elle tente de se faire une place en tant que femme dans un monde violent, sexiste et corrompu par la drogue.
Ce n’est qu’après la mort de ses parents et une tentative de suicide ratée qu’elle réévalue son style de vie au travers d’une introspection difficile et salvatrice.
Et c’est grâce à une décision quasi anecdotique qu’elle reprend les rênes de sa vie et sort enfin la tête de l’eau.
Shoko Tendo a vu ses mémoires recevoir un accueil très chaleureux du public et être traduites en quatorze langues. Elle a participé à de nombreux documentaires sur sa propre vie, sur le tatouage et sur la pègre japonaise en général. On peut citer Marked : Death of the Yakuza (History Channel) et La voie de l’encre (Lardux Films).
«Sur les chemins de Yahwari, petit village de Corée, qu’il pleuve, qu’il neige, qu’il vente, que le soleil brûle ou éclaire sans chaleur, le facteur va bon train sur sa bicyclette rouge, jour après jour, pour acheminer le courrier.
Une succession d’histoires courtes, d’anecdotes où il nous livre poésie et pensées philosophiques entre deux coups de pédale.
En filigrane, Kim Dong Hwa aborde des thèmes d’actualité qu’il rend universels comme l’exode rural, la cassure entre la campagne et la ville, l’isolement des personnes âgées.
Sans tomber dans le "c’était mieux avant", La Bicyclette Rouge rend hommage à un certain art de vivre. Cette œuvre reposante tout en simplicité est atypique des parutions manga/manwha actuelles, une pause salutaire et enrichissante.»
Sabine Soma, Orient-Extrême.net
Traduction : Juhyun Choi
La tournée continue !
Le facteur parcourt toujours la campagne de Yahwari, en livrant aussi bien des lettres que du bonheur aux habitants…
Red Bicycle constitue un havre de paix, une série unique, tout à fait dans la lignée de certains titres de Taniguchi (Quartier Lointain, Le Journal de mon père) !
Dans ce deuxième tome, les histoires se font plus longues, mais le trait reste tout aussi enchanteur.
Traduction : Kette Amoruso
Un petit garçon atteint de rougeole doit garder le lit tandis que sa grande sœur et son amie révisent leurs examens ; par un jour de pluie, des enfants venus d’on ne sait où viennent s’abriter dans une bibliothèque ; une jeune fille, accusée à tort par son professeur, doit nettoyer la salle de sciences naturelles…
Huit petites histoires a priori anodines sont ici réunies, décrivant avec une infinie délicatesse les émois de jeunes adolescents à l’aube de leur découverte de la sexualité.
Dans un style proche de Yoshiharu Tsuge, Kazu Yuzuki dessine des héroïnes au corps empreint d’érotisme qui rappellent aussi parfois les dessins de Kazuichi Hanawa. La plupart de ces histoires ont été réalisées dans les années 1980 — seule la dernière a été dessinée en 1995, et leurs intrigues se déroulent presque toujours l’été, évoquant la nostalgie de l’enfance et des souvenirs de vacances dans une campagne japonaise à la verdure omniprésente.
Chaque fois ou presque des éléments a priori anodins vont venir perturber le quotidien et faire basculer le lecteur dans l’irréel et le fantastique, comme s’il assistait à un étonnant mirage d’été.
Isolés dans la campagne coréenne, les habitants du petit village de Yahwari vivent paisiblement, chaque journée apportant son lot de peine... et de courrier !
Cette série douce et bucolique suit le facteur local dans sa tournée quotidienne. Véritable pont entre le Monde et le village, celui-ci est l'ami de tous. Chacune des histoires courtes qui composent cette série rend compte des rapports entre le facteur et les villageois, du poète qui laisse chaque jour un poème dans sa boîte aux lettres au paysan qui surprend notre ami facteur en train de planter des fleurs au bord de la rivière...
Des tranches de vie touchantes et chaleureuses de la campagne coréenne, vue par un facteur...
La Pastèque publie un premier auteur du Japon !
L'incroyable histoire de la sauce soja est un recueil regroupant des histoires courtes où se mêlent esthétique européenne et techniques issues de la tradition du manga.
'Vous sentez-vous bien dans votre milieu ? Pouvez-vous dire que jamais vous n'avez l'impression d'y être un étranger ?"
Fumio Obata pose un regard singulier sur le mondre contemporain, où l'indifférence lui apparaît comme le mal le plus partagé. La finesse des observations qui fondent ces fables actuelles, d'une grande qualité visuelle, suggère aussi une morale à méditer : cette indifférence au réel ne serait pas une fatalité...
Mama cherche désespérément à faire survivre le Club qui va de plus en plus mal et menace de fermer.
Dans une oeuvre toujours tout en finesse de la part de Kazuo Kamimura, nous continuons de suivre cette mère dans son combat quotidien pour vivre avec dignité et offrir un avenir paisible à sa fille Asako.
Sélection Angoulême 2017
Dans ce petit restaurant situé au fond d’une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu’on est en mesure de vous servir.
Saucisses en forme de poulpe, curry qui a reposé toute une nuit, concombres marinés dans du son de riz… Des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d’un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer… Les habitués et clients d’un soir qui se rassemblent ici ont chacun leurs raisons, et le patron bienveillant est toujours à leur écoute, derrière son comptoir.
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel qui se distingue des jeunes auteurs d’aujourd’hui, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d’apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c’est un petit restaurant qui vous remplit le cœur et l’estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est loin de se limiter aux sushis.
Titre original : Shinya Shokudo 深夜食堂.
Traduction : Miyako Slocombe
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l’entreprise familiale, «Daitomé», dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c’est l’humanité et la volonté», il fait le serment de reconstruire Daitomé.
Mais son retour à la maison natale s’accompagne de l’arrivée de Ritsu, amie d’enfance devenue orpheline et qu’il embauche comme assistante, et de cinq garnements au caractère bien trempé échappés d’un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles.
Adaptation du célèbre roman de Shûgorô Yamamoto situé dans la période Edo et que Minetarô Mochizuki transpose dans le Japon d’aujourd’hui, Chiisakobé attire d’abord le regard par son dessin pop, agréable et élégant, qui nous donne envie de nous attarder sur chaque case. De même, la finesse des expressions de ces personnages au caractère complexe nous incite à nous reconnaître en eux.
D’une composition originale et rempli d’humour, l’univers de Chiisakobé charme le lecteur tout en le prenant rapidement dans son suspense : Shigeji parviendra-t-il à reconstruire Daitome ?
Comment va évoluer la relation entre Ritsu et Shigeji ?
Quel avenir attend les orphelins ?
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand