Née le 1er mai 1852 dans le Missouri, elle est l’aînée d’une famille de six enfants. Ses parents, de pauvres agriculteurs décident de tout abandonner pour aller vers l’Ouest, à Salt Lake City, où vit la plus grande communauté mormone. Elle a 15 ans quand ses parents meurent. Élevant seule sa fratrie, elle se retrouve contrainte de les abandonner pour ne pas avoir à se marier avec un homme qui la convoite.
Sa vie aventureuse commence. Un peu partout sur les territoires des Wyoming, Dakota et Montana, on repérera le passage de cette extravagante jeune femme, cocher de diligence un jour, serveuse de saloon le lendemain, cow-girl, sage-femme, poseur de rails… mille petits boulots qui contribueront à lui tailler une réputation sulfureuse dans un Ouest à la fois sauvage et puritain et qui lui vaudront son surnom. Christian Perrissin : l’envie, c’était de ne pas faire un western, mais le portrait d’une femme qui refuse de se soumettre au diktat des hommes.
Martha Jane Cannary s’est battue jusqu’au bout de sa vie pour échapper à ce carcan et elle y a laissé sa santé. Le dessin de Matthieu est idéal pour un portrait intimiste.
Il s’appelle Vermont Washington.
Si son patronyme est symbole de liberté pour l’Amérique, il ne l’est pas pour lui, jeune afro-américain. Son quotidien, et celui de sa famille, n’est fait que d’injustices, de restrictions, de discriminations et d’humiliation. Ils sont victimes du racisme ordinaire, qui sévit encore en ces années soixante, où le Ku Klux Klan, vestige insupportable de l’esclavage, n’en finit pas de mourir.
Une haine omniprésente perçue à travers le travail, l’éducation, les lieux publics… Même les forces de l’ordre soudoyées participent à cette infamie rampante.
C’est donc avec le Black Panther Party, mouvement révolutionnaire afro-américain dont il est membre, que Vermont Washington entend lutter, entouré de ses amis (Noirs), pour leurs droits à l’égalité. Il se heurte régulièrement et violemment à son père, chez qui il vit avec sa femme et leur petite fille, celui-ci ayant choisi de faire profil bas et lui conseillant d’en faire autant, jusqu’au jour où il les met tous les trois à la porte de chez lui.
Le destin de Vermont Washington est rythmé par le programme des Black Panthers. Au point 6, ils demandent la fin du service militaire pour les Noirs.
C’est donc tout naturellement que le Party organise une manifestation contre la guerre du Vietnam, qui est violemment réprimée par la police. Réfugiés dans leur local, Vermont et ses camarades s’apprêtent à subir l’attaque des forces de l’ordre.
Etui réunissant les deux volumes de Motherfucker.
Tome 1
Il s’appelle Vermont Washington. Si son patronyme est symbole de liberté pour l’Amérique, il ne l’est pas pour lui, jeune afro-africain.
Il habite à Los Angeles, dans le quartier de Watts, célèbre pour les émeutes survenues, en août 1965, à la suite du 100è anniversaire de l’abolition de l’esclavage aux Etats-Unis.
Son quotidien, et celui de sa famille, n’est fait que d’injustices, de restrictions, de discriminations et d’humiliation. Ils sont victimes du racisme ordinaire, qui sévit encore en ces années soixante, où le Ku Klux Klan, vestige insupportable de l’esclavage, n’en finit pas de mourir. Une haine omniprésente perçue à travers le travail, l’éducation, les lieux publics… Même les forces de l’ordre soudoyées participent à cette discrimination générale.
C’est donc avec le Black Panther Party, mouvement révolutionnaire afro-américain dont il est membre, que Vermont Washington entend lutter, entouré de ses amis (Noirs), pour leurs droits à l’égalité.
Cependant, Pete, son meilleur ami Blanc, qui pourtant soutient le parti, le pousse à être raisonnable, craignant qu’il ne finisse en prison. Son père, chez qui il vit avec sa famille, ayant choisi de faire profil bas, se heurte violemment à lui, lui conseillant de se soumettre. Quant à sa femme impuissante, elle vit dans la peur qu’il ne se fasse tuer à tout moment.
De provocations racistes en humiliations permanentes, le destin de Vermont Washington est rythmé par le programme en dix points des Black Panthers : ils luttent pour la liberté, le plein emploi, pour que le peuple Noir ne soit plus volé par la capitalisme, pour des logements décents, l’éducation…
Tome 1
Le point 6 du programme des Black Panthers demande la fin du service militaire pour les Noirs.
C’est donc tout naturellement que le Party organise une manifestation contre la guerre du Vietnam, qui est violemment réprimée par la police. Réfugiés dans leur local, Vermont Washington et ses camarades s’apprêtent à subir l’attaque des forces de l’ordre.
Il s’appelle Vermont Washington. Un nom symbole de la liberté pour l’Amérique, mais guère pour lui, qui est noir.
Le quotidien de Vermont et de sa famille n’est fait que d’injustice et d’humiliation. Il est victime du racisme constant sévissant dans cette société où s’agitent encore le racisme et le Ku Klux Klan, vestiges insupportables de l’esclavage et de la guerre de sécession. Membre du Black Panther party, il lutte pour les droits à l’égalité.
Pourtant, même ses meilleurs amis blancs auraient tendance à lui conseiller de se tenir à carreau, pour éviter de s’attirer des ennuis.
De provocations racistes en humiliations constantes (une personne de couleur est moins bien payée qu’une personne blanche, on refuse de le servir dans les bars…), Vermont Washington nous raconte son tragique destin, rythmé par le programme d’éducation et de lutte en dix points des Black Panthers.
Il s’appelle Vermont Washington. Si son patronyme est symbole de liberté pour l’Amérique, il ne l’est pas pour lui, jeune afro-africain.
Il habite à Los Angeles, dans le quartier de Watts, célèbre pour les émeutes survenues, en août 1965, à la suite du 100è anniversaire de l’abolition de l’esclavage aux Etats-Unis.
Son quotidien, et celui de sa famille, n’est fait que d’injustices, de restrictions, de discriminations et d’humiliation. Ils sont victimes du racisme ordinaire, qui sévit encore en ces années soixante, où le Ku Klux Klan, vestige insupportable de l’esclavage, n’en finit pas de mourir. Une haine omniprésente perçue à travers le travail, l’éducation, les lieux publics… Même les forces de l’ordre soudoyées participent à cette discrimination générale.
C’est donc avec le Black Panther Party, mouvement révolutionnaire afro-américain dont il est membre, que Vermont Washington entend lutter, entouré de ses amis (Noirs), pour leurs droits à l’égalité.
Cependant, Pete, son meilleur ami Blanc, qui pourtant soutient le parti, le pousse à être raisonnable, craignant qu’il ne finisse en prison. Son père, chez qui il vit avec sa famille, ayant choisi de faire profil bas, se heurte violemment à lui, lui conseillant de se soumettre. Quant à sa femme impuissante, elle vit dans la peur qu’il ne se fasse tuer à tout moment.
De provocations racistes en humiliations permanentes, le destin de Vermont Washington est rythmé par le programme en dix points des Black Panthers : ils luttent pour la liberté, le plein emploi, pour que le peuple Noir ne soit plus volé par la capitalisme, pour des logements décents, l’éducation…
Mai 1890.
Le capitaine au long cours de la marine britannique, Josef Konrad Korzeniowski quitte Bruxelles, puis Bordeaux pour le Congo, en dépit d’un sentiment d’appréhension inhabituel chez lui… Il part pour trois ans, mais qu’est-ce pour lui, après six années passées en Orient, ou son séjour en Australie. Il a été embauché par une compagnie belge, pour prendre le commandement d’un steamer, afin de remonter le fleuve jusqu’au Haut-Congo, une région de ténèbres...
Car là est officiellement leur mission à tous ces messagers de lumière.
Au nom du roi Léopold, « tout ce qui se réalise au Congo à pour but premier le développement du territoire et l’émancipation des populations » qu’il faut sauver de leurs mœurs effroyables. La réalité est bien sûr tout autre, il s’agit avant tout de pourvoir aux intérêts commerciaux de la compagnie via le trafic d’ivoire, et de prendre de vitesse les autres pays européens et arabes dans leur course à la colonisation, afin d’être les premiers à arracher les richesses des entrailles de ce pays…
Hubert était champion de boxe. Sa fille, Barbara, est aujourd’hui photographe et cinéaste. Un récit autobiographique poignant.
L’album est accompagné du DVD du film écrit et réalisé par Barbara Pellerin. Ce que le film ne dit pas, le livre le montre. Deux récits complémentaires qui révèlent le portrait unique d’une relation d’un père à sa fille.
« Cadet d’une famille de quatorze enfants, mon père a l’habitude de se faire respecter avec les poings. À 18 ans, galvanisé par un titre de champion de France Espoir, il interpella ma mère dans la cour de la filature Badin [à Barentin, en Seine-Maritime] pour lui raconter un rêve qu’il avait fait la nuit même : l’épouser. Durant dix-sept ans, ma mère accompagna ses victoires et ses défaites.
Pourtant, de leur histoire je ne me souviens que des disputes, de mon père fou de rage, fou d’amour, fou de jalousie, fou d’une violence qui le dépassait.
J’ai baigné dans la crainte d’un débordement, d’un coup de folie, du meurtre. Imprévisible, il se transformait brusquement en un volcan de fureur que rien ne semblait pouvoir arrêter, même pas moi. […] « Au milieu d’un gouffre creusé depuis l’enfance, la boxe deviendra un virage, une virgule, un trait d’union entre mon père et moi. Je parviens à me fondre au milieu des boxeurs qu’il entraîne. Pas à pas, je le guette, l’observe, et me rapproche. Trop loin, soudain trop proche, il se dérobe, je le repousse, il me regarde. Lorsque je commence à comprendre que ce film prend le chemin d’une quête, celle sans doute impossible de comprendre mon père, la vie s’arrête brusquement un dimanche matin de novembre. »
Barbara Pellerin
Alors âgé de 77 ans, Albert Cohen publie un livre qui révèle l’événement marquant qui a dévasté son enfance et marqué sa vie : sa découverte de l’antisémitisme.
Le jour de ses dix ans (en 1905), le jeune Albert arpente les rues marseillaises à la recherche d’un petit cadeau pour sa mère. Il est fasciné par le bagout d’un camelot qui s’adressera pourtant à lui en le traitant de « sale youpin ! ».
Les insultes antisémites résonneront pour toujours à ses oreilles.
Dans ce livre intense, triste mais sans virer jamais au pessimisme, Albert Cohen déploie la beauté de son écriture lyrique pour montrer la violence de sa blessure enfantine. Un beau livre, malheureusement intemporel, qui fait réfléchir sur l’absurdité de toutes les formes de racisme et de discrimination.
Plus de cent après les faits, Luz s’empare de ce récit autobiographique pour en donner une version illustrée poignante et inédite. Sans jamais trahir l’oeuvre de l’écrivain, il raconte l’intégralité de l’histoire mais ne garde du livre que le monologue destructeur du camelot et la puissance du texte des trois derniers chapitres, qui évoque les camps de la mort.
Pas question de se reposer, ni pour les personnages, ni pour les lecteurs ! Au fur et à mesure que des réponses sont données, le mystère ne fait pourtant que s'épaissir. Outre cette machine à écrire noire, ancien modèle soviétique, quels étranges liens relient Margaret et Lucie ? Et d'ailleurs quel est le passé de cette dernière ? Pourquoi est-elle menacée ainsi que la jeune Soledad qui l'a recueillie dans son squat ? Quel est le rôle de la secte « Church of God » ? Comment est mort l'inspecteur adjoint Karakis ? Et pourquoi le prénom de Lucie est-il « gravé » comme un stigmate, dans la paume d'un de ses mains ?
Des entrailles des villes à celles du cerveau humain, une menace inconnue grandit. En découvrant le passé de Lucie, celui du docteur et télépathe Sacha Iablokov et l'histoire du projet Laïka, il sera peut-être possible de l'évincer...
Couleurs : Nadine Thomas, Kness
Alors que Lucie et son amie Soledad, capturées par les sbires de la « Secte », rongent leur frein dans la cellule d'un immense complexe souterrain, dans l'attente d'une expérience inconnue, Sacha Iablokov et Carole Szymanski découvrent enfin l'ex-orphelinat soviétique où, quarante ans plus tôt, on élevait des jeunes filles en vue de recherches paranormales. Sacha le sent, la clef de ses étranges pouvoirs, se situe quelque part au sein de cette bâtisse à l'abandon, hantée par les fantômes de Lucie et des autres adolescentes qui y ont vécu. Adolescentes ? Alors pourquoi y trouve-t-on des lits de bébés ? Quel est le secret de ces chambres, toutes identiques ? Et que préparent le Pasteur Berg et ses militants de la Church Of God ? Autant de questions auxquelles l'inspecteur Roberval aimerait, lui aussi, trouver des réponses. Car tout l'indique désormais : une nouvelle et indicible catastrophe se précise. Mais de quelle nature exactement ? Et surtout, où et quand ? Si tant est que ces notions veuillent encore dire quelque chose dans toute cette histoire...
Promis, cet ultime volet apporte toutes les réponses aux énigmes précédemment posées !
Couleurs : Nadine Thomas, Kness
Après un premier tome primé à St Malo et à Angoulême, Blanchin et Perrissin reviennent avec la suite tant attendue de la biographie de celle que l'on appelait Calamity Jane.
Nous avions laissé Martha Jane Canary au printemps de 1869, après l¹attaque des indiens à Goose Creek, là où le capitaine Egon la baptisa « Calamity Jane ».
À la fin de l'hiver 1874, Martha Jane vit dans un ranch à la lisière des Badlands. Sa fille Janey, née en septembre 1873, a quelques semaines quand elles échouent ici. Martha Jane ne se montre pas vraiment une très bonne mère, laissant la femme du fermier s¹occuper de sa fille tandis qu¹elle s¹occupe des travaux de la ferme. Elle finit par avouer qui est le père de l¹enfant, le célèbre Wild Bill HickokŠ
Paris, de nos jours, dans la torpeur de l’été.
Les sens sont en éveil, les corps exultent. Robinson connait la crise. Celle de son entreprise, celle de son couple. Son vidéo club est en perte de vitesse et sa petite amie le quitte. Il trompe l’ennui avec la gironde Amandine et c’est un fiasco. Son vieux père débarque après une énième scène avec sa femme, sa sœur s’inquiète de la disparition de son ado, Gaspard, qui aurait une maîtresse plus âgée. Or, la voisine de Robinson a disparu elle aussi.
Amandine, de son côté, qui craint une ablation des seins, retrouve son amie Charlène de retour du Pérou où elle a laissé son amoureux. Elle est à la recherche de son père biologique. Un patron de vidéo-club...
Chronique douce-amère inspirée des nouvellistes américains, L’Inversion de la courbe des sentiments raconte un quotidien urbain où le palpitant est fragilisé. Jean-Philippe Peyraud a l’écriture et le dessin cynique et pétillant. Il est l’auteur des choses de la vie qu’il sait raconter puisqu’il sait observer le monde. Il travaille, malicieux, sensible un dessin a priori léger pour servir mieux encore une histoire romantico-cruelle qui finit bien comme dans les contes. L’humour se dispute au grave, l’intime se conjugue à l’absurde. La vie n’est pas toujours rose, ni l’herbe plus verte ailleurs, et l’on voit rouge parfois.
Peyraud sait rendre la thermographie de nos existences d’adultes chahuteurs. L’Inversion de la courbe des sentiments est une fantaisie en couleurs acidulées, une friandise qui pique. C’est le grand manège. Le tourbillon de la vie !
1867. Pittsburgh, États-Unis d’Amérique.
Dans la ville industrielle grouillante et riche, Joseph Wallace, 33 ans, est photographe et tire le portrait des nombreux notables, ce qui lui assure une vie confortable mais sans possible fantaisie artistique. Il s’engage à suivre l’expédition dans les Montagnes Rocheuses. Le programme dirigé par le Docteur Walter est financé par le Gouvernement américain afin d’explorer de nouvelles zones à cartographier et découvrir si de nouveaux gisements d’or ou de charbon sont exploitables, s’il existe, toujours plus loin, d’autres terres à coloniser.
Parmi les plus éminents scientifiques de la côte Est, Joseph Wallace a pour mission de photographier les régions traversées, le relief, la végétation, et aider à cartographier le territoire. Mais l’expédition se révèle être un voyage intime sans retour.
Suivant le dédale géographique, Wallace entame un cheminement artistique. Le tranquille époux et père de famille rencontre les Indiens Sioux Oglalas et sa vie va s’en trouver changée. Il est désormais Etunwan, Celui-qui-regarde. De retour en ville il n’aura de cesse de vouloir retourner en terres indiennes, d’autant qu’il a aimé corps et âme la femme papillon. Le projet d’envergure humaniste, ethnographique et artistique devient une nécessité pour lui qui connaît « un détachement lent, progressif, physique et cérébral » du monde blanc, telle une mue animale pour appréhender le réel d’une façon nouvelle, alors que la photographie est un art neuf en rapide évolution technique.
La mission artistique du photographe est là : ne plus seulement reproduire la réalité des êtres et des choses mais les sublimer. Il faut raconter avec le regard. Au-delà de tout progrès technique.
C’est là l’essence de son art, c’est ce qu’il aura solennellement appris de ces voyages à l’Ouest.
Etunwan, Celui-qui-regarde n’est pas un western. C’est le récit romanesque en bande dessinée du génocide amérindien à travers l’oeil du photographe, nommé « l’attrapeur d’ombre » chez les Sioux. L’histoire d’une beauté qui se perd, d’un monde qui se meurt. Un récit certes très documenté, mais où l’inspiration, le goût de l’écriture, la maturité de son graphisme prennent toute leur mesure. Etunwan est une oeuvre très singulière et personnelle de Thierry Murat qui pour ses derniers livres s’était associé à d’autres signatures : Rascal, Ernest Hemingway…
Un livre étape dans les méandres de l’exploration passionnée de la création artistique.
L’Hypermarché est-il un ogre qui dévore et détruit tout sur son passage ou est-il source de développement ?
Comment fonctionnent les filières d’approvisionnement ?
Les producteurs locaux sont-ils les laissés-pour-compte de ce gigantisme ?
Les clients sont-ils les victimes de la guerre économique liée au modèle de consommation ou en sont-ils les bénéficiaires ?
Les hypermarchés sont-ils responsables de la malbouffe ?
Le petit commerce et la vie des centres-villes sont-ils victimes ou coupables de ne pas s’être adaptés ?
En 1972, en périphérie d’Hénin-Beaumont, sortait de terre le plus grand hypermarché de France, le Grand A. 40 ans plus tard, les auteurs dressent le portrait de cette ville dans la ville. À la construction du Grand A, nul ne savait quelles seraient les conséquences de sa présence sur le centre-ville d’Hénin-Beaumont et sa région.
Aujourd’hui, le taux de chômage est très élevé dans la commune, mais le Grand A en demeure le poumon économique Pour mieux comprendre le fonctionnement de cet hypermarché, les auteurs ont interrogé des clients, bien sûr, mais aussi, des caissières, des employés, la direction, des agriculteurs et des fournisseurs. Ainsi que les commerçants délaissés du centre-ville.
Jean, la trentaine heureuse, est employé municipal en province. Célibataire, il mène une vie paisible le jour, et passe ses nuits sur Internet. Il aime dialoguer avec des inconnus aux pseudonymes extravagants, télécharger des films pornographiques, écouter de la musique, jouer à des jeux en ligne d’une grande violence où le massacre est de mise.
Sa vie en ville se confond à sa vie d’internaute, les échanges nocturnes avec Timfusa qui semble vivre dans le Wyoming sont aussi nécessaires que de tomber amoureux de Carine au fil des jours.
Jusqu’à ce que Jean soit rattrapé par la réalité de la vie qui passe, et de la maladie qui l’emportera.
Un livre de bande dessinée qui épouse le prisme éclaté de nos écrans ouverts et déshabille les pratiques internautes débridées.
Histoire d’amour et de rencontres, La Vraie vie est un roman graphique qui révèle avec acuité et sagacité la place accordée désormais à Internet dans notre mode de vie.
En se replongeant dans ses cahiers intimes, notes, croquis, photos prises au Japon lors de ses nombreux voyages, le désir est venue à Igort de faire un livre sur la culture japonaise. Il faut dire que c’est un domaine qu’il connaît bien. Il est l’un des rares auteurs occidentaux à avoir travaillé directement pour un éditeur japonais, et cela, durant onze années.
Après avoir fait un tour d’horizon de l’édition manga au Japon vue de l’intérieur, les méthodes de travail, les relations avec les éditeurs de Kodansha publishing, il nous entraîne tout naturellement dans son sillage à la rencontre d’artistes qu’il a eu la chance de côtoyer comme Jirô Taniguchi, Katsuhiro Ôtomo…
En sa compagnie et celle d’Hayao Miyazaki, nous visitons les studios Ghibli. Remontant le temps, Igort nous plonge également dans la beauté de oeuvres d’Hokusai et Hiroshige.
Le cinéma non plus n’est pas oublié, avec un chapitre consacré à L’empire des sens et une rencontre avec Takeshi Kitano.
Fort bien documenté, l’ouvrage d’Igort n’oublie pas de replacer les oeuvres ou auteurs cités dans leurs contextes culturels et historiques.
Confrontés à la beauté sauvage de la nature comme de la ville, les personnages de Gipi, le plus souvent adolescents, sont en quête d’eux-mêmes.
Publiés pour la première fois en volume, ces douze récits sont autant de fulgurances de la vie bien dessinée de l’auteur. Gipi accompagne le sillon de nos vies, travaille le motif de la mémoire et du passage d’un âge à l’autre, ses thèmes favoris que, de titres en titres il file, tissant ainsi le motif universel du temps qui passe… Chez Gipi, les hommes ont aussi le défi d’être heureux dans le présent mais le souvenir d’un drame est souvent plus fort.
Trait simple et texte à l’os ; on se souvient longtemps de ses histoires de petits héros ordinaires…
En 1460, dans l’austère province du Rouergue, Luce est la jeune veuve du seigneur de Mirail. Pourtant elle décide, telle Antigone, de pleurer la mort de son frère, tué dans le duel qui l’opposait à son défunt époux.
L’affront est terrible pour les de Mirail. Mais, Luce est prête à défier toutes les conventions, toutes les traditions, jusqu’à s’opposer au tout puissant seigneur de Rocmirail. Son châtiment sera à la hauteur de sa détermination.
En ces temps troublés, elle devient, alors, objet de vénération pour les catholiques et d’exécration pour les protestants.
Des siècles plus tard, Louis Huret découvre ce que fut toute son histoire.
Celle de Luce de Mirail, qu’on surnomma l’Antigone de la Basse Marche du Rouergue.
Née le 1er mai 1852 dans le Missouri, Martha Jane Cannary est l’aînée d’une famille de six enfants. Ses parents, de pauvres agriculteurs décident de tout abandonner pour aller vers l’Ouest, à Salt Lake City, où vit la plus grande communauté mormone. Elle a 15 ans quand ses parents meurent. Élevant seule sa fratrie, elle se retrouve contrainte de les abandonner pour ne pas avoir à se marier avec un homme qui la convoite.
Sa vie aventureuse commence. Un peu partout sur les territoires des Wyoming, Dakota et Montana, on repérera le passage de cette extravagante jeune femme, cocher de diligence un jour, serveuse de saloon le lendemain, cow-girl, sage-femme, poseur de rails… mille petits boulots qui contribueront à lui tailler une réputation sulfureuse dans un Ouest à la fois sauvage et puritain et qui lui vaudront son surnom.
Ayant perdu son emploi au Pony Express en 1877, Martha reprend une vie d’errance et de petits boulots (cuisinière dans des ranchs, infirmière, lingère...). Au fur et à mesure des rencontres, généralement bien arrosées, n’hésitant pas à jouer du poing ou du fusil, elle forge sa propre légende qui sera bientôt amplifiée par la parution d’un article d’Horacio Maguire sur les exploits de celle que l’on surnomme Calamity Jane. Femme libre, alcoolique, rebelle, volontaire, elle refuse de participer au cirque ambulant de Buffalo Bill, mais participera quelques années plus tard au Wild West Show.
Elle entreprend l’écriture des lettres à sa fille en 1879, ce qui permettra des années plus tard au grand public de découvrir une Calamity Jane plus intime.
C’est cependant une tout autre femme que nous font découvrir aujourd’hui les auteurs de Martha Jane Cannary...
2,50€
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité (générosité, courage, ténacité, loyauté, sagesse) dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Livré à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
8,99€
Les tribulations de Blanche Épiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte.
Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l’ignoble banquier Adolphus et pléthore d’autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par le vélocipédiste Défendar, un héros masqué et capé mais d’une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l’Afrique et l’Amérique de la Belle Époque.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d’une intégrale en quatre volumes.
Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l’histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels
Sur Egosfer, en l’an 227 après Ego-One, chaque humain vit en fonction d’un journal qui lui prédit chaque jour son emploi du temps, minute après minute. La ‘‘Grande Cause’’, une organisation rebelle lutte contre cette dictature déguisée, afin de rendre à l’homme son libre arbitre.
12,99€
Britannia... Pictes, Celtes, Saxons, Angles, Vikings, se disputent la Grande-Bretagne sur les ruines de l'empire romain.
Belladonna ne laissera pas sa part !
Dans un siècle de sang et de feu, dans le nord celtique britannique, Belladonna, guerrière Viking, est à la tête d'une armée de femmes. Ces combattantes mènent une guerre féroce contre les Pictes alliés à des êtres fantastiques, cruelles et mythiques.
Dans un paysage sombre et impitoyable, Belladonna mettra sa force surnaturelle et son anatomie sculpturale pour mener à bien son combat.
Compilation des premiers comics de la série parus aux USA, cette version française est très convoitée par les férus du genre.
Entre Red Sonja et Xenia, Belladonna est un album qui associe aventures épiques et érotisme.
Coloriste : Digital Studios
Après avoir fui Egosfer, nos héros intègrent les rangs de la résistance et préparent le renversement d’Ego One. Mais pour quel avenir ?
La série Egovox imagine une nouvelle forme de dictature, s’appuyant sur les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle, les médias et… notre égocentrisme grandissant ! Bien sûr, pour l’instant, tout ceci n’est que pure fiction…
Les Âges sombres, la Grèce baigne en pleine mythologie. De cette époque, nous sont parvenues des légendes, toutes plus envoûtantes les unes que les autres. Voici l’une d’elles : la fabuleuse légende d’Atalante.
Abandonnée dès sa naissance par son père, puis condamnée à vivre sans amour par la déesse Héra, elle est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux.
Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d’Or, seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure. Le mythe de la plus rapide des chasseresses est en marche.
Le souffle épique de la grande aventure est de retour sur Troy !
Les aventures de Lanfeust dans sa quête du fabuleux ivoire du Magohamoth et par-delà les étoiles ont pris fin. L’heure est venue pour notre héros à la rousse tignasse et son fidèle compagnon de route, le Troll Hébus, de rentrer au bercail! Mais que leur réserve ce retour tant attendu sur Troy ? Que s’est-il passé en l’absence du détenteur du pouvoir absolu ? Que sont devenus ses amis ? Quels nouveaux mystères attendent le protecteur de Troy...? Tant de questions qui trouveront réponses dans ce premier tome des nouvelles aventures de Lanfeust ! Mais au fait, c’est quoi cette fameuse énigme ?!? Gottferdom ! Gageons que les retrouvailles seront aussi chaleureuses qu’inattendues...
L’énigme Or-Azur est une invitation à découvrir ou redécouvrir l’un des plus grands héros du 9e art et le monde mythique de Troy et qui s’adresse autant aux lecteurs de la première heure qu’aux jeunes aventuriers en herbes !
Couleurs : Frédéric Besson
8,99€
Quelque part au long de la Cinquième avenue une enfant frêle, dont la tenue trop modeste détone en ce haut lieu de l'élégance new-yorkaise, trottine à pas menus et apeurés.
C'est Blanche Epiphanie, la petite fleur de France qui fuit, tel un oiseau craintif, le redoutable banquier Adolphus, qu'elle vient d'entrevoir dans le grand hôtel où le détective Nick Carter l'avait attirée...
Les tribulations de Blanche Epiphanie figurent parmi les aventures les plus rocambolesques du panthéon de la bande dessinée adulte. Au départ porteuse de chèques, la jeune et gironde Blanche parcourt le monde malgré elle tout en essayant de protéger sa vertu. Harcelée par l'ignoble banquier Adolphus et pléthore d'autres vilains personnages, jalousée par Morena, sauvée par Défendar, un justicier masqué et capé mais d'une incommensurable maladresse, on la retrouve dans l'Afrique et l'Amérique de la Belle Epoque. Les références au roman populaire et au film à épisodes sont légion.
Blanche Epiphanie a longtemps détonné les lecteurs de France-Soir et a même été chantée par Henri Salvador.
Pour la première fois, cette oeuvre créée par deux maîtres incontestés du neuvième art est présentée sous la forme d'une intégrale en quatre volumes. Vous lirez des épisodes inédits en albums et découvrirez, dans le cadre de dossiers explicatifs, l'histoire de sa publication à travers des documents exceptionnels.
"Roland Barthes écrit mille autres choses fines et judicieuses sur l'absence de l'être aimé, sur le "je t'aime", sur le coeur, sur les larmes, etc, qui trouvent des illustrations parfaites dans les aventures de Blanche Epiphanie. C'est à se demander si, sous le masque du merveilleux Défendar, ne se cache pas Roland Barthes"
Extrait de l'introduction de Bernard Pivot.
Un homme, deux femmes : trois naufragés sur une planète pleine de dangers !
Officier sur le vaisseau « Brume de comète », Granite est une jeune femme vivante et légèrement indisciplinée. Ses écarts lui valent de finir la croisière en tant que serveuse ! Soudain malmené dans une tempête sans précédent, le vaisseau se disloque et dérive vers une planète inconnue. Rescapés de ce naufrage, Granite, la belle Calista et le jeune technicien Narvath vont devoir s’unir pour survivre. Le sort leur réservera bien des surprises…
Découvrez la nouvelle grande série de C. Arleston, un univers foisonnant où l’humour côtoie la grande aventure, et où explose toute l’énergie graphique de A. Floch !
2,50€
Récemment sorti de prison grâce à une remise en liberté conditionnelle, Mick Thorne est fermement décidé à rester loin des ennuis et ne plus jamais retourner derrière les barreaux. Malheureusement il ne se doute par que la promesse qu’il a faite à l’un de ses co-détenus va le conduire directement dans la gueule du loup !
Poursuites, bagarres, flingues, trahisons, femmes fatales, tous les ingrédients du polar sont ici réunis pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page !
0,99€
Mademoiselle Blok est une jeune femme comme les autres.
Sensible, délicate, 1m90 et musclée comme Schwarzenegger, cette super-héroïne à la française, à mi-chemin entre Wonder Woman et Tank Girl, se retrouve mêlée, dans cette série décalée, à une sombre histoire de conspiration qu'elle doit résoudre avec l'aide du fringant Agent Gondrin, jeune premier d'une agence gouvernementale.
Naufragés sur la planète Ythaq, la jeune officier Granite et le technicien Narvarth cherchent à sauver Callista, la sulfureuse passagère dont ils ont la responsabilité. Ils ignorent que celle-ci a
usurpé l’identité de la terrible margrave Ophyde et qu’elle semble désormais diriger la région.
Mais quel jeu joue Dhokas, le cruel mercenaire ? C’est au cœur des palais de la lagune de Kreac’h que Narvarth et Callista vont faire de surprenantes découvertes... Ythaq est un monde où résonnent les échos de nombreux mystères...
Les humanoïdes ont perdu une bataille contre les combattants de la Grande Cause, mais semblent avoir gagné la guerre... Sur Egosfer libéré, un compte-à-rebours s’est mis en branle annonçant la fin prochaine de la cité et de l’humanité, à moins que Wooker et ses amis ne se rendent au tyran androïde Astérion ! Seul le code source désactivant les I.A. permettrait de renverser la situation, mais les rebelles de la Grande Cause le retrouveront-ils à temps ? Ou devront-ils remettre leurs armes ?
C’est dans ce dernier opus que tous les fils de cette trilogie se dénouent... Une fin attendue par les fans de la série !
John Difool est un minable détective privé de classe R qui arpente la Cité Puits en quête d'affaires peu reluisantes. Ses seules motivations : une pincée de SPV, une goutte de Ouisky et quelques galipettes avec des homéoputes bien roulées. Son seul compagnon : une mouette urbaine appelé Deepo.
Dame Nimbéa 5 Quinq va venir bouleverser ce train-train glauque et entendu. A la recherche de l'extase suprême, elle demande à John Difool de l'accompagner dans l'Anneau Rouge, le quartier le plus mal famé de la Cité Puits. La seul obligation du détective est de la ramener chez elle avant minuit. Les coups de boutoir de Kill Tête de Chien vont engendrer un retard qui scellera la destinée de John Difool....
Commence ici une épopée intergalactique qui a pour toile de fond la survie de l'univers. Clonage présidentiel, Technique Techno, Meta-Baron et bien sûr le légendaire Incal, tous seront de la partie pour accompagner John Difool dans l'une des épopées SF les plus rocambolesque de ces dernières décennies ! Avec Messieurs Jodorowsky et Moebius aux commandes, dépaysement garanti !
Couleurs : Valérie Beltran
Ythaq, une curieuse planète médiévale où tentent de survivre les naufragés d'un crash spatial. La jeune lieutenant Granite et ses amis cherchent à rejoindre le groupe principal des survivants. Mais ils se heurtent à d'étranges personnages qui dissimulent les secrets d'Ythaq. Qui sont réellement Dhokas, Khengis et Hetzel, l'homme qui a un insecte géant greffé dans son dos ?
Les âges sombres. La Grèce mythologique est archaïque. La navigation aussi... S’éloigner des côtes est un défi lancé aux dieux et à la nature.
Jason et les Argonautes seront les premiers à avoir le courage de prendre le large et de voguer en haute mer. Ils iront de découvertes en aventures et débarqueront aux beaux jours sur l’étrange île de Lemnos. Atalante, qui a vaillamment gagné le droit d’être la seule femme de l’équipage, assistera et participera à leurs exploits. Tandis que Jason a pour but de s’emparer de la Toison d’Or en Colchide pour récupérer son trône sans mettre son pays à feu et à sang ; Atalante, elle, a d’autres ambitions... Mais n’est-ce pas le cas de chacun des Argonautes, ces héros aux quêtes personnelles ?
Le Brume de Comète est assiégé par Kengis et son armée. Et quand l’abominable Kengis a une idée en tête, il ne lésine pas sur les sacrifices… Son objectif premier est de s’emparer du vaisseau et il fera tout pour y arriver.
Alors que Granite, enfermée à l’isolement, tente de convaincre la Pacha de la culpabilité de Dokhas, Narvarth est nommé officier supérieur et tente de faire repartir le Brume de Comète et ainsi, sauver les passagers rescapés…
9,99€
Premier volume d'une nouvelle série féerique et sensuelle !
Dans la forêt du Rocher du Dragon, le peuple des Brumes vit en harmonie dans un monde trop grand pour eux. C'est ici, que vivent Ailina, la fée, et Amandil, le lutin.
Dans cet environnement où les plaisirs de tous les sens sont en éveil, les petites créatures ont une mission : permettre au printemps d'éclore.
Portée par le scénario de Katia Even, le superbe dessin de Styloïde et la mise en couleur de Marina Duclos, cette série, prévue en 3 volumes, est destinée à tous ceux qui aiment les légendes et l'érotisme.
Styloïde
Né en 1975, Styloïde est un jeune illustrateur ayant développé son propre univers à travers de nombreuses illustrations. Après différentes publications, il se lance dans la bande dessinée sous l'impulsion de Scebha (scénariste) et publie son premier one shot en tant que dessinateur BD : No M(e)n's Land.
Aujourd'hui, il collabore avec Katia Even sur la série Le peuple des Brumes.
Coloriste : Marina Duclos
2,50€
Sylvia Mark, une jeune fille presque comme les autres… Bien sûr, elle est plus forte et plus agile que ses camarades, mais rien de bien inquiétant. Jusqu’au jour où Sylvia se dispute avec ses parents adoptifs et décide de fuir son foyer.
Prise en chasse par les mystérieux « Garçons», Sylvia ne devra son salut qu’à l’intervention de son sosie…ou s’agit-il d’autre chose ?
Finalement Sylvia n’est pas si ordinaire que cela. Elle est le catalyseur sur lequel repose tout le programme génétique à l’origine de la création des « Filles » !
Après le succès phénoménal du premier tome, Christophe Arleston et Ciro Tota nous en dévoilent encore un peu plus sur la genèse du légendaire monde de Troy !
Page Blanche et son frère Zuynn, enlevés à leur planète forestière, ont été séparés de leurs parents lors du largage sur Troy. Page Blanche s’est rapidement adaptée à la vie rude de Troy. Son talent pour le tir à l’arc ne l’a pas empêché de découvrir qu’elle avait le pouvoir de faire croître rapidement les végétaux. Seul problème à ce don, il la vide totalement de son énergie et elle s’endort profondément dès l’exploit accompli.
Accompagnés de son jeune dragonneau Doï-Dee, et de son frère Zuynn révolté comme bon nombre d’adolescents, ils sont bien décidés à retrouver leurs parents par tous les moyens Aidés de Léandre de Lyammon, et d’Eckmül le bûcheron, ils partent à la recherche du chemin des plantes et plus particulièrement de l’arbre premier !
Une piste qui leur permettra peut-être de retrouver leurs parents, mais il faudra se battre contre des oiseaux affolés, des poissons géants, mais aussi des trolls. Parviendront-ils ainsi à reconstruire leur famille ?
Couleurs : Sébastien Lamirand